Jane Ruby s’entretient avec Sasha Latypova sur l’opération militaire derrière les injections pour la covid-19

Ne manquez pas vers 34:00 minutes dans la première vidéo, on peut entendre un extrait audio d’une conversation tenue chez AstraZeneca où les employés admettent qu’ils travaillent depuis 2017 avec le Département de la Défense américain pour la production de nouveaux produits pour combattre les maladies. Donc, les injections pour la covid-19 produits par AstraZeneca ont été réalisées en collaboration avec l’Armée américaine. Dans la deuxième vidéo, Sasha Latypova décrit certains signes par lesquels on peut reconnaître l’opposition contrôlée.

La docteure Ana Maria Mihalcea présente les données scientifiques du phénomène de la transmission vaccinale

Jane Ruby explique comment les membres du Congrès américain se sont exemptés de l’obligation vaccinale tout en protégeant les compagnies pharmaceutiques

Parmi les éléments intéressants de cette vidéo, on notera que les vaccins sont considérés comme étant des «contremesures couvertes» aux États-Unis lorsque le PREP Act est en cours d’application. Ainsi, c’est le programme Countermeasures Injury Compensation Program qui couvre les réclamations en cas de blessures ou maladies suite à l’injection d’un vaccin et non pas le programme qui avait été mis en place par Reagan. Donc, en toute probabilité, ceux ayant été blessés par les injections pour la covid-19 ou un autre vaccin similaire n’obtiendront aucune compensation. Aussi, le consentement éclairé aurait été aboli tout dernièrement, selon les recherches de Jane Ruby.

Des employés de la santé au Colorado auraient été vaccinés pour l’Ebola avec un vaccin qui favorise la propagation

Apparemment, le taux de transmission vaccinale pour ce vaccin serait de 31%! C’est suffisant pour créer une véritable épidémie. Alex Jones s’entretient avec le docteur Richard Bartlett sur le sujet.

Alex Jones s’entretient avec le professeur Denis Rancourt sur la pandémie, l’excès de mortalité et les injections pour la covid-19

Ne manquez pas cette entrevue de haut niveau avec le professeur Denis Rancourt. En conversation avec Alex Jones, Denis Rancourt présente durant cette entrevue non seulement la science réelle expliquant ce qui s’est réellement passé durant la ‘pandémie’ mais aussi l’arrière-fond géo-politique et civilisationnel qui l’a rendue possible. Durant la présentation de Denis Rancourt, on peut voir des graphiques et des tableaux illustrant son propos. L’absence d’excès de mortalité en 2020 jusqu’au déploiement des injections pour la covid-19 démontre qu’il n’y a pas eu de pandémie de covid-19 et donc qu’il n’y avait pas de nouveau pathogène en circulation. Ce sont les mesures sanitaires mises en place qui ont causé les décès. L’excès de mortalité s’est produit seulement lorsque les injections pour la covid-19 ont été déployées. Je joins également la conférence du professeur Rancourt présentée lors du symposium International Crisis Summit IV. À VOIR ABSOLUMENT ET À PARTAGER SUR TOUTES LES PLATEFORMES.

Jane Ruby commente l’appel du docteur Joseph Ladapo de bannir les injections pour la covid-19

Entrevue avec Karen Kingston sur les nanotechnologies contenues dans les injections pour la covid-19

Jeff Dornik s’entretient avec Karen Kingston sur différents aspects de la tyrannie covidienne

La docteure Jane Ruby commente les décès de bébés causés par les injections pour la covid-19

La docteure Jane Ruby a raison. Même si certains d’entre nous n’ont pas pris l’injection pour la covid-19 et même si les gouvernements ont grandement diminué leur propagande pour inciter les gens à la prendre, le dommage est fait. Une proportion élévée de la population est maintenant contaminée par les nanotechnologies contenues dans les injections pour la covid-19. Et ceux qui n’ont pas pris l’injection sont également contaminés eux aussi par les mêmes nanotechnologies en raison du phénomène de la transmission vaccinale. Les mondialistes peuvent sortir leur cigare et le déguster. Ils ont réussi à mettre leur technologie à l’intérieur du corps humain et ce sera tout un travail que de tenter de l’expulser et de renverser ses effets.

La docteure Jane Ruby discute de l’autorisation d’urgence donnée aux États-Unis au médicament appelé Gohibic