Projet de Loi 59: Quelques observations et réflexions supplémentaires…

Alors que la Loi 59 sera probablement malheureusement adoptée bientôt à l’Assemblée Nationale du Québec (à moins d’une intervention divine), je tiens à apporter des commentaires supplémentaires à ceux que j’ai déjà présentés dans deux articles précédents que vous retrouverez en bas de page. Daniel Laprès, éditeur des Éditions Accent Grave, a présenté un bon état de la situation dans un article publié dernièrement sur Facebook, que vous retrouvez en bas de page aussi. Je vais donc m’attarder dans ce texte sur certains points ou aspects du problème qui n’ont pas encore été couverts ou trop peu par l’ensemble des interventions faites sur ce projet de loi.

Tout d’abord, je dois dire que le silence du Chef de l’Opposition Officielle dans ce dossier m’inquiète profondément. Sans rien enlever au travail d’Agnès Maltais qui représente le Parti Québécois à la commission parlementaire étudiant le Projet de Loi 59, il ne fait nul doute que la présence de Pierre Karl Péladeau, chef du Parti Québécois, donnerait du poids aux critiques et aux réserves qui ont été présentées jusqu’à maintenant par les opposants au projet de loi. Son silence tombe mal, au moment même où les Québécois luttent pour leur survie en tant que peuple francophone, occidental et catholique. J’ignore les raisons qui motivent ce mutisme mais celui-ci m’apparaît difficile à justifier. Et François Legault, chef de la Coalition Avenir Québec, aurait lui aussi intérêt à prendre la parole et à lutter pour défendre nos droits, lui qui a été très peu bavard sur le sujet. De la même façon, celle qui représente la CAQ aux travaux de la commission sur le Projet de Loi 59, Nathalie Roy, fait elle aussi du bon travail, mais la voix du chef de parti donnerait plus de poids à ses efforts.

Également, et le sujet a été abordé brièvement par Daniel Laprès dans l’article en référence, on doit souligner le degré de banqueroute intellectuelle de nos élites qui auraient davantage intérêt à connaître l’histoire, les grands classiques et la philosophie grecque plutôt que de s’amuser à publier des bouts de phrases sur Twitter ou des photos sur Instagram ou je ne sais quoi. L’utilisation de l’internet (votre humble serviteur l’utilise lui aussi abondamment) vient couronner des décennies de mauvaises habitudes pendant lesquelles les Occidentaux ont regardé la télévision en mangeant des croustilles et sont devenus pantouflards et paresseux, au lieu de se cultiver, de faire du sport et de faire leur service militaire. De leur côté, les grandes civilisations ont pu naître, se développer et se maintenir en raison de leur maîtrise des lois scientifiques et de l’érudition générale de leurs élites mais aussi en raison du degré de préparation de la population à faire face à des épreuves, comme des invasions étrangères par exemple. À cet effet, la fin du service militaire obligatoire a certainement fait davantage pour diminuer la puissance occidentale que beaucoup d’autres choses. L’ensemble de ces facteurs et la banqueroute intellectuelle de nos élites ont permis à Philippe Couillard de présenter sa Loi 59 dans l’indifférence à peu près générale des grands médias, des grandes corporations et institutions de notre société, alors que les implications de cette loi sont d’une extrême gravité. Seule une poignée de citoyens courageux, certes, mais sans ressources ni appuis d’aucune sorte ont pris la peine de faire entendre leur désaccord sur ce projet de loi. On se demande où sont passés les présidents des grandes corporations et des institutions publiques à un moment si critique de notre histoire.

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L’Occident sous occupation, septième chapitre: L’entente avec l’Iran et le naufrage du Titanic…

Le Lys d'OrJe commence à en avoir vraiment marre. Depuis les dernières quatre années, j’ai essayé sur ce blogue de défendre nos intérêts, notre liberté et notre civilisation. Je commence sérieusement à me demander si je n’ai pas perdu mon temps, au fond. La majorité de mes contemporains sont totalement zombifiés par les médias de masse et tout l’électronique qui nous entoure. Je les observe souvent, absorbés qu’ils sont par leur cellulaire dit «intelligent», leur télévision, leurs émissions de sport, alors que le monde est en train de s’effondrer. Qu’ils regardent autour d’eux serait plus profitable. On demandera à Apple s’il existe une application pour ça. Je vis entourés de gens qui dorment d’un sommeil profond et qui ne veulent surtout pas être dérangés. Une partie d’entre eux sont conscients que les choses ne tournent pas rond mais ils demeurent néanmoins dans le déni ou l’aveuglement volontaire. Ce n’est jamais bon pour une population d’être dans un tel état d’esprit, puisque cela ouvre la voie aux chacals qui rôdent et qui ne manqueront pas d’en profiter. Rappelez-vous cette scène du film Schindler’s List. Une famille juive est en train de souper. Nous sommes probablement vers les années 1938-1939. Au dehors, on entend des bruits, du verre brisé, des cris, etc. Ils font semblant de ne rien entendre et continuent de manger mais nerveusement. Soudain, on frappe à la porte. Ce sont les SS, la Gestapo. On leur annonce qu’ils doivent quitter leur demeure immédiatement. Ils s’embarqueront dans un train pour se diriger vers les camps de la mort.

