Le faisceau philosophique sur Nomos-TV: La technique

Documentaire sur la restauration du Parthénon

Cet excellent documentaire sur la restauration du temple grec du Parthénon est une métaphore incroyablement éloquente sur ce qui est arrivé à notre civilisation occidentale. Nous avons oublié qui nous sommes, nous ne savons plus comment construire des temples, sans parler du reste, ce qui fait que tout tombe en ruines. On nous dit que ce temple merveilleux aurait été construit en 9 ans, alors que l’homme contemporain, même avec les meilleurs outils, pourrait difficilement arriver à un tel résultat en plusieurs décennies voire même plusieurs siècles. L’homme moderne est dégénéré par rapport à ce qu’il était dans l’Antiquité. Jean Sendy a parfaitement raison lorsqu’il affirme, dans son livre L’ère du Verseau, que c’est l’humanisme adopté à la Renaissance qui est responsable de cet effondrement civilisationnel. L’homme est l’alpha et l’oméga de toutes choses, qu’on nous disait, il est parvenu à la civilisation par lui-même…Il n’en est rien évidemment, puisque pour apprendre, les humains ont besoin d’avoir des instructeurs, des guides, des professeurs. Pour mettre sur pied la civilisation humaine, les humains ont dû avoir de l’aide sinon, ils seraient encore semblables à des primates. Parmi les éléments significatifs présentés dans ce document, on notera l’utilisation du Nombre d’Or (1,618) entre autres pour le design de la façade du temple. Cette proportion a été utilisée pour la construction de nombreux temples dans beaucoup d’anciennes civilisations. Ce travail de restauration s’annonce très difficile mais il est nécessaire. Il est l’image du défi qui nous attend, nous les Occidentaux, afin que nous puissions sauver notre civilisation. Dans la présente vidéo, le documentaire reprend depuis le début vers 53:00 minutes.

Bacha Bazee: Lorsque certaines traditions de l’Afghanistan donnent le goût de vomir

Ce reportage sur cette « tradition » pachtoune donne la nausée. Filmé dans des conditions dangereuses, comme le souligne le présentateur, il nous montre un visage de l’Afghanistan que nos bons médias occidentaux, gauchistes pour la plupart, ne connaissent ni ne veulent connaître. La tradition du « Bacha Bazee », c’est ni plus ni moins que l’organisation de la prostitution de jeunes garçons destinée à des hommes d’âge mûr. On les habille, prépare, coiffe comme s’ils étaient des femmes, afin qu’ils aient une apparence féminine, pour des soirées durant lesquelles ils danseront pour séduire les hommes. Il n’est pas rare qu’ils soient abusés sexuellement par la suite, de façon répétée, et dans certains cas même ils se font carrément assassiner par leurs maîtres et/ou amants pour une raison ou une autre.

Or, ce phénomène se produit dans une société où les femmes sont exclues du regard des hommes, cachées derrière des burqas, bien sagement à la maison, en raison de l’islam rétrograde qui se trouve en Afghanistan, comme dans d’autres pays d’ailleurs. Et je vous l’avoue d’emblée, c’est ça qui me fait le plus suer là-dedans. J’ai remarqué trop souvent dans ma vie que le mépris des femmes et de la sexualité féminine mène presque toujours à ce genre de pratiques et de comportements. Là où les femmes ne sont pas désirées, ne sont pas considérées comme des objets de désir, les femmes dépérissent comme des fleurs sans eau ni lumière, et la sexualité masculine, elle, inévitablement, se pervertit pour prendre des formes déviantes. En effet, lorsque l’on est plus capable de bander sur une femme parce que l’on a le crâne rempli d’idioties religieuses ou réactionnaires, eh bien il est possible effectivement que l’on se mette à préférer les jeunes garçons. En visionnant ce document, on ne peut faire autrement que de mépriser la culture afghane qui a permis une telle pratique. Et l’on se dit, dans le fond, que les Américains et les Canadiens ont bien fait de s’y rendre avec leurs soldats. Si l’on était contre la mission en Afghanistan avant de voir ce reportage, on change d’avis rapidement. Cette tradition démontre avec une clarté étonnante l’incompatibilité de notre civilisation avec celle du monde arabo-musulman. Alors que la nôtre contient et encourage les idées de progrès, du respect des droits humains, des valeurs des Lumières, de la réflexion, de l’exercice du sens critique, la civilisation arabo-musulmane finit toujours, on dirait, par mener aux pires abus et à la barbarie. Franchement, je préfère de beaucoup nos danseuses nues en Occident à ces « Bacha Bazee ». Nous, quand on bande, on bande sur une vraie femme qui est libre de ses allées et venues et de mener sa vie comme bon lui semble. Continuer la lecture