Coup de gueule de David Icke contre Donald Trump, suivi d’une entrevue avec Andrew Torba, PDG de Gab

David Icke se vide le coeur contre le Président Trump durant cet entretien. Entre autres, il reproche à Trump de ne pas avoir pardonné Edward Snowden et Julian Assange. Aussi, il fait remarquer que Trump a rejoint la plateforme Rumble mais sous condition que celle-ci adopte des mesures pour combattre l’anti-sémitisme’. Des manoeuvres similiaires avaient été tentées lors de négociations avec la plateforme Gab. Son PDG, Andrew Torba, avait refusé de se plier aux exigences de Jared Kushner et de l’équipe Trump. Une entrevue avec Andrew Torba suit la vidéo. Vous pourrez l’entendre expliquer les circonstances exactes dans lesquelles il a dû refuser que Trump rejoigne sa plateforme, puisque les conditions imposées par l’équipe Trump, entre autres sur la liberté d’expression, étaient inacceptables.

Personnellement, je commence à penser que le temps est venu pour les patriotes de prendre leurs distances d’avec Trump. Nous devons nous organiser, mener nos luttes patriotiques en fonction de nos intérêts et arrêter de se fier sur Trump pour qu’il règle tous nos problèmes. David Icke a mentionné le pardon manqué envers Snowden et Assange et le fait qu’il semble contrôlé par Jared Kushner, un homme plus jeune que lui d’une quarantaine d’années. Mais il y a d’autres choses que l’on peut reprocher à Trump. Comme par exemple le fait qu’à ce jour, il refuse toujours de reconnaître que les vaccins pour la covid-19 sont très dangereux. Encore récemment dans une entrevue téléphonique, il recommandait aux Américains d’aller se faire vacciner. Trump s’est fait avoir avec le vaccin et il le sait. Il pourrait au moins le reconnaître au lieu d’essayer de sauver la face. Aussi, une autre chose qui m’agace profondément sur la présidence de Trump, est le fait qu’il n’a presque rien fait pour protéger ses partisans des attaques physiques, verbales et psychologiques provenant des organisations gauchistes et des Démocrates. Il s’est contenté d’écrire un ordre exécutif sur la protection des monuments. Or, un ordre exécutif sur la protection des personnes aurait été nécessaire. De plus, durant ses rallyes, il donne souvent des statistiques sur le taux de chômage des afro-américains et des latinos mais jamais sur celui des blancs, alors que ceux-ci constituent pourtant la majeure partie de son électorat. Bref, le temps est venu pour les patriotes de se prendre en main. Personne ne viendra nous sauver. Nous devons nous sauver nous-mêmes et cela commence par arrêter de vouer à culte à Trump.

ANDREW TORBA: THE FUTURE OF GAB

Deux extraits d’entrevues avec Edward Snowden sur la cybersécurité

Thomas Rid on active measures and the secret history of disinformation and political warfare, on Hidden Forces

Active Measures: The Secret History of Disinformation & Political Warfare | Thomas Rid

Edward Snowden talks about the Deep State in the U.S.

What Snowden talks about here is interesting to reflect upon in respects with the Mueller probe on the so-called «Russia Collusion». Where does surveillance and investigation end and where the witch-hunt begins?

Entrevue avec Karen Stewart sur son passage à la NSA

Karen Stewart a travaillé à la NSA de 1982 à 2010 lorsqu’elle a été congédiée. Elle offre ici un témoignage troublant sur certaines pratiques douteuses qui auraient eu lieu à la NSA alors qu’elle y travaillait. Les ennuis de Karen Stewart ont commencé le jour où elle s’est plaint que le fruit de son travail à la NSA aurait été subtilisé par des collègues de travail pour être crédité à d’autres. Selon le récit qu’elle donne des événements, elle aurait été la cible dès lors de toutes sortes de pratiques de harcèlement et d’intimidation, allant de la filature, de l’empoisonnement de son animal domestique, de harcèlement de groupe, à l’invasion domiciliaire et à l’installation d’équipements d’écoute électronique dans son appartement. Elle décrit un climat de travail assez complexe dans lequel, notamment, des employés de sexe féminin ciblent des hommes en postes de responsabilité à la NSA afin d’obtenir des faveurs et des promotions. À ce sujet, elle mentionne spécifiquement la « sécurité » de la NSA qui semble jouer un rôle de premier plan dans les pratiques de harcèlement qui s’y dérouleraient. Elle mentionne aussi, de façon plus générale, que la NSA aurait pris la mauvaise habitude de faire du harcèlement électronique sur certains individus en particulier, aux États-Unis et ailleurs dans le monde. Selon elle, 350 000 personnes aux États-Unis feraient l’objet de certaines de ces pratiques. Ce harcèlement électronique prendrait la forme de l’utilisation de certaines « armes à énergie ». Karen Stewart a intenté une poursuite contre la NSA dont la décision est attendue. Pour ma part, je considère cette affaire beaucoup plus significative que l’affaire Snowden. Edward Snowden est tout simplement quelqu’un qui a fait défection pour un autre pays en amenant avec lui des documents classifiés. On a déjà vu ça. Il n’y a rien de nouveau. Par contre, le témoignage de Karen Stewart tend à démontrer qu’il y a un réel problème d’éthique de travail à la NSA que le Président-élu Trump n’aura pas le choix de régler. De toute évidence, un ménage s’impose. Un article récent de Fox News faisait état justement de la recommandation du Directeur du Renseignement National James Clapper et du Secrétaire à la Défense Ashton B. Carter de remplacer Michael S. Rogers à la tête de la NSA. De toute évidence, des choix importants attendent le Président-élu qui auront un impact décisif sur la façon dont le renseignement est accumulé et utilisé pour assurer la défense de nos pays et de notre culture dans le respect des droits des citoyens. Je fournis également un article écrit sur le sujet, en plus de l’entrevue accordée au micro  de Luca Zanna.