L’Administration Obama vient de mettre le dernier clou dans le cercueil du monde libre. Cette «entente» avec l’Iran ne fera qu’amener plus d’espionnage et plus de terrorisme, comme celle d’ailleurs avec Cuba. À ce sujet, je suis estomaqué par le manque de combativité et d’agressivité des Représentants et Sénateurs Républicains élus depuis le début de la Présidence d’Obama. Êtes-vous capable, vous, de me souligner une seule de leurs réalisations depuis ce temps? Moi j’ai de la difficulté. Ça ne donne rien au peuple américain d’aller voter si leurs délégués ne font pas leur travail à Washington. Beaucoup d’entre eux se contentent seulement de faire acte de présence et d’encaisser leur chèque. On dirait que l’Administration Obama a le champ libre pour faire ce qu’elle veut et que tout passera comme du beurre dans la poêle. L’entente avec l’Iran aura des conséquences désastreuses non seulement pour les États-Unis mais pour tous les pays signataires, incluant la Russie. Les représentants politiques qui étaient tout sourire sur les images officielles risquent de rire jaune d’ici quelques années. On ne signe pas un pacte avec le diable sans en payer le prix.

Une autre chose qui m’étonne grandement de la part des mes contemporains est leur total absence de désir de lutter pour leur liberté. On dirait qu’ils ont abdiqué, qu’ils ont accepté leur état d’esclavage et qu’ils l’aiment, en plus. Ils sont prêts à organiser des manifestations monstres pour réclamer que leurs téléromans favoris passent en reprises à la télévision, que les cacahuètes soient maintenant vendues en contenants bio-dégradables et que leurs pommes de terre soient équitables, mais qu’ils puissent garder leur liberté et ne pas tomber sous le joug d’une tyrannie, ça, cela ne mérite pas d’y consacrer quelques énergies que ce soient. Il y a eu d’autres époques dans l’histoire des États-Unis où ces ententes avec l’Iran et Cuba auraient déclenché des émeutes et des troubles majeurs. Aujourd’hui? Rien. Silence radio. Lorsque l’on ne veut pas subir le triste sort de cette famille juive de Schindler’s List à laquelle je faisais référence tout à l’heure, il faut lutter avant que les SS ne cognent à la porte. Car au moment où ils sont là, il est trop tard et au train où vont les choses, ils vont cogner très bientôt. Mes contemporains me font penser à des prisonniers d’un tel camp de la mort qui passeraient leur temps à se plaindre, non pas pour être libérés ou éviter la mort mais plutôt pour obtenir le privilège d’être servis avec des portions de nourriture ne contenant pas d’arachides, puisque leur enfant est allergique, et ce même si celle-ci est radioactive, toxique, polluée, contaminée ou remplie de microbes ou de virus. Après tout, le directeur du camp doit absolument faire preuve d’un peu de sensibilité, tout de même.

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L’Occident sous occupation, sixième chapitre: Charlie Hebdo et l’attaque contre la liberté d’expression

En temps de guerre, la première victime est toujours la vérité
Hiram Warren Johnson

Le Lys d'OrQuelques réflexions, interrogations et inquiétudes s’imposent sur les attentats survenus en France dernièrement. Tout d’abord, je dois dire que je me sens interpellé surtout par le traitement politique et médiatique de l’attentat, plutôt que par l’événement lui-même. Tout le monde savait qu’il y aurait des attentats terroristes en France un jour ou l’autre. Ce n’était qu’une question de temps. C’est pourquoi les réactions épidermiques qui ont suivi la diffusion d’une vidéo d’Aymeric Chauprade du Front National font bien rire. Il y fait mention de la présence d’une cinquième colonne en France. Cette cinquième colonne existe bel et bien, quoi qu’en pense les journalistes. C’était vrai dans les années qui ont précédé l’occupation nazie, c’était vrai durant la Guerre Froide et c’est encore vrai aujourd’hui à l’époque de la montée du fondamentalisme islamique. Il n’est pas nécessaire d’être géopoliticien pour le comprendre mais j’imagine que cela aide un peu.

