Entrevue avec Carlos Arellano du HHS sur le trafic d’enfants par les réseaux pédophiles à la frontière mexicano-américaine

Cette entrevue avec Carlos Arellano arrache le coeur. Carlos Arellano a fait du transport de personnes pour le Health and Human Services à la frontière avec le Mexique, en plus de gérer un hôtel pour migrants à New York. Il décrit durant cette entrevue comment il a été témoin du trafic d’enfants organisé à grande échelle par les réseaux pédophiles. Ce trafic semble avoir été rendu possible ou grandement facilité par l’Administration Biden. Même si c’est pénible, je vous invite fortement à écouter cette entrevue.

Analyse de Secure Freedom Radio sur l«état profond» aux États-Unis et l’affaire Michael Flynn

Secure Freedom Radio a consacré aux moins deux émissions complètes de suite sur l’affaire Michael Flynn, qui avait été choisi à l’origine par Donald Trump pour être son conseiller en matière de sécurité nationale. Flynn a démissionné dernièrement suite à des fuites dans les médias concernant des communications téléphoniques qu’il aurait effectuées avec des pays étrangers avant que l’Administration Trump n’entre en fonction le 20 janvier dernier. Les invités de Frank Gaffney lors de ces deux émissions présentent des analyses qui mettent en lumière le fait que la communauté du renseignement aux États-Unis semble être dans un état lamentable. Différentes informations ont été coulées aux grands médias dans le but évident de nuire à l’Administration Trump, voire même de la renverser ou la saboter. Ce n’est pas moi qui le dit, ce sont les invités que vous aurez l’occasion d’entendre lors de ces deux émissions. Le concept d«état profond» essaie d’exprimer l’idée qu’il existe dans un pays un ensemble de professionnels, de bureaucrates, de hauts-fonctionnaires, etc, parmi lesquels se trouvent également des agents de renseignements comme tel, qui ont tendance à se considérer comme faisant parti du «vrai» gouvernement qui existe de façon permanente. Ce gouvernement caché peut, à l’occasion, faire des choses pour préserver ses intérêts, ce qui semble être le cas présentement avec la déstabilisation de l’Administration Trump rendue explicitement visible avec l’affaire Michael Flynn. C’est tout à fait inacceptable, évidemment. Le rôle des professionnels du gouvernement et des agents de renseignement, c’est de défendre leur pays, pas de promouvoir leurs intérêts personnels. L’Administration Trump ne peut pas accepter que son mandat commence de cette façon. Le Président devra réaliser sa promesse électorale de «to drain the swamp», puisqu’il apparaît maintenant évident que beaucoup d’employés du gouvernement américain ont été «tournés» pour agir contre les intérêts du peuple américain et du pays.

L’autre point important que l’affaire Michael Flynn met en lumière — et votre humble serviteur vous le répète depuis des années déjà — c’est que nous, les Occidentaux, avons un problème beaucoup plus gros en terme de sécurité nationale que simplement l’existence de l’État islamique ou nos relations difficiles avec des régimes hostiles comme la Russie, la Chine, la Corée du Nord ou Cuba. Ce sont nos institutions elles-mêmes qui sont attaquées, qui ont été tournées contre nous, la population et ses dirigeants, de telle sorte que l’on a l’impression maintenant que les renards sont en charge du poulailler. Les agences de renseignement américaines doivent aider le Président à mettre en place ses politiques. C’est curieux comme tout ce beau monde était bien tranquille durant la Présidence d’Obama. Comme l’a fait remarquer un des invités de Frank Gaffney, le concept de «politisation du renseignement» vient de prendre une toute nouvelle signification. Je m’arrête ici. Je vous implore d’écouter les entrevues que je vous propose ici et de réfléchir sur ce qui est train d’arriver à nos pays.

