Entrevue avec Joel Skousen sur la menace que représente une alliance entre la Russie et la Chine

Joel Skousen amène ici durant cette entrevue une série d’excellents points pour bien comprendre la scène géo-stratégique actuelle. En gros, Joel Skousen présente la thèse selon laquelle la Russie a mis en scène son propre effondrement afin d’atteindre une série d’objectifs qui lui seraient utiles dans la guerre qu’elle mène contre l’Occident. Et la raison pour laquelle la Russie n’envahit pas l’Ukraine, selon Skousen, est que la Russie n’a pas les forces armées qui lui permettraient d’occuper l’Ukraine et doit donc attendre que la Chine soit prête pour la guerre. La proximité idéologique avec les nationalites occidentaux exhibée par Vladimir Poutine serait donc tout simplement du théâtre. Personnellement, je dirais que l’élément fondamental qui fait la démonstration que la Russie a mis en scène son propre effondrement est le fait que l’immigration massive et l’expansion de l’islam radical en Occident ont pris place après que le mur de Berlin soit tombé, alors que ces phénomènes étaient sous contrôle à l’époque de l’Union Soviétique. Logiquement, si l’on suit le discours narratif de la chute de l’Union Soviétique, on aurait dû assister à l’inverse. Je dirais aussi que les États-Unis, la Russie et la Chine sont trois empires qui sont en compétition pour les mêmes territoires et les mêmes ressources. Il n’y a donc aucune raison objective pour concevoir que Poutine puisse être un allié des nationalistes occidentaux. À VOIR ABSOLUMENT.

Lauren Chen s’entretient avec Yeonmi Park sur le totalitarisme

Yeonmi Park a vécu en Corée du Nord une bonne partie de sa vie. Elle raconte durant cette entrevue la surprise qu’elle a eue lorsque, rendue en Amérique, elle a été confrontée à la propagande communiste provenant des universités et des institutions américaines.

André Pitre: Nous devenons la Corée du Nord

Pour appuyer son propos, André Pitre présente des extraits du témoignage de Yeonmi Park donné sur les ondes de l’émission de Sean Hannity.

Les voyages totalitaires de nos bons Libéraux…

À peine quelques jours après leur victoire aux élections fédérales de 2015, certains hauts gradés du Parti Libéral du Canada se sont rendus en Chine pour une mission économique. Ils y ont rencontré là-bas des membres influents de la communauté des affaires chinoise. La Société Radio-Canada avait réalisé un reportage sur le sujet, où l’on voyait l’état-major du parti se démener sur le terrain pour conclure des alliances et des ententes. Le voyage semblait une réussite complète et les participants ravis des résultats. Aussi, il me semblait que le Premier Ministre nouvellement élu, Justin Trudeau, en avait profité pour faire un arrêt en Corée du Nord avant de revenir au Canada. Malheureusement, mes recherches dans Google ont été infructueuses à cet égard. Je n’ai pas réussi à trouver de références qui pourrait nous le rappeler. C’est bien dommage.

Voyez-vous, les élites Libérales du Canada sont devenues spécialistes de ce genre de voyage. Ils les multiplient, à tel point qu’on se demande s’ils ne préfèrent pas dans le fond se retrouver dans des pays totalitaires, dictatoriaux ou autoritaires plutôt que de se trouver dans le pays démocratique où ils ont été élus et où ils sont responsables du bien-être de leur population. On se souviendra que le Premier Ministre Libéral du Québec Philippe Couillard, qui a vécu dans le régime islamiste de l’Arabie Saoudite plusieurs années, s’est rendu à Cuba en septembre 2016 pour une mission économique, où il a eu l’occasion de rencontrer Raul Castro lui-même. Le Premier Ministre arborait un très large sourire aux lèvres lors de cette rencontre. En janvier 2018, Couillard s’est à son tour rendu en Chine, encore une fois pour une mission économique. Il a eu droit d’accès à la Cité interdite, ce qui est assez rare pour un dignitaire étranger. Il y a fait la rencontre de plusieurs ministres du gouvernement chinois. On peut se demander à cet égard quels sont les critères qui déterminent la décision par les autorités chinoises de donner ou de ne pas donner accès à la Cité interdite à un dignitaire étranger. Est-ce la réputation, l’orientation idéologique, les valeurs, la vision de l’économie? Quel élément fait pencher la balance d’un côté ou de l’autre?

Le dernier épisode en date de ce genre de voyage a été réalisé par nul autre que le Premier Ministre du Canada, Justin Trudeau, lors de son voyage en Inde voilà quelques semaines. Trudeau en a profité pour enfiler le plus possible de vêtements traditionnels et il était entouré d’une délégation sikh assez importante. Comme cela a été souligné par certains, comme Alexandre Cormier-Denis de Nomos-TV, plusieurs ministres de son gouvernement sont issus de la communauté sikh et certains semblent avoir des liens avec des groupes extrémistes sikhs. C’est peut-être pour cela qu’il y a été accueilli avec des sentiments partagés par les autorités indiennes.