Pour ce qui de l’événement de l’attentat contre Charlie Hebdo, celui-ci donne l’impression d’une exécution ni plus ni moins. Je ne suis pas sûr que le mot de «terrorisme» est réellement approprié ici, quoique cela en est aussi. On dirait que l’équipe de rédaction du journal a tout simplement été liquidée. Après, comme il fallait bien dire quelque chose, les journalistes ont bricolé une histoire. Un de éléments-clés qui ne fait aucun sens est le fameux papier d’identité qui aurait été laissé dans la voiture des fuyards par un des suspects, Hamyd Mourad, dont on ne parle plus d’ailleurs. Selon l’information disponible, les frères Kouachi auraient été formés au terrorisme dans des camps au Yémen et leurs noms figuraient sur des listes de gens à surveiller. Or, des professionnels du terrorisme ne laissent pas de papiers d’identité pour se faire prendre…ou alors ils ne sont pas des professionnels. Les médias nous ont dit que les fuyards avaient changé de voiture, pour évidemment pouvoir échapper à la police. Mais il ne donne rien de changer de voiture si des papiers d’identité s’y trouvent toujours, n’est-pas? Dans les heures qui ont suivi le massacre, les médias ont rapporté que les djihadistes auraient pris la direction de Reims. Or, Reims est le lieu où l’on avait l’habitude de sacrer les rois de France. De plus, l’attentat a eu lieu le 7 janvier, soit le lendemain de la Fête des Rois, que l’on appelle aussi l’Épiphanie. Cherche-t-on à nous dire quelque chose? L’enterrement d’un des frères Kouachi, Saïd Kouachi, aurait eu lieu dans la plus grande discrétion, de nuit, justement dans la ville de Reims, sans l’aide d’une pelle mécanique. La tombe est anonyme et le nom du cimetière n’a pas été dévoilé. Il est donc impossible pour le commun des mortels de retracer le corps, et encore moins de l’exhumer afin de pratiquer sur celui-ci la médecine légale. On l’a fait disparaître en quelque sorte. Les médias étaient-ils au moins là pour confirmer son identité? Pour ce qui est de l’autre attentat, celui survenu sur la personne d’un policier dans un premier temps et dans un marché d’alimentation cacher dans un deuxième temps, des vidéos sur Youtube nous montrent le terroriste présumé, Amedy Coulibaly, franchement, doux comme un agneau. On a de la misère à croire qu’il pourrait même tuer une mouche. Mais peut-être en était-il capable après tout.

Ça c’est pour les faits. Pour ce qui est du traitement maintenant, on a assisté dans les jours qui ont suivi à des niaiseries insipides semblables à celles que l’on nous ressasse de plus en plus souvent depuis quelques années. La « marche républicaine », même si très émouvante, était un exercice de communication par lequel l’élite politique européenne essayait de redorer son blason, passablement terni par son incompétence. Nous avons eu droit à une Grande Messe de pleurnichage pour affirmer que l’on étaient «solidaires» mais les actes parlent plus fort que les paroles, en définitive. Ce qui a été particulièrement terrifiant aussi, il faut le dire, était de voir ces milliers de Français défiler dans les rues de Paris avec une pancarte ou une feuille disant «Je suis Charlie», s’identifiant ainsi à Charlie Hebdo. C’était sympathique mais en faisant cela, ils se donnaient en cible aux islamistes par le fait même. Ce n’était ni très brillant ni très prudent. Plusieurs brandissaient aussi des crayons, alors que les deux attaques terroristes avaient été pratiquées avec des armes à feu. Des crayons permettent d’écrire mais ne peuvent venir à bout du terrorisme, de cellules dormantes qui s’activent, de la guérilla urbaine ou d’une guerre civile qui éclate. N’oublions pas non plus que la spécificité de notre civilisation, fondée par le Grecs — la religion chrétienne est venue plus tard ― est justement l’affirmation de l’individualité. Le fait que des millions de nos compatriotes ont nié leur identité personnelle en prenant celle de Charlie Hebdo est d’une grande tristesse. S’il y a un moment dans l’histoire récente de la France où cela aurait été nécessaire que chacun affirme son identité personnelle, par exemple en inscrivant son prénom, son métier ou sa ville natale sur la pancarte au lieu du «Je suis Charlie», c’était bien là. C’est une belle occasion manquée. On peut donc ainsi voir que les terroristes ont atteint leur but à ce niveau-là, puisque nous avons montré que nous renoncions à notre individualité personnelle au moment où l’on essaie de nous intimider. Aussi, un fait important à ne pas oublier est le fait que des ténors critiques de l’Union Européenne n’ont pas été invités, comme Marine Le Pen par exemple, de même que le Premier Ministre israélien, Benjamin Netanyahu. Comme quoi cette marche républicaine était en fait l’occasion pour le bureau politique de l’Union Européenne, mondialiste et antisioniste, de tenir séance. Mahmoud Abbas, lui, a été invité, et je suis sûr qu’il lui ont réservé une chaleureuse accolade.