NSA Whistleblower Karen Stewart Speaks Candidly About Illegal and Criminal NSA & FBI Programs of Organized Stalking and Electronic Harassment in the USA & Abroad

Quelques épisodes de FTR sur le dossier du fascisme technocratique

Ces quatre épisodes de l’émission For The Record de l’animateur radio Dave Emory présentent le problème de ce qu’il appelle le « fascisme technocratique ». Par le biais de médias qui ont l’air tout à fait « démocratiques » comme les médias sociaux, notamment Facebook, l’oligarchie mondialiste formée par la haute finance, les entreprises technologiques, les grandes fortunes, etc, augmente son niveau de contrôle sur les masses endormies, sans que cela paraisse. À l’aide de plusieurs exemples, Emory montre comment les transformations sociales amenées par les nouvelles technologies nous mèneront inévitablement vers un monde cauchemardesque.

FTR #867 Because They Can, Part 3: Fireside Rant about Technocratic Fascism as “Cyber-Crowleyism”

FTR #866 Because They Can, Part 2: More about Technocratic Fascism

FTR #859 Because They Can: Update on Technocratic Fascism

FTR #851 Technocratic Fascism and Post-Reaganoid Political Dementia: Update on the Adventures of Eddie the Friendly Spook

Les opérations d’influence et d’espionnage du Bloc de l’Est…

Cet excellent documentaire dresse le portrait d’ensemble des opérations d’influence et d’infiltration du KGB et autres services d’espionnage soviétiques dans l’hémisphère occidental. Bien que la Guerre Froide soit officiellement terminée, il est clair que diverses opérations d’espionnage et d’infiltration de notre hémisphère sont toujours en cours, parrainées par divers pays, régimes et intérêts qui nous sont hostiles, ce qui rend ce document toujours très pertinent. Certaines filières, comme la filière cubaine, sont regardées. Certaines techniques de persuasion ou de recrutement, comme le sabotage, l’assassinat, le blackmail et le pot-de-vin sont évoquées. Parmi les points d’intérêts, on apprend que les Weathermen se sont rendus vers 1970 à Cuba pour s’entraîner aux techniques terroristes, sous le couvert d’une organisation militante de gauche appelée la Brigade Venceremos. Les Cubains étaient perçus comme étant à la fine pointe des forces communistes internationales. En octobre 1969, on se souviendra que les « Jours de rage » ont fait des dégâts importants à Chicago. On se souviendra également que c’était l’époque où le FLQ était actif au Québec. Ainsi, vers 1h 03minutes, le témoignage d’un des participants du documentaire nous révèle qu’au printemps 1970, des membres des Weathermen se seraient rendus au Canada pour rencontrer des membres du FLQ afin de tisser des liens plus étroits et coordonner leurs opérations. Bill Ayers faisait parti de la délégation. Aussi, vers 2h00, la question de la désinformation et de faux rapports de renseignement est regardée. Ceci n’est pas sans rappeler les scandales de Wikileaks et des agissements d’Edward Snowden. En effet, dans ces deux cas, autant Julian Assange qu’Edward Snowden ont fourni des quantités phénoménales de documents et de supposés « rapports de renseignement », alors que le public n’a aucun moyen de savoir ou de vérifier s’il s’agit bel et bien de document authentiques. Également, il n’est pas sans intérêt d’entendre une des plus célèbres espionnes russes durant la Guerre Froide, Hede Massing, déclarer vers 29:00 minutes qu’elle a fini par comprendre qu’elle ne combattait pas du tout le fascisme. Elle était plutôt manipulée par les Russes… Un documentaire à ne pas manquer.

https://youtu.be/GFh6qFd1skw

Émission #827 de l’animateur radio Dave Emory: Réflections sur l’affaire Edward Snowden

