Message au Pape François: Le temps est venu de lancer une nouvelle Croisade…

Le Lys d'Or

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Très Saint Père,

Le temps est venu de lancer une nouvelle Croisade. Le monde chrétien est en guerre contre le monde musulman depuis quatorze siècles, et ce malgré nos efforts répétés pour vivre en paix avec celui-ci. Le monde musulman, de toute évidence, ne veut pas la paix, cela ne l’intéresse pas. Il ne veut que la guerre, comme lui enseigne d’ailleurs son prophète et son livre saint.

L’Église Catholique a connu bien des transformations depuis sa naissance. Elle qui était au départ une petite communauté, est devenue ensuite un Empire, avec les hauts et les bas que cela comporte et son lot d’erreurs. Suite aux révolutions démocratiques du XVIIIème siècle, l’Église a perdu de son lustre et de son influence, laissant davantage de place aux hommes politiques et à leurs systèmes idéologiques qu’ils essaient tant bien que mal de faire fonctionner. De fortes pressions se sont alors exercées sur l’Église pour qu’elle change, se modernise, s’adapte et pour une bonne part, les changements qui ont été apportés ont été bénéfiques. Le Concile de Vatican II a essayé, dans cet esprit, de transformer le langage, les attitudes, les gestes de l’Église pour qu’ils témoignent d’un meilleur respect envers les chrétiens et cela s’est avéré un succès.

Sur le plan historique, le Concile de Vatican II a coïncidé dans le temps avec d’autres changements sociaux importants comme la révolution des années soixante, la montée en force du crime organisé et l’infiltration soviétique, entre autres. Or, il faut bien admettre que la combinaison de toutes ces influences et son résultat final ne sont pas très bons. Si, d’une part, le Concile a permis de libéraliser certaines pratiques et de soulager le joug qui pesait sur beaucoup de croyants, d’autre part, cinquante ans plus tard, ces changements ont laissé place à autre chose. Nos populations sont désormais paresseuses, inertes, endormies, de faible niveau sur les plans spirituel et intellectuel. Elles passent le gros de leur temps, en dehors du travail, soit à écouter la télévision soit à échanger sur Facebook. Elles ne se reproduisent plus et s’évertuent à défendre les droits de ceux qui rêvent de les exterminer. Elles ne sont plus conscientes du devoir de civilisation qui incombe à chacun d’eux, la vie spirituelle s’étoile, rendant les chrétiens incapables de défendre leur territoire et de résister à l’invasion. Pour ce qui est de nos leaders politiques, ils sont pour la plupart irresponsables, lâches, paresseux, mous, incapables de prendre quelque décision que ce soit sans consulter les sondages. Ils ne pensent qu’aux élections et remettent tout ou presque à plus tard par peur de déplaire. Les hommes, les mâles, sont devenus gras, obèses, mous et féminisés. Ils ne sont plus les vaillants guerriers et constructeurs d’autrefois qui accumulaient les exploits. Les femmes, elles, passent leur temps à avoir des relations avec des criminels, des dérangés, des toxicomanes ou des ivrognes au lieu d’apprécier la compagnie d’hommes héroïques, pour peu qu’il en reste.

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Étienne Pinte et Mgr Jacques Turck dénoncent le vote Front National: Attention, les souffleurs de verre contre-attaquent…

Étienne Pinte, député UMP des Yvelines et Mgr Jacques Turck, Prélat d’Honneur et curé de Saint-Étienne – Saint-Bruno à Issy-les-Moulineaux, viennent de publier un livre intitulé Extrême-droite. Pourquoi les chrétiens ne peuvent pas se taire, dans lequel ils s’inquiètent de la montée des intentions de vote du Front National chez les pratiquants catholiques. Les auteurs y détaillent les propositions du Front pour ensuite s’efforcer de démontrer leur supposée « incompatibilité » avec les valeurs « chrétiennes et évangéliques ». Leur argumentaire s’articule autour de notions que l’on entend souvent de la part des détracteurs de ce parti politique, à savoir le « rejet de l’étranger », la « fermeture des frontières », le « rejet de la diversité, etc. Je vous propose deux débats qui ont eu lieu récemment. Le premier, présenté lors de l’émission « Ça vous regarde » sur la chaîne LCP, opposait Pinte et Turck à Louis Aliot, vice-président du Front National. Antoine D’Abbundo, rédacteur en chef du magazine Pèlerin, était aussi présent afin de donner un éclairage sur la question qui se voulait non partisan. Le deuxième, présenté sur les ondes de Radio Notre-Dame dans le cadre de l’émission « La voix est libre », opposait ces deux mêmes catholiques à Bruno Gollnisch, député français au Parlement européen et président du groupe Front National au Conseil régional Rhône-Alpes.

Avant de vous laisser le plaisir (mais je crois surtout le déplaisir) de visionner et d’écouter ces deux débats, laissez-moi vous faire part de mes observations. Tout d’abord, en tant qu’ancien Grand Séminariste qui a quitté la vénérable institution du Grand Séminaire en claquant la porte, et en tant que théologien, je dois dire que je suis profondément écœuré par tous ces prélats, monseigneurs, mouettes de sacristie, bedeaux fanatiques et autres catholiques convaincus qui n’ont de chrétien que le nom. Depuis ce jour béni où j’ai quitté le Grand Séminaire, je n’ai cessé de constater à quel point les chrétiens catholiques, et spécialement les hommes d’église, ne vivent pas dans la réalité. Ils soufflent du verre. À les entendre parler, on a toujours l’impression qu’ils parlent d’un monde qui n’existent pas. Ainsi, ils passent leurs journées à faire la leçon à tout le monde alors qu’ils ne touchent souvent en aucune façon aux peines qui affligent les citoyens ordinaires. Par exemple, on les entend faire la morale aux femmes qui se font avorter alors que comme hommes ils ne seront jamais aux prises avec une grossesse, prêcher au peuple d’adopter certains comportements de « générosité » et d « ouverture » envers les autres alors qu’eux-mêmes vivent dans des tours d’ivoire protégées et à l’écart de la société civile, suggérer aux gens de payer toujours de plus en plus de taxes et d’impôts pour accueillir toujours de plus en plus d’étrangers, alors qu’eux-mêmes ne travaillent pas de leurs mains pour gagner leur pain et qu’ils vivent plutôt aux crochets des autres, par le biais de la « charité », de la dîme et de la quête dominicale… Continuer la lecture