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L’Occident sous occupation, cinquième chapitre. Le problème de la radicalisation: Lorsque le loup garde la bergerie…

N.B. J’ai d’abord publié ce billet en tant qu’article régulier. Après réflexion, j’ai décidé de l’inclure dans mon texte en développement sur l’occupation de l’Occident. Il complète bien l’ensemble des autres éléments que j’essaie de développer dans cette série. (31 janvier 2015)

Le Lys d'OrUn reportage récent de Radio-Canada concernant notre approche pour lutter contre le terrorisme a attiré mon attention. Je joins le lien en bas de page. Une courte vidéo accompagnant le texte écrit du reportage met en lumière le malaise que plusieurs peuvent ressentir face à cette question. On y voit un policier, nous dit-on, donnant une conférence au Québec à d’autres policiers sur le phénomène de la radicalisation des musulmans et sur les moyens de détecter ceux qui peuvent s’inscrire dans cette mouvance. Or, le policier donnant la conférence est visiblement originaire du Moyen-Orient. Vous me direz peut-être que l’origine ethnique d’un conférencier n’a rien à voir avec le sujet dont il est question. En ce qui touche la charia, l’islamisme, le djihad ou la radicalisation, peu importe comment on appelle ce phénomène, je crois que cela a une grande importance. Car il y a plusieurs personnes au Canada et aux États-Unis, qui sont des nationaux, des de souche, dont les ancêtres sont ici depuis plusieurs générations, qui peuvent faire ce travail sûrement tout aussi bien que le conférencier que l’on nous montre ici (qui n’est pas nommé en passant). Je n’enlève rien à la compétence de ce dernier cela dit. Mon point est qu’il y a un manque flagrant de reconnaissance envers les forces vives de la communauté patriote québécoise, canadienne et américaine. Au lieu de faire appel à des gens d’origine arabo-musulmane pour expliquer aux policiers en quoi consiste le phénomène de la radicalisation, les forces policières pourraient donner l’opportunité à des Québécois comme par exemple l’éditeur du site Poste de veille ou encore à Marc Lebuis du site Pointdebasculecanada. Au Canada-Anglais, des gens comme Tarek Fatah et Salim Mansur, qui sont musulmans, pourraient s’acquitter de cette tâche aussi, puisque leur respect des valeurs séculières, humanistes et occidentales n’est plus à démontrer. En Europe, le blogueur vidéo Aldo Sterone, un Algérien arabo-musulman, est une excellente référence pour comprendre le phénomène de l’islamisme de l’intérieur des sociétés qui le produisent. Aux États-Unis, quelqu’un comme Stephen Coughlin a fait un travail remarquable sur le Coran et l’idéologie islamiste. Après quelques temps passés au Pentagone à faire exactement cela, il a été mis de côté parce que l’on jugeait ses opinions non conformes avec l’agenda politique du gouvernement. Andrew Bostom est aussi quelqu’un ayant les compétences pour faire un tel travail. Je me dois également de mentionner le travail remarquable de l’écrivaine et critique de la politique américaine Diana West. Ses efforts pour identifier les résurgences de la pensée communiste aujourd’hui, se manifestant sous la forme de l’islamisme, ont produit un livre absolument exceptionnel intitulé American Betrayal, qui est une lecture obligée pour nos leaders publics. J’ai bien peur que peu d’entre eux ne l’ont lu cependant. Et ce ne sont ici que quelques exemples.

En passant, je profite de l’occasion pour mentionner l’existence d’un document complet et détaillé sur l’infiltration de nos sociétés occidentales par les Frères Musulmans, réalisé par le Center for Security Policy. On peut retrouver leur excellent travail, une présentation vidéo en dix chapitres ici, en suivant ce lien: The Muslim Brotherhood in America. Auparavant, ils avaient réalisé un document tout aussi étoffé sur l’implantation de la charia en Amérique du Nord: Shariah: The Threat to America.

En définitive, curieusement, les forces policières dans le monde occidental ont la manie de ne pas faire confiance aux locaux du coin. Ils préfèrent s’en remettre à des étrangers dont on ne connaît ni les allégeances ni les convictions ni le passé. Ils ont tendance aussi à ne pas tenir compte de la religion elle-même dans le processus pour n’arrêter leur regard que sur les comportements. C’est pourquoi je considère qu’une telle attitude ne peut mener qu’à la ruine de nos sociétés puisque, en quelque sorte, on remet les clés de la ville à nos ennemis. Et ce genre de dérive n’a pas lieu qu’au Canada mais dans plusieurs endroits dans le monde également. Dans les conditions actuelles, la stratégie policière sera un échec complet. Il ne ne faut pas être un spécialiste pour le comprendre. Cette manie à essayer à tout prix de plaire à nos ennemis pour atteindre je ne sais quel objectif stratégique rappelle à la mémoire, malheureusement, certaines scènes du célèbre film Casablanca dans lequel on pouvait voir le chef des forces nazies, le major Strasser, s’amuser comme larrons en foire avec le chef de la police locale, le capitaine Renault. L’intrigue du film se passe au Maroc lors de l’occupation du pays par le régime de Vichy. Les implications d’une telle proximité avec des puissances ennemies ne sont plus à démontrer. Il y a péril en la demeure. Ce qui est fondamental à comprendre ici est que nos élites ne peuvent comprendre que le problème de l’islamisme ne pose pas qu’en termes de terrorisme. Celui-ci n’est qu’un tout petit aspect du problème. En fait, les dommages matériels qu’une société peut subir en raison du terrorisme sont bien inférieurs en conséquences aux dommages psychologiques et spirituels causés par l’infiltration de nos institutions par les forces islamistes. Les dommages immatériels sont irréparables. Lors d’un texte précédent, j’ai eu l’occasion déjà de préciser ces notions. Alors, quand allons-nous finir par comprendre le danger qui nous guette? « I’m so shocked, shocked… » Suite au reportage de Radio-Canada, je joins une entrevue que Tarek Fatah a accordée au réseau SunNews en décembre 2013. Il nous informait alors qu’un imam radical de la région de Toronto, du nom de Said Rageah, occupait le poste, croyez-le ou non, de conseiller pour la GRC sur les questions religieuses. C’est là qu’on est rendu…

