Jean-Yves Le Gallou présente quelques bobards médiatiques

Entre autres points intéressants abordés ici durant cet échange, Le Gallou décrit ce qu’est réellement l’Observatoire Syrien des Droits de l’Homme, i.e. un type tout seul basé à Londres prétendant savoir tout ce qui se passe en Syrie. Aussi, il déboulonne la ligne de propagande et de désinformation qui voudrait que ce soit la culture arabe qui ait permis la conservation et le transmission de la civilisation grecque antique. C’est évidemment totalement faux, comme le fait remarquer Le Gallou. Contrairement à ce qui est enseigné dans beaucoup d’écoles, il n’y a pas eu d’interruption de la transmission de la connaissance, des sciences et des techniques entre le monde greco-romain de l’Antiquité et le monde moderne, puisque l’Empire Byzantin a continué justement à abriter et à propager les connaissances de la civilisation grecque jusqu’à sa chute en 1453. On essaie de nous voler notre mémoire. Nos élites gauchistes, socialistes, communistes et corrompues veulent absolument nous présenter les peuples arabo-musulmans comme les sauveurs de l’humanité. À en croire leur discours, sans eux, nous ne serions rien. Vraiment?

La tenue vestimentaire des intervenantes dans les Centres Jeunessse: Lorsqu’un délinquant représente l’or le plus précieux

C’est encore une autre histoire cette semaine qui m’a mis le feu au cul. Imaginez-vous donc que l’on vient d’apprendre que depuis un certain temps dans les Centres Jeunesse, les intervenantes ont pris l’habitude de travailler assez légèrement vêtues, un peu trop sexy en fait, au point où des juges et différents intervenants et parents se sont sentis obligés d’en faire la remarque à la direction de ces Centres.

En fait, l’explication de ce phénomène est toute simple mais elle est désagréable à entendre. Comme dans le cas de l’affaire Tanya Pontbriand que j’analysais dans un article précédent, c’est aussi relié à la modernité. En effet, encore au dix-neuvième siècle, les jeunes femmes recherchaient parmi les meilleurs hommes possibles pour se marier et fonder une famille. Même les femmes issues de familles de paysans rêvaient d’un médecin, d’un avocat ou d’un notaire. Celles qui ne réussissaient pas à décrocher le gros lot devaient se contenter d’un bûcheron, d’un paysan ou d’un autre homme des classes populaires. En général, les femmes recherchaient un homme qui représentait quelque chose de mieux que ce qu’elles étaient pour améliorer leur condition.

Or, aujourd’hui, le pattern s’est complètement renversé. De nos jours les jeunes femmes, et particulièrement les très belles, recherchent les hommes qui représentent ce qu’il y a de pire dans la gente masculine: drogués, alcooliques, hommes violents, abuseurs sexuels, bandits, criminels, délinquants, paresseux, bref les crottés de toutes les sortes. À ce effet, je ne souviens plus le nombre de fois dans ma vie où j’ai croisé de ces petits merdeux…accompagnés de femmes absolument magnifiques. Vous ne me croyez pas? Retracez le genre d’hommes qu’ont eu les Jennifer Lopez, Kim Kardashian et autres très belles femmes de Hollywood ou de l’industrie de la musique dans les années précédentes et vous allez voir. Je dois vous dire personnellement que je n’y comprends absolument rien. Si j’étais une femme, jamais je n’ouvrirais mes jambes pour un vaurien. Mais il faut croire que les femmes d’aujourd’hui ont une « intelligence » que je n’ai pas. Elles courent après ce genre d’hommes comme s’ils représentaient l’or le plus pur. Continuer la lecture

Le procès de Tanya Pontbriand: Lorsqu’une tribu de Pygmées se sent investi de grandeur morale

Il y a des jours où j’ai honte parfois d’appartenir à la race humaine. En voici un. Notre société est en train de crucifier sur la place publique une femme adulte qui a tout simplement eu du plaisir sexuel avec un des ses étudiants. On ne parle pas ici d’une femme qui aurait fermé les yeux sur l’abus sexuel de ses propres enfants, d’une femme qui aurait tué son mari ou ses enfants, d’une femme qui aurait fraudé le fisc pour des millions de dollars ou encore envoyé des milliers de gens aux fours crématoires. On parle ici d’une femme qui a tout simplement couché avec un des ses étudiants, comme s’il s’agissait d’un crime grave. Je dois vous dire que durant mon adolescence, dans mon petit patelin du Saguenay-Lac-St-Jean, si jamais l’un d’entre-nous aurait eu l’occasion de « sauter » la prof d’éducation physique, non seulement il en aurait profité sans hésiter mais en fait il en rêvait. Pour ceux qui l’ignore peut-être, et pour les femmes qui liront ces lignes, vous devez savoir qu’à l’âge de douze ans les érections sont tellement fortes que l’on se demande si nos pantalons vont résister. Les garçons, lorsqu’ils sont adolescents, courent après de jeunes filles qui se font tirer l’oreille pour avoir des relations sexuelles et qui, lorsque finalement elles finissent par y consentir, le font souvent pour « faire plaisir » aux garçons. Alors l’éventualité d’avoir une partenaire sexuelle qui va au-devant du désir masculin est quelque chose d’inespéré pour tous les ados.

C’est pourquoi je ne comprends pas où le « plaignant » veut en venir exactement avec sa plainte. Selon les informations dont on dispose, ils auraient eu pas moins de deux cents relations sexuelles consenties à une époque où il avait quinze ans et il en a quelque chose comme vingt-cinq aujourd’hui. Pour quelqu’un qui a subi un préjudice, cela lui a pris du temps pour se rendre compte qu’il était traumatisé… S’il n’a pas cherché à mettre un terme à ces relations sexuelles après quelques occasions, je suis obligé de conclure qu’il y prenait plaisir et que cela faisait son affaire. Cette histoire ne tient pas debout. Pour ce qui est de la professeure, Tanya Pontbriand, je dois rappeler à tous qu’il s’agit d’une femme adulte qui a le droit d’avoir des relations sexuelles avec qui elle veut, en autant qu’il s’agisse d’individus qui ont atteint la puberté. C’est déjà assez pénible comme cela d’avoir à endurer que la sexualité des hommes adultes soit passée au peigne fin, que chacun de nos gestes soient analysés au microscope pour voir si, par hasard, il n’y aurait pas une quelconque forme d’abus, de harcèlement, d’attouchement, etc, s’il faut en plus que notre société se mette à écoeurer les femmes qui assument leur liberté sexuelle, on en finira jamais avec la bigoterie, le puritanisme et la répression sexuelle. Continuer la lecture