La solution au problème démographique du Québec, la suite: La reproduction…

Dans un article précédent, je proposais de combler le vide démographique du Québec par une sélection minutieuse des immigrants. Les Vietnamiens m’apparaissant comme étant des populations qui s’assimilent de façon assez remarquable, j’ai développé une proposition en les donnant en exemple en compagnie de quelques autres groupes. Mais il est à noter ici que je n’ai jamais voulu dire qu’il n’était pas important pour les Québécois de souche de se reproduire. Loin de là. Bien sûr, nous devons recommencer à faire des enfants pour assurer la perpétuation de notre peuple car, comme chacun le sait, l’immigration n’est pas une solution à long terme dans ce domaine. Il n’y a que la reproduction des « locaux » qui puisse faire cela. Pour que les Japonais, Italiens, Russes, Espagnols, etc, et les Québécois de souche survivent comme peuples, ils doivent se reproduire. Personne d’autre ne peut le faire à leur place.

Or, nos dirigeants, et cela est vrai partout dans tout le monde occidental, n’ont pas cru bon mettre en place une politique officielle de reproduction de l’espèce. Pour une raison difficile à identifier, à part bien sûr la soumission béate aux dictats du socialisme, les gouvernements laissent cela aux individus, ironiquement, alors qu’il s’agit là de la survie même de la tribu qui est en cause. Une politique officielle est nécessaire afin d’encadrer les conditions matérielles, économiques, financières, du travail, sociales, dans lesquelles les divers peuples occidentaux pourraient assurer leur survie. Qu’il s’agisse d’allocations familiales, de conciliation travail-famille, de congés de taxes et impôts, etc, nous devons trouver les façons de rendre la reproduction attirante et avantageuse pour les individus, au lieu d’être un fardeau difficile à supporter comme cela est le cas présentement. Les musulmans et des immigrants provenant de cultures totalement différentes de la nôtre entrent ici à pleine porte. D’ici une ou deux générations, les Québécois de souche ne seront plus majoritaires et ne seront donc plus capables de faire respecter leur culture et leurs valeurs. Par surcroît, nos dirigeants s’illusionnent sur la capacité des sociétés occidentales à assimiler les nouveaux arrivants. C’est une question de nombre. Lorsqu’un certain seuil d’immigrants est dépassé, ceux-ci ne s’intègrent plus. Ce sont plutôt les populations d’accueil qui s’adaptent alors aux nouveaux arrivants, en faisant des concessions, en accordant des accommodements, etc. En d’autres termes, nos gouvernements choisissent de forcer leurs populations à changer pour plaire aux étrangers, au lieu d’encourager la reproduction de ceux qui ont construit l’Occident et forcer ainsi les immigrants à s’adapter à nos valeurs. C’est à n’y rien comprendre. Un changement de cap radical doit être effectué immédiatement. Les Occidentaux de souche doivent se reproduire, sinon ils vont mourir assimilés par des populations étrangères ou par le glaive des musulmans.

Pour compléter, un arrêt de l’immigration s’impose aussi pour éviter que le problème ne s’aggrave davantage avant qu’on ne puisse plus le régler. Des déportations massives sont à envisager également afin de faire sortir au plus vite les individus et les populations ayant des comportements subversifs, agressifs ou criminels envers les populations d’accueil. Comme vous le voyez, on a beaucoup de pain sur la planche si on veut sortir vivant du merdier dans lequel nous sommes plongés.