Radicalisation : comment traquer un ennemi indéfinissable?

Restez branchés sur lys-dor.com pour le sixième chapitre. Pour accéder aux chapitres précédents, veuillez visiter les liens suivants:

L’Occident sous occupation, quatrième chapitre: Le voyage sur la lune et la dégénérescence de la civilisation

L’Occident sous occupation, troisième chapitre: La véritable nature du djihad islamique

L’Occident sous occupation, deuxième chapitre. Pour en finir avec la Guerre Anglo-Afghane: L’union des peuples civilisateurs

L’Occident sous occupation, premier chapitre: Le renversement du rideau de fer et la nouvelle servitude

L’Occident sous occupation, quatrième chapitre: Le voyage sur la lune et la dégénérescence de la civilisation

Le Lys d'OrLe discours du Président Kennedy du 12 septembre 1962 sur le projet des États-Unis d’envoyer des hommes vers la lune laissait présager des jours heureux. Le programme spatial américain, dans le contexte de la Guerre Froide, faisait croire à tous au début d’une ère nouvelle où nous pourrions nous affranchir de la pesanteur de la vie sur Terre afin de découvrir le cosmos et ses merveilles. Or, plus de cinquante ans plus tard, il faut bien dire que les choses ne se sont pas passées tout à fait comme cela. On dirait plutôt que l’humanité a dégénéré, si on en juge d’après l’évolution des idées et des moeurs dans le monde occidental.

Certains indices me portent à croire que le voyage sur la lune était en fait une mise en scène destinée à changer le caractère de la civilisation humaine, ce qui a mené à sa dégénérescence. Les années soixante qui ont suivi le discours de Kennedy ont été marquées par la contre-culture des plaisirs sexuels, de la drogue et de la musique rock. Le premier voyage sur la lune, en 1969, arrivait à la fin de cette décennie de contre-culture. Cette année-là, probablement pour marquer l’événement, le groupe rock progressif King Crimson (le Rouge Roi) a sorti un premier disque intitulé In The Court Of The Crimson King. À l’intérieur de la pochette, on pouvait apercevoir une lune à visage humain, souriante, accompagné de deux mains. D’autres lunes plus petites, rouges, étaient disposées comme des étoiles dans un ciel bleuté. Les paroles des chansons de cet album sont des poèmes. L’écriture est cryptée, au second degré, destinée à un public d’avertis sinon d’initiés. On y parle de la relation de la lune et du soleil, surtout sur le «côté B» comme on le disait à l’époque des disques de vinyles. Les chansons «Moonchild» et «In The Court Of The Crimson King» sont révélatrices du caractère allégorique du voyage sur la lune. Quelques années plus tard, en 1973, le groupe a enregistré l’album Larks’ Tongues in Aspic. La couverture de la pochette nous montrait un soleil rayonnant à visage humain dans lequel un croissant de lune bleu clair se trouvait. Or, fait très intéressant, dans l’édition du 30ème anniversaire de l’album, publiée en 2012, on retrouve sur les deux CD la représentation d’un soleil rayonnant où la lune n’apparaît pas.

Lorsque l’on fait le bilan de l’évolution sociale de la société occidentale depuis les voyages sur la lune, on remarque la montée en flèche de plusieurs mouvements sociaux qui ont changé radicalement la société. Parmi ceux-ci on peut mentionner entre autres certes le féminisme, le mouvement syndical, les avancées technologiques, etc. Deux d’entre eux retiennent particulièrement mon attention cependant: l’homosexualité et l’islam. Ces deux courants d’idées ont amené un changement social qui semble remettre en cause la nature même de la société traditionnelle occidentale et chrétienne.