Ce qui est frappant dans tout cela, c’est le type de pays qui est choisi par nos élites Libérales canadiennes pour leur ‘missions économiques’. C’est très souvent la Chine, Cuba, des pays arabes, etc. Or, si ces bonnes élites Libérales étaient réellement composées de patriotes, on s’attendrait à ce qu’elles se rendent en priorité appuyer les autres patriotes qui défendent nos libertés dans des pays comme le Japon, Israël et les quatre pays du Groupe de Visegrad, à savoir la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et la République Tchèque, d’une part et, d’autre part, dans des pays où les patriotes sont en difficulté, ce qui est le cas de l’ensemble des pays occidentaux, à part les quelques exceptions nommées plus haut. Et lorsque ces bonne élites se rendent aux États-Unis par exemple, c’est pour ‘mettre de la pression‘ sur le gouvernement américain comme l’a si bien dit Philippe Couillard, et non pas pour appuyer Donald Trump et l’ensemble des patriotes américains. (Notables exceptions ici, le maire de Montréal Denis Coderre s’est rendu au Japon en juillet 2014 et la nouvelle mairesse de Montréal s’y trouve au moment d’écrire ces lignes.) En fait, cela n’intéresse pas nos élites Libérales d’appuyer les patriotes. Leur priorité, c’est la Chine ou un de ses pays satellites. J’imagine que dans les prochaines semaines ou prochains mois on va nous annoncer un voyage en Iran ou en Corée du Nord. Ce serait tout à fait logique avec leur façon de faire et avec leurs valeurs. J’espère que les Québécois et les Canadiens se souviendront de tout cela au moment de voter lors des prochaines élections, qui auront lieu respectivement en 2018 au Québec et en 2019 au Canada.

Réunion publique du Président Trump à Harrisburg, 29 avril 2017

Le Président Trump a tenu cette réunion publique pour souligner les 100 jours de son administration et pour honorer sa promesse de boycotter le dîner des correspondants de la Maison-Blanche.

Entrevues avec Mark Helprin et Yoram Ettinger sur Secure Freedom Radio

Ces deux entrevues récentes de Secure Freedom Radio ont retenu mon attention. La première, avec Mark Helprin, s’arrête sur les différents défis qui attendent le Président-élu Donald Trump au niveau de la sécurité nationale. La seconde, avec l’ambassadeur Yoram Ettinger, fait le tour des différents problèmes auxquels fait face l’état d’Israël dans la défense de son territoire face aux djihadistes islamistes et à des organisations internationales, comme l’ONU par exemple, qui encouragent des mouvements de boycott comme le BDS et autres initiatives pour délégitimer Israël.

Mark Helprin sur Secure Freedom Radio

Yoram Ettinger sur Secure Freedom Radio

Agenda du Président-élu Trump pour les cent premiers jours

Dans cette courte vidéo, le Président-élu Donald Trump présente son agenda pour les cent premiers jours de son Administration. Ces mesures seraient mises en place ou en application dès le jour 1. En date d’aujourd’hui, les compagnies Ford et Carrier ont renoncé à certaines délocalisations au Mexique afin de garder les emplois aux États-Unis. Cela ne se serait jamais matérialisé sans le leadership du Président-élu et son plan de match pour faire à nouveau des États-Unis une puissance économique de premier plan. Je profite de l’occasion pour me prononcer sur le processus de nomination à des postes stratégiques. J’ai évité de le faire jusqu’à maintenant car je faisais confiance au Président-élu pour choisir les bonnes personnes. Mais, le poste de Secrétaire d’État étant si critique pour le bon fonctionnement du gouvernement, je ne peux m’empêcher de faire les remarques suivantes. D’abord le nom de John Bolton saute aux yeux immédiatement. Bolton a toutes les qualités et l’expérience requises pour bien s’acquitter de cette tâche. Il incarne le sérieux, le professionnalisme et le réalisme politique qui sont déterminants dans ce genre de fonction. Aussi, je dois avouer que je trouve étrange que quelqu’un comme Mitt Romney soit considéré pour le poste de Secrétaire d’État. Romney a été absolument lamentable durant la campagne présidentielle de 2012. Il a complètement disparu les deux derniers mois de la campagne. Comme Secrétaire d’État, les États-Unis ont besoin de quelqu’un qui pourra tenir tête aux Ayatollahs iraniens, à la Russie, à la Chine, à la Corée du Nord, à Cuba et à tous les autres régimes dictatoriaux du monde. Si Mitt Romney n’a même pas voulu ou été capable de tenir à Obama lors d’une campagne électorale, comment pourrait-il tenir tête à ces gens-là lors de rencontres internationales? De toute façon, rien n’empêche Mitt Romney de servir dans l’Administration Trump dans d’autres fonctions. Parmi les autres candidats mentionnés, je suis sûr que Rudy Giuliani ferait un bon choix mais c’est une question de préférence. Également, des gens comme Newt Gingrich et Mike Huckabee pourraient très bien servir le gouvernement et le peuple américains. Il s’agit tout simplement pour l’équipe de transition du Président-élu de leur trouver le bon rôle à jouer. Par ailleurs, pour ce qui est des postes au niveau de la sécurité nationale, le Président-élu Trump devra choisir des gens avec lesquels il est complètement en phase au niveau du plan de match et en qui il a pleinement confiance. De toute évidence, ce seront des nominations extrêmement difficiles puisque les conséquences de mauvaises nominations en ce domaine sont toujours très graves. De façon générale pour conclure, je suis très satisfait du processus de transition jusqu’à maintenant. Ce sera sans doute le plus beau Noël depuis plusieurs années!

Entrevue avec Kevin Freeman sur Secure Freedom Radio

Ne manquez pas cette excellente entrevue avec Kevin Freeman sur la guerre économique se déroulant entre les États-Unis et ses compétiteurs au niveau mondial que sont la Chine, la Russie, les pays du Golfe Persique et des acteurs du monde de l’ombre s’adonnant aux cyberattaques et autres manoeuvres.

Kevin Freeman sur Secure Freedom Radio