La prière du dimanche: Cérémonie pour souligner le Nouvel An au Cambodge

Ce vidéo présente une cérémonie organisée pour souligner le Nouvel An au Cambodge en 2014. Le rituel semble d’inspiration bouddhiste ou hindouiste, ou un mélange des deux. Ne parlant pas la langue khmer, ce qui me frappe surtout ici, c’est le choix des couleurs et l’ensemble comme tel. Le déploiement de l’axe christo-bouddhique nécessite que nos deux civilisations puissent se comprendre et se rejoindre.

La prière du dimanche: Jazzy B – Singhan Diyan Gadiyan

J’ai choisi ce vidéo parce qu’il présente la culture indienne de façon à la fois humoristique et positive. Les Indiens ont leur part de problèmes avec les musulmans et ceci vient nous rappeler la grandeur et la beauté de leur tradition plusieurs fois millénaires. Les couleurs et symboles ont été bien sélectionnés.

Angkor Wat, capitale de l’Empire khmer

Le peuple khmer a fait preuve d’ingéniosité en développant un système de bassins et de réservoirs d’eau. Cela lui a permis de mettre beaucoup de terres en culture et d’être ainsi approvisionné en eau courante en abondance. La civilisation khmère, de par ses réussites techniques mais aussi architecturales et religieuses, est un exemple de la beauté et de la grandeur des cultures traditionnelles. L’Empire khmer à son apogée recouvrait une bonne partie de l’Asie du Sud-Est, dont les descendants peuplent maintenant les territoires du Vietnam, du Cambodge, de la Thaïlande, du Laos, de la Birmanie et de la Malaisie. La cohabitation pacifique du bouddhisme et de l’hindouisme sur son territoire en fait un modèle d’entraide et de solidarité entre citoyens possédant des conceptions politico-religieuses compatibles. Fait intéressant à noter, le contrôle de l’eau dont ils ont fait preuve fait penser à ce que les Québécois ont dû accomplir pour maîtriser l’énergie hydroélectrique, grâce aux immenses barrages et bassins que nous avons construits. De toute évidence, nous avons beaucoup plus de choses en commun avec ces populations que nous le croyons à prime abord. Si seulement nos leaders politiques en Occident pouvaient délaisser leur stupide infatuation pour le monde arabo-musulman, nous pourrions alors faire de nouvelles alliances qui iraient davantage dans le sens de nos valeurs. Non seulement ces peuples sont-ils nos alliés dans la guerre faisant rage entre le Roi des Eaux et le Roi des Sables mais ils sont aussi des éléments-clés du déploiement de l’axe christo-bouddhique. Le temps est venu d’en prendre toute la mesure.

Le déploiement de l’axe christo-bouddhique ou le rayonnement bleu-orange

Le Lys d'OrDans un article précédent, je vous ai parlé des immigrants vietnamiens qui constituent un réel apport pour les sociétés occidentales et surtout pour le Québec où leur intégration se révèle particulièrement spectaculaire. Une chose ici est primordiale à comprendre. L’afflux des immigrants asiatiques en Occident doit s’effectuer en fonction d’un effort de guerre contre les forces arabo-musulmanes. Voyez-vous, le Bouddha a enseigné en Inde ce qui lui apparaissait comme étant la Voie, i.e. ce qui doit être fait par les sociétés humaines et les individus pour connaître le bonheur et la réalisation. Après avoir fait irruption en Inde donc, sa philosophie s’est répandue dans des pays comme la Chine et en Asie du Sud-Est. Il est inutile de revenir sur l’enseignement du Christ, on en connaît tous les détails en Occident. Or, l’enseignement du Christ et celui du Bouddha se rejoignent et se complètent. Si le premier s’articule davantage sur le plan moral et s’intéresse aux comportements, le second est plus philosophique et s’arrête sur les attitudes et les dispositions mentales affectant la capacité des humains à être heureux et à vivre en harmonie. Mais, de toute évidence, l’un ne va pas sans l’autre. On ne peut concevoir de projet de société et de développement civilisationnel sans tenir compte à la fois des comportements sociaux des individus mais aussi de la manière dont ils appréhendent le monde et leur relation aux autres. La qualité fondamentale de la prédication de ces deux éveillés réside dans le fait qu’ils renvoyaient toujours leurs contemporains à eux-mêmes au lieu de tenter de construire des systèmes tout faits de l’extérieur. Le Christ et le Bouddha étaient en quelque sorte des révolutionnaires sur les plans social, politique, religieux et spirituel. De la même façon que l’enseignement du Christ représentait une brisure avec le judaïsme centré sur la codification des comportements, l’enseignement du Bouddha faisait rupture avec les dogmes philosophiques de l’Hindouisme. Ces deux doctrines nouvelles remettaient l’homme au centre du regard et de la pensée humaine.

Or, malheureusement, la montée de l’islam radical, appelé aussi islamisme ou charia, nous ramène encore une fois à la case départ. Un nouveau système, basé sur des dogmes absolus et non pas sur l’homme, menace de détruire la culture humaine en sapant toutes ses potentialités à l’épanouissement, au développement et ultimement au bonheur. L’islamisme est semblable à un cancer en voie de détruire l’organisme de la civilisation dans son entier. C’est pourquoi il est impératif que l’Occident et l’Orient s’unissent contre cette maladie mortelle. Par l’entremise de ses deux guides spirituels, le Christ et le Bouddha, nos peuples respectifs doivent lutter pour faire disparaître cette plaie béante défigurant le visage de l’humanité. Ainsi, le déploiement de l’axe christo-bouddhique amènera nos armées à avancer depuis l’Occident et depuis l’Orient, ce qui permettra de prendre en souricière le restant des islamistes quelque part au Moyen-Orient, et ce après avoir nettoyé bien sûr nos différents pays des divers éléments islamiques qui les gangrènent. Chrétiens et bouddhistes doivent réaliser qu’il n’en tient qu’à eux de stopper l’invasion islamique. Le bleu de la liberté et du nationalisme doit s’unir à l’orange et au rouge rubis du froc bouddhiste, pour le salut de la civilisation.

N.B.: Pendant que je travaillais sur ce texte, un arc-en-ciel s’est formé au-dessus de Montréal après un violent orage dans la journée d’hier. Selon un témoin oculaire, lorsque le soleil s’est couché ce soir-là, il a laissé un ciel orangé dans sa basse partie et bleu dans sa partie haute. Il est difficile de ne pas y voir ici un signe de bon augure pour l’avenir.