Pour donner un autre exemple sur le plan musical, quatre ans après le premier voyage sur la lune, en 1973, le groupe rock britannique Pink Floyd a sorti un album intitulé The Dark Side of the Moon. La pochette de l’album nous montrait un triangle traversé par un rayon lumineux se décomposant dans le spectre des couleurs de l’arc-en-ciel, le bleu étant représenté par une teinte pâle. Or, les couleurs correspondent, si on fait fi du bleu foncé, à celles attribuées aux centres énergiques appelés «chakras» dans les traditions hindoue et bouddhiste mais en sens contraire ou descendant. Les couleurs attribuées aux sept chakras par la tradition, quoiqu’il existent des variantes, vont du rouge à l’orange, au jaune, au vert, au bleu pâle, au bleu foncé et au violet. Signalons au passage que le mouvement New Age propose sa version propre pour représenter les centres d’énergie, les différences se trouvant surtout au niveau des deux derniers chakras. Sur la pochette du disque de Pink Floyd donc, on voit ces six couleurs dans le sens inverse et l’endos de la pochette nous montre le même triangle, inversé cette fois, retournant le rayon lumineux d’origine. L’omission du bleu foncé est tout à fait significative dans la mesure où, sur le plan politique, il est souvent associé à la droite ou au nationalisme.

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L’Occident sous occupation, troisième chapitre: La véritable nature du djihad islamique

Le Lys d'OrLe temps est venu de faire le point sur ce qu’est le djihad islamique, de mettre les barres sur les « t » et les points sur les « i », pour ainsi dire. Dans un article précédent sur le contre-djihad, je vous ai présenté l’exemple du Japon qui, par des mesures sans compromis et fermes, a complètement neutralisé à toutes fins pratiques la menace djihadiste. Voyons maintenant ce qu’est, dans son essence, le « djihad ». D’abord, disons que la vision que le profane en a tourne souvent autour de celle affectionnée par les forces policières. Le djihadiste, selon cette compréhension du phénomène, est celui qui a pour objectif de préparer et/ou d’exécuter un ou des attentats dans le but de causer des pertes matérielles et/ou de vies humaines dans le camp des Infidèles, les non-musulmans, ou dans le camp de ceux appartenant à une autre confession de l’Islam. Or, cette vision pose problème puisqu’elle ne rend pas compte de la nature réelle de la guerre à laquelle se livre les forces islamiques contre les autres sociétés du monde.

Voyez-vous, le but de toute guerre est d’amener l’adversaire à déposer les armes et à se soumettre. Comment les différents peuples et pays qui se livrent à la guerre y parviennent est influencé par plusieurs facteurs. Mais le plus déterminant de tous reste la victoire finale. Les moyens sont secondaires. Ainsi, un régime, peuple, pays ou religion désirant gagner une guerre doit s’attarder à gagner d’abord la guerre des idées, puisque ce sont les idées qui commandent les comportements et les attitudes des combattants. Vaincre l’adversaire entre les deux oreilles demeure le meilleur moyen de gagner une guerre, puisque alors l’ennemi n’offre plus de résistance. Les islamistes ont entrepris, comme les Nazis et les communistes l’avaient fait avant eux aussi, d’infiltrer les sociétés qu’ils désiraient conquérir, leurs gouvernements, leurs institutions, afin de pouvoir les influencer de l’intérieur dans une direction qui leur permettrait, selon eux, de gagner la guerre.

C’est ainsi que l’on retrouve bon nombre d’islamistes, de fondamentalistes et de fervents musulmans intégrés dans des partis politiques, institutions et gouvernements occidentaux, et ailleurs dans le monde également, et ce en toute connaissance de cause et avec l’assentiment des responsables de ces institutions. Comme, la plupart du temps, ces musulmans ne semblent pas actifs dans la préparation d’attentats selon le renseignement policier, on ne leur prête aucune intention maligne et cela s’avère suffisant pour qu’on leur fasse confiance, on dirait. Et c’est justement là que la guerre se joue. Cette relation de confiance qui s’établit entre ces musulmans dits « modérés » et les leaders publics met la table pour permettre aux premiers d’influencer les seconds dans l’intérêt de la cause djihadiste. Or, le bien plus précieux d’un peuple, ce ne sont pas ses immeubles, ses ponts ou ses moyens de transport. Ce sont plutôt sa culture et son identité, qui sont des biens irremplaçables. La culture et l’identité d’un peuple se construisent sur une période de plusieurs siècles, petit à petit, tranquillement, à travers mille et uns sillons, difficultés et souffrances. C’est pourquoi c’est justement ce qui visé spécifiquement par les djihadistes. Ils ont compris que s’ils pouvaient miner la culture et l’identité d’un peuple de l’intérieur, celui-ci devient alors une proie facile pour la conquête.