Emory livre ici ses impressions et réflexions sur l’affaire Edward Snowden, alors que ce dernier pourrait très bien être tout autre chose qu’un patriote. Emory passe en revue les associations professionnelles connues de Snowden, ses manifestations sur internet révélant ses idées et conceptions du monde. L’animateur discute également des implications des nouvelles technologies que nous maîtrisons à peine et qui risquent de créer des problèmes dont nous ne soupçonnons pas encore toute la portée. Nous vivons déjà dans un monde de type « meilleur des mondes » et/ou « 1984 » et cette situation s’accentuera dans les années à venir, puisque les nouvelles inventions qui voient le jour présentement ne feront que renforcer le contrôle immense que les grands de ce monde possède déjà sur le moindre des citoyens et le menu détail de sa vie personnelle. Il n’y a plus de vie privée ni de liberté d’expression ni de droits. Nous vivons dans une téléréalité 24 heures sur 24 et les perspectives annoncées par le monde de demain sont absolument terrifiantes. Voici la page web décrivant l’émission ainsi que le fichier audio:

FTR #827 Brave New World: Update on the Adventures of Eddie the Friendly Spook

Fred Fleitz analyse le processus d’enquête menant à l’obtention d’une cote de sécurité aux États-Unis

Excellente analyse ici de Fred Fleitz. Depuis quelques années, le processus d’enquête menant à l’obtention d’une cote de sécurité aux États-Unis s’est passablement relâché. Voyez-vous, la NSA donne à des sous-contractants la tache de faire les vérifications nécessaires en ce domaine. Or, il est un fait établi maintenant que des quotas existent quand au nombre quotidien d’approbations à obtenir par les agents des firmes engagées. En d’autres termes, c’est un peu comme à l’usine, les agents de vérification doivent donner un certain nombre de cotes de sécurité, comme un agent de télémarketing doit vendre un certain nombre de balayeuses ou de thermopompes avant de quitter pour la journée. Aussi, ce genre de pratique ne fait qu’accroître les préoccupations liées à la vie privée. Non seulement des cotes de sécurité peuvent être données à des gens qui ne les méritent pas mais, en plus, on ne connaît pas bien le background des agents eux-mêmes travaillant pour ces sous-contractants. Le résultat final est probablement que bon nombre de ces approbations ne valent absolument rien, puisqu’elles sont données par des gens qui ne sont pas des professionnels du renseignement d’une part, et qui, d’autre part, les donnent à n’importe qui pour rencontrer leur quotas. Durant l’entrevue qui suit, Fleitz mentionne que le sous-contractant USIS aurait donné jusqu’à 40% d’approbations totalement bidons. C’est beaucoup.

On peut donc prendre pour acquis que des gens appartenant à des organisations criminelles, islamistes, terroristes, ou tout simplement de pures incompétents, ont ainsi eu accès à nos systèmes des sécurité et à l’infrastructure de nos communications. Pas étonnant qu’on ait tant de problèmes. Suite à l’affaire Snowden, beaucoup de gens se sont affolés que la NSA ne respecterait pas la vie privée des citoyens. Mais, voyez-vous, si des gens lisent vos courriels, écoutent vos conversations téléphoniques ou ont accès à l’historique de votre navigation internet, ce ne sont probablement pas les agents de la NSA, longuement formés et professionnels. Les probabilités sont à l’effet que ce sont plutôt les sous-contractants eux-mêmes ou ceux à qui ils ont donné des cotes de sécurité bidons qui le font. L’affaire Snowden a déplacé le problème. Ce n’est pas la NSA qui est en cause. C’est plutôt le fait de donner des activités de renseignement à sous-contrats qui l’est. Aucune agence ne devrait jamais donner aucun travail de renseignement que ce soit à sous-contrat. Point. Sinon, cela représente un risque de sécurité. Et les agences de sécurité ne sont-elles pas là justement pour assurer notre sécurité? Retrouvez l’entrevue avec Fred Fleitz au 2ème segment:

Fred Fleitz sur Secure Freedom Radio

Daniel Gallington commente le dossier de la surveillance électronique

Vous trouverez l’entrevue avec Daniel Gallington au premier segment du premier lien. Je vous suggère également, si cela vous intéresse, la réaction du Center for Security Policy à un rapport commandé par le Président Obama sur l’affaire de la NSA. Un panel, le Review Group on Intelligence and Communication Technologies, a déposé un rapport le 12 décembre dernier, dans lequel il a fait une série de recommandations au Président pour améliorer (le pensent-ils du moins) les pratiques de surveillance électronique de la NSA. Le Center for Security Policy, en total désaccord avec ces recommandations, a donc rétorqué avec ses propres propositions, dans un document intitulé A Critique of the Recommendations by the President’s Review Group on Intelligence and Communication Technologies, rédigé par Fred Fleitz et Clare Lopez du CSP. Vous trouverez le lien ci-dessous.

Daniel Gallington sur les ondes de Secure Freedom Radio

A Critique of the Recommendations by the President’s Review Group on Intelligence and Communication Technologies