Alexandre Cormier-Denis analyse la révolution culturelle anti-Blancs

Excellente analyse de la révolution culturelle anti-Blancs actuelle, qui n’est pas autre chose qu’une révolution anarcho-bolchévique.

Entrevue avec Laurent Obertone sur son dernier livre, Guerilla

Dans le roman d’anticipation intitulé Guerilla, Laurent Obertone présente le scénario-catastrophe d’une France aux prises avec une guerre civile lors de laquelle des émeutes en banlieues s’additionnent à des actes terroristes. Si l’auteur ne souhaite pas, évidemment, que ce scénario se réalise, après avoir parlé avec différents membres de la police et du renseignement, il craint néanmoins qu’il soit possible. Il présente ici les grandes lignes de ce livre sur les ondes de TV Libertés.

Le déraillement du rassemblement de Donald Trump à Chicago: Une attaque savamment préparée et orchestrée…

C’est avec passablement de lassitude et d’écœurement que j’écris cet article. La sphère politique est devenue un véritable cirque et la situation se dégrade de jour en jour. Néanmoins, ce qui s’est passé vendredi dernier à Chicago est d’une gravité telle que je ne peux pas laisser cela sans réagir. Comme vous le savez peut-être, le candidat à la nomination Républicaine, Donald Trump, devait tenir un rassemblement à Chicago vendredi dernier le 11 mars, qui a été annulé. En effet, des activistes politiques de gauche, reliés pour certains à la campagne présidentielle de Bernie Sanders, mais également de certains groupes comme apparemment MoveOn.org et Black Lives Matter, ont infiltrés les partisans de Donald Trump lors du rassemblement. Ils ont alors profité de l’occasion pour mettre la pagaille dans l’assemblée, en utilisant la violence et l’intimidation. Les images de l’événement laissent voir des activistes portant littéralement le chandail de Black Lives Matter ou des pancartes électorales de Bernie Sanders. Devant cette situation, l’équipe de la campagne présidentielle de Donald Trump a décidé d’annuler l’événement. D’autres perturbations ont eu lieu également lors de d’autres rassemblements du candidat Républicain lors de la fin de semaine.

Ces images reflètent un pattern que l’on connait tous par cœur. Lorsqu’un groupe ou des individus qui se disent de droite ou conservateurs essaient de se réunir pour tenir un événement, irrémédiablement on voit surgir des agitateurs de gauche pour essayer de le faire annuler ou le perturber. Si les activistes politiques de gauche sont très bons pour exprimer leurs opinions et défendre leurs droits, ils sont néanmoins incapables de respecter les opinions et les droits des autres. La liberté d’expression de Donald Trump et de tous ses partisans n’a pas été respectée ce vendredi 11 mars 2016. Or, les autres candidats Républicains, au lieu de dénoncer les tactiques d’intimidation de ces activistes de gauche, ont plutôt essayé de mettre les événements sur le dos de Donald Trump et de sa « rhétorique ». Je dois vous dire que je suis pas impressionné par cet argumentaire. Il y a de la violence sur Terre depuis l’époque d’Adam et Ève. Prétendre que Donald Trump est responsable de la violence aux États-Unis ou durant ses rassemblements est ridicule. Il faut aussi dire que certains candidats et ex-candidats Républicains à la nomination ont déclaré vouloir « faire dérailler » la campagne de Donald Trump. Ont-ils une complicité alors dans ces événements? Je ne sais pas.

Je voudrais insister sur certains points qui me paraissent importants. Tout d’abord, il faut mentionner que ces événements sont survenus comme par hasard au moment même où le Premier Ministre du Canada, Justin Trudeau, était en visite officielle aux États-Unis. Comme Obama et Trudeau sont très à gauche au niveau de leur idéologie politique, socialiste et marxiste diraient certains, un tel débordement cela semble aller de soi. Aussi, le rassemblement se tenait à Chicago où Barack Obama a vécu et évolué pendant plusieurs années. Or, Chicago semble être un milieu assez malsain où pullulent les radicaux et les extrémistes de toutes sortes. Le choix du lieu était donc risqué, et en plus, l’événement avait lieu un vendredi, qui est le jour religieux des musulmans. Vous n’êtes peut-être pas sans savoir que dans les mosquées le vendredi en Amérique du Nord, et ailleurs dans le monde probablement, on récite une prière demandant à Allah de faire périr les infidèles. La table était donc mise pour qu’un certaine violence s’exprime et il est malhonnête de mettre ça sur le dos de Donald Trump puisque, de toute évidence, elle est plutôt le résultat des machinations de ses adversaires politiques.

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