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L’Occident sous occupation, deuxième chapitre. Pour en finir avec la Guerre Anglo-Afghane: L’union des peuples civilisateurs

Le Lys d'OrLa Guerre Anglo-Afghane, selon la version officielle, s’est déroulée en trois temps: d’abord de 1839 à 1842, puis de 1878 à 1880 et finalement de mai à août 1919. Cette guerre a opposé l’Empire britannique à la Russie. Londres tentait alors par tous les moyens de ralentir l’expansion de la Russie en Asie afin de protéger ses intérêts en Inde notamment et dans les environs. Pendant presque un siècle donc les anglo-saxons et les Russes se sont affrontés sur le terrain de l’Afghanistan, qui est un des principaux théâtres de leurs escarmouches. Certains ont surnommé cette compétition «Great Game», la Grande Partie, dont un des enjeux majeurs était la fameuse Ligne Durand séparant les Indes Britanniques de l’Afghanistan. La Convention Anglo-Russe de 1907 avait pourtant délimité des zones d’influence en Afghanistan, en Perse et au Tibet mais cela n’empêcha pas les hostilités de reprendre en 1919. Or, on serait tenté de croire que cette guerre s’est terminée cette année-là. Évidemment, il n’est en rien. Il suffit de regarder l’histoire. Ces deux empires ont continué de s’affronter par en-dessous, en coulisses, parfois par en-dessus, tout au long des décennies et la Guerre Froide en a été l’illustration la plus parfaite. Plus récemment, durant les années 1980, la Russie et des forces pro-occidentales se sont affrontées en Afghanistan avec comme résultat le retrait des troupes soviétiques en 1989. À peine dix ans plus tard, suite aux attentats du 11 septembre 2001, des troupes américaines cette fois-ci y ont débarqué et y sont toujours. (En passant, ceux désirant en savoir plus sur le sujet et l’étudier en détails n’auront qu’à consulter le travail d’investigation splendide des journalistes Paul Fitzgerald et Elizabeth Gould qu’y ont consacré plusieurs années de leur vie.) En définitive, le combat contre le communisme n’était somme toute qu’un prétexte pour Washington. Le véritable ennemi à abattre était non pas l’idéologie socialiste ou marxiste mais bel et bien la Russie et ses prétentions à vivre selon ses propres valeurs et son propre système économique. En d’autres termes, la Russie n’a jamais été intéressée à être un état vassal, ce qui mettait en furie Londres et Washington. Et cette furie contre Moscou avait bien évidemment ses origines lointaines dans l’attitude de Pierre Le Grand envers la culture française. Lorsqu’il décida de s’en inspirer pour tenter de moderniser la Russie suite à voyage effectué à Paris en 1717, il se fit évidemment un ami du peuple français mais un ennemi des peuples anglo-saxons qui ne pouvaient comprendre comment un chef d’état digne de ce nom pouvait choisir une culture, dans leur esprit peut-être, aussi méprisable. N’oublions pas qu’à l’époque de Pierre Le Grand, la rivalité et la haine entre Français et Anglais étaient à leur comble, attisées par les convoitises coloniales et expansionnistes.

Le troisième joueur: l’Allemagne

Mais alors que le monde anglo-saxon et la Russie étaient occupés à se taper sur la gueule, un autre pays, plus rusé celui-là, tentait de tirer ses marrons du feu. En effet, la politique étrangère de l’Allemagne a souvent consisté à jouer le monde anglo-saxon contre la Russie et vice versa, dans une tentative pour les affaiblir tous les deux et se hisser au rang de grande puissance mondiale. Ses choix coloniaux en Afrique du Nord et ses choix politiques lors des deux grandes guerres mondiales le démontrent bien. Brièvement, rappelons que lors de la Première Guerre Mondiale, elle a fait parti de la Triple-Alliance en compagnie de l’Autriche-Hongrie et l’Italie (qui changea de côté en 1915), pays qu’elle retrouvera tous de nouveau lors de la Seconde Guerre Mondiale. Aussi, fait très important, l’Empire Ottoman, donc le monde musulman, s’était joint lui aussi à la Triple-Alliance et cela n’était pas nécessairement le fait du hasard. À cet égard, je vous propose de consulter un article très pertinent de la Voix de la Russie qui nous révèle que les services spéciaux allemands étaient présents en Afghanistan dès…1915, curieusement la même année où l’Italie changea de camp. Ces pays et empires donc faisaient face à la Triple-Entente, composée de la France, du Royaume-Uni et de la Russie Impériale. On retrouvera à quelques virgules près exactement la même composition lors de la Seconde Guerre, ce qui fait dire à plusieurs que la Première Guerre n’avait rien réglé. Aussi, rappelons ici que l’Empire Ottoman a été démantelé en 1923. Il fut remplacé dans l’Axe par l’organisation des Frères Musulmans d’Hassan al-Banna. Notons aussi que la couleur du drapeau de l’Empire Ottoman, montrant le croissant de lune et l’étoile, était le rouge (la gauche) et que ses armoiries présentaient également pas mal de rouge et de vert (l’islam). En général, et même encore aujourd’hui, les pays arabes ont de drapeaux qui exhibent en très grande majorité une combinaison de rouge et de vert, dans certains cas seulement vert ou rouge, parfois accompagné de noir (la mort?), de blanc (la pureté) ou de jaune (le sable?). Peu nombreux sont les pays arabes qui ont du bleu (le ciel) sur leur drapeau. En Occident, l’Italie a un drapeau vert-blanc-rouge, tandis que l’Allemagne a le sien noir-rouge-jaune. Leur association passée avec le monde musulman durant les différentes guerres fait donc du sens. Continuer la lecture