The Revenge of the Deep State

The Deep State

Quelques réflexions sur la victoire de Donald Trump

L’élection de Donald Trump à la Présidence américaine constitue un véritable miracle. Bien peu auraient pu prévoir ce scénario, incluant ses propres partisans. Quelques réflexions s’imposent sur ce résultat et ses conséquences. D’abord, il apparaît évident que la victoire d’un candidat populiste à la Présidence américaine pourrait signifier la fin du socialisme, celui que l’on a connu depuis 1945 jusqu’à aujourd’hui. En effet, depuis 1945, les peuples occidentaux ont été littéralement noyés sous une pluie de propagande gauchiste, marxiste et socialiste qui a changé en profondeur les sociétés occidentales, détruisant le socle conservateur et de droite sur lequel elles étaient fondées, et où la famille et l’agriculture jouaient un rôle premier. Car, il faut bien se l’avouer, le véritable perdant de la Deuxième Guerre Mondiale n’a pas été ni l’Allemagne ni l’Italie ni le Japon mais bel et bien plutôt la droite politique. Depuis 1945, la droite n’a plus eu le droit de parole, d’association ou d’expression et les institutions des sociétés occidentales ont été tour à tour soit abolies soit transformées, défigurées en pantins gauchistes faisant l’éloge de la pensée progressiste. Dans cette atmosphère de destruction et de désintégration, même l’Église Catholique n’a pas échappé à la subversion.

La victoire de Donald Trump donne donc de l’espoir au moment précis où tout apparaissait perdu. In extremis, nous avons évité la désintégration totale de la société occidentale par un cheveux. Bien sûr, nous ne savons pas encore de quoi l’Administration Trump aura l’air. Nous ne savons pas non plus s’il sera capable ou désireux de livrer la marchandise quant aux promesses qu’il a faites durant la campagne. En tous cas, j’espère qu’il le fera. Néanmoins, le résultat électoral qui l’a porté au pouvoir, suite à celui du Brexit, envoie un signal clair que les peuples en ont marre des politiques qui ont été mises en place depuis 1945. Si celles-ci ont réussi à créer un monde de paix et de prospérité pour quelques décennies, clairement, aujourd’hui, elles ne fonctionnent plus. Un monde nouveau demande à voir le jour et à être entendu et j’ai l’impression que peu importe ce que l’oligarchie euro-atlantiste puisse faire, celui fera sa place.

Cette victoire fut un travail d’équipe. Je ne crois pas que personne en particulier puisse en prendre crédit (à part Donald Trump lui-même, bien sûr.) Nous devons mentionner, parmi tous ceux qui ont participé à cette victoire historique, l’équipe de campagne, la famille de Donald Trump, les millions de supporteurs et d’électeurs qui ont voté pour lui, ainsi qu’une myriade de supporteurs via internet qui ont fait entendre leur voix, parmi lesquels ont retrouve des nationalistes, des membres du mouvement Alt-Right, des militants d’extrême-droite, de militants anti-mondialisation, des opposants aux traités de libre-échange, des opposants à l’immigration, etc. Chacun a mis l’épaule à la roue à sa façon. À cet effet, il remarquable que ce que j’appelle les forces de la liberté aient pu coller deux victoires en ligne, le Brexit et l’élection de Donald Trump. Comme retournement de situation, c’est assez spectaculaire.

Aussi, je crois que nous devons prendre cette victoire avec prudence et modestie. Si l’élection présidentielle américaine était une bataille importante que nous devions gagner, la guerre est loin d’être finie. Les forces de la tyrannie possèdent des moyens considérables, sont capables de mobiliser des masses importantes de personnes rapidement et elles n’hésitent pas à utiliser la violence ou l’intimidation si les choses ne vont pas dans leur sens. C’est pourquoi il est important de rappeler que la période de temps qui s’étendra jusqu’au 20 janvier prochain, date de l’entrée en fonction du Président Trump, est absolument cruciale. Un soin méticuleux doit être apporté à la transition des pouvoirs à la Maison Blanche. Monsieur Trump doit s’assurer qu’il a toutes les bonnes personnes aux bons postes stratégiques et que ce sont des gens en qui il peut faire confiance.

Par ailleurs, nous ne devons pas oublier non plus que l’on ne renverse pas 70 ans de propagande et de subversion gauchistes en un claquement de doigt. Ce sera un long combat, très dur, qui mobilisera toutes nos énergies. La victoire de Donald Trump marque non pas la fin du combat mais bien plutôt le début. Les forces de la tyrannie, communistes, socialistes, marxistes, islamistes, etc, pensaient pouvoir terminer la subversion de l’Occident pour le centième anniversaire de la révolution bolchévique de 1917. Malheureusement pour eux, heureusement pour nous, la victoire de Donald Trump tombe comme une brique et en laisse plusieurs pantois. Pour le moment, savourons cette grande victoire mais n’oublions jamais une chose. Dans l’histoire, seuls les hommes qui se tiennent debout survivent et triomphent. Ceux qui s’écrasent ou font exercice de génuflexion finissent tous par périr et disparaître. Alors, relevons la tête et défendons nos pays. Après tout, nous avons maintenant un allié de taille à la Maison Blanche. Profitons-en!