John Loftus parle de son dernier livre, America’s Nazi Secret

Le Lys d'OrBetween the iron gates of fate,
The seeds of time were sown,
And watered by the deeds of those
Who know and who are known;
Knowledge is a deadly friend
When no one sets the rules.
The fate of all mankind I see
Is in the hands of fools.

Extrait de la chanson « Epitaph » du groupe King Crimson

Un entretien vraiment exceptionnel considérant l’état lamentable du travail médiatique d’aujourd’hui. Dans cette entrevue accordée à la chaîne médiatique internet d’Alex Jones, Loftus présente certains des secrets les mieux gardés et des plus scandaleux de la Deuxième Guerre Mondiale et de la Guerre Froide. Entre autres sujets, on y apprend que les services secrets britanniques et le Département d’État américain ont littéralement « dumpé » des centaines d’agents nazis en Amérique après la guerre, scientifiques et agents de renseignements, que plusieurs grandes familles américaines ont investi massivement non seulement dans l’Allemagne nazie et l’Arabie Saoudite dans le but de récolter d’immenses profits mais aussi dans le mouvement bolchévique en Russie, qui lui n’a pas rapporté contrairement aux deux autres. Loftus explique les agissements de ces grandes familles ainsi que de leurs avocats et agents tels les Allen Dulles, Henry Kissinger et plusieurs autres. Aussi, Loftus révèle qu’il fut l’un des rares à avoir accès aux voûtes secrètes situées au Maryland, grâce à sa cote de sécurité maximale. C’est à cet endroit qu’il a pu découvrir la vérité sur le monde d’après-guerre et entrevoir les conséquences désastreuses des décisions qui ont été prises par les dirigeants de l’époque.

Outre le contenu présenté ici, on ne peut faire autrement que de remarquer le parallèle évident qui existe entre ce qui s’est passé dans les années cinquante et soixante et ce qui se passe depuis quelques décennies dans le monde. Nous sommes en train de répéter les mêmes erreurs. On procure asile et confort aux islamistes, qui ne sont que des Nazis de deuxième génération, à la fois pour générer des profits mais aussi dans l’espérance de s’épargner les souffrances d’une guerre éventuelle. De toute évidence, on ne pourra pas éviter cette guerre et ce sont nos populations qui paieront la note de leur souffrance et de leur vie. Une entrevue à mettre dans vos favoris et à réécouter ad nauseam.