L’Occident sous occupation, premier chapitre: Le renversement du rideau de fer et la nouvelle servitude

Note: Je vais commencer à me servir de la plateforme de ce blogue pour publier des textes plus littéraires dans leur forme. Disons que c’est moins compliqué que de trouver un éditeur à notre époque, nous qui vivons dans la grandeur noirceur…

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Le Lys d'OrBeaucoup de salive a été dépensée dans les semaines et mois qui ont suivi la chute du Mur de Berlin. Beaucoup se sont réjouis de voir ainsi le Bloc de l’Est s’effondrer. Du moins, c’est que l’on disait à l’époque et il se trouvait peu de voix discordantes durant l’euphorie de ce grand moment historique. Or, quelque vingt ans plus tard, d’immenses craques ont fissuré le mur de notre incompréhension et surtout, celui de notre naïveté. De croire que l’on pouvait vaincre quelque chose d’aussi insidieux et crapuleux que le communisme, et ce parce qu’une simple pièce d’immobilier avait été démolie a fait la démonstration de l’immaturité et de l’infantilisme de notre société occidentale. Les choses ne sont jamais aussi simples. Les idées sont de loin les forces les plus déterminantes dans la culture humaine. L’argent et le pouvoir politique ne font que suivre ce que les hommes pensent dans leur tête.

Pendant des années j’ai fréquenté des cafés où je me rendais pour lire ou pour fuir la cacophonie insalubre de immeubles montréalais où l’on vit entassé comme des sardines. Au fil du temps, je me suis rendu compte d’une chose: les gens ne discutent plus dans les cafés. Chacun est dans son coin, naviguant sur internet, lisant le journal, un livre quelconque ou faisant des travaux scolaires. Mais les gens ne parlent plus entre eux, sauf peut-être pour échanger quelques paroles superficielles à la sauvette, comme s’ils avaient peur de quelque chose. De quoi? Il faut dire qu’au niveau local, le Québec a un passé catholique qui fut douloureux à plusieurs égards. Tout ceux qui ne pensaient pas comme le clergé devaient faire attention à ce qu’ils disaient et les livres mis «à l’index» se promenaient d’un individu à l’autre, sous le manteau, ou se trouvaient en-dessous du comptoir chez le libraire, pour ne pas se faire pincer par la police secrète de l’Église Catholique. Notre passé à nous, les Québécois, ressemble en tout points à celui des Russes ayant vécu les années du régime soviétique. La censure est une chape de plomb qui étouffe la liberté. Qu’un régime soit religieux, politique ou athée n’y change rien. Les totalitaires mangent tous de la même avoine, i.e. le contrôle. Sachant au fond d’eux-mêmes qu’ils représentent et dirigent un système illégitime et mensonger, ils cherchent à déterminer de fond en comble la vie de leurs semblables, à commencer par ce qu’ils pensent, pour ne pas qu’ils réalisent l’imposture de ce qu’ils subissent.

La mort de Wat Tyler

Oeuvre représentant la révolte des paysans anglais en 1381

Pourquoi donc les gens ne discutent-ils plus dans les cafés? Parce que la censure est de retour. Ah oui? Et comment? Tout simplement parce que, en fait, le «mur» de Berlin était non pas un mur qui empêchait les citoyens du Bloc de l’Est de fuir vers l’Occident mais plutôt une digue retenant les eaux morbides et le pus Rouge-Vert du communisme de se déverser sur nous. Le «mur» nous protégeait. Le 9 novembre 1989, cette digue a cédé, et le tsunami nauséabond du totalitarisme de gauche a déferlé sur l’Occident. Le 9 novembre en Allemagne est la grande fête de la gauche, importante à la fois pour le socialisme/communisme mais aussi pour le nazisme. Notons que le nazisme n’étant qu’un système d’extrême-gauche déguisé en système fasciste mussolinien, il n’y a pas là de grande contradiction. Rapidement après la «chute» du mur, on a vu une augmentation spectaculaire du terrorisme, dont le premier attentat sur le Word Trade Center en 1993, jusqu’au deuxième attentat de 2001 et les nombreux autres qui ont suivi. Alors que la fin du communisme était censée nous libérer, nous avait-on clamé haut et fort, nous sommes en fait plus esclaves et plus menacés que jamais.

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