Discours du Président Abd Al-Fattah Al-Sissi à l’Université Al-Azhar

Voici quelques extraits d’un discours qu’a prononcé le Président égyptien Al-Sissi à l’Université Al-Azhar du Caire. Al-Sissi est un des seuls personnages politiques qui m’inspirent par les temps qui courent et, curieusement, il ne semble pas dans les bonnes grâces de nos leaders occidentaux. Cela a sans doute à voir avec l’attitude du Président Obama qui préférerait les Frères Musulmans à la tête de l’Égypte. Il y a trop peu d’hommes comme lui au Moyen-Orient. S’il y a un peu d’espoir de ce côté-là, c’est avec des pays comme les Émirats Arabes Unis, la Jordanie et maintenant l’Égypte que nous pourrons trouver de réels partenaires pour la paix et la stabilité à long terme. Merci, Monsieur le Président!

Le documentaire « Give peace a chance »: La légitimité d’Israel expliquée par des juristes

Ce documentaire exceptionnel présente et explique les fondements juridiques relatifs au droit international de l’État d’Israël. En effet, on fait souvent référence à la résolution de l’ONU du 29 novembre 1947 pour établir la légitimité d’Israël en tant qu’état. Or, comme nous le rappelle les juristes dans ce documentaire, c’est la résolution de San Remo de 1920, signée à la Villa Devachan, qui établit cette légitimité au plan du droit international. Lors de cette rencontre historique, une délégation représentant le projet d’un foyer national juif, et une autre représentant les communautés arabes de l’ex-empire ottoman, se sont entendues pour définir les droits des deux communautés en fonction des territoires qu’elles occuperaient au proche-Orient. Suite à cette déclaration, en 1922, le Comte de Balfour place la Palestine sous mandat britannique. Cette déclaration de 1922 reconnaît les droits historiques des Juifs en Palestine. Elle crée également deux fiducies: Le Liban et la Libye sous contrôle de la France, et la Mésopotamie sous contrôle britannique. Donc, ce qu’il faut comprendre ici, c’est que les arabes ont déjà reçu leurs terres, avec les droits qui y sont rattachés, dans la partie qui se trouve à l’est du Jourdain. Les Juifs quant à eux, ont reçu les leurs du côté ouest du Jourdain. Le documentaire présente aussi quelques faits historiques importants. Entre autres, il rappelle que déjà au XIXème siècle Jérusalem comptait huit mille Juifs sur une population totale de quinze mille; qu’en 1948, après l’annexion de la Cisjordanie par la Jordanie, qui dura 19 ans, il y eut un nettoyage ethnique des Juifs de Jérusalem, que les survivants ont été contraints à l’exil et que les synagogues et écoles talmudiques ont été brûlées; et qu’en 1967, Israël a repris Jérusalem-Est. Décidément, ce documentaire est réellement incontournable pour tout ceux qui aiment l’histoire telle qu’elle s’est réellement déroulée et qui veulent combattre les mensonges des Palestiniens et leurs alliés. En complément, je vous offre également le document PDF intitulé Foundations of the International Legal Rights of the Jewish People qui fait le tour de la question.

FoundationsOfTheInternationalLegalRightsOfTheJewishPeople

Nouvelles en vrac sur Israel: Contrer la propagande haineuse contre les Juifs

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De temps en temps, je vais vous présenter comme cela une série d’articles en vrac sur Israel et/ou les Juifs. Trop peu de nouvelles positives sont disponibles sur Israel et trop peu de médias les publient qu’il est de notre devoir, à nous les Résistants, de les propager. N’ayant pas le temps de les analyser ou de les commenter toutes, je vous laisse le soin de les lire et les étudier. Faites vos recherches, il y en a pour tous les goûts et sur tous les sujets.

Tristane Banon

Éducation Nationale et propagande anti-juive

ONG pro-palestiniennes

Aide humanitaire Gaza

Les Églises contre Israel

Terre promise et charabia chrétien

La Flotille de la Liberté et la résistance passive

Qui paye pour la Flotille?

Qui aide vraiment Gaza

Les contribuables financent le terrorisme palestinien?

Plages de Gaza

Resolution 242

École Dar al-Iman

Israel a été acquis

Pogrom Irakien

Guerre Israel-Hezbollah

Frontières de 1967

Quelques rappels importants sur Israel et la Palestine et la réalité des « réfugiés » Palestiniens

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Jean-Marie Gélinas, Président du mouvement Amitiés Québec-Israel, nous les présente ici.

1.. ISRAËL est devenue une nation en 1312 avant J.C, soit 2000 ans avant même la naissance de l’Islam

2.. Jamais aucune entité géographique et politique indépendante, aucun pays, ne s’est intitulée « PALESTINE » au cours de l’histoire. Par extension aucun peuple ne s’est jamais appelé « PALESTINIEN ».

3.. Les arabes de la « région » du Moyen Orient dénommée « PALESTINE » n’ont commence a s’identifier comme faisant partie d’un peuple « PALESTINIEN » que dans la 2eme moitie du 20eme siècle.

4.. Depuis la conquête juive de 1272 avant J.C, les juifs ont établi leur nation sur cette terre et la nation juive y a prospère pendant 1000 ans, avec JERUSALEM comme capitale.

5.. La présence juive sur la terre d’ISRAËL a été constante et ininterrompue pendant 3300 ans.

6.. JERUSALEM n’a jamais été la capitale d’aucun état arabe ou musulman.

7.. Même lorsque les Jordaniens occupaient JERUSALEM, ils n’ont jamais envisagé d’en faire leur capitale.

8.. Durant la souveraineté Jordanienne sur JERUSALEM (19 ans), jamais un homme d’état arabe ne l’a visitée.

9.. JERUSALEM est mentionnée plus de 700 fois dans le TANA’H, le livre saint du judaïsme.

10.. JERUSALEM n’est pas mentionnée une seule fois dans le Coran.

11.. JERUSALEM fut fondée par le ROI DAVID

12.. Jamais MAHOMET n’a visité JERUSALEM.

13.. Les juifs du monde entier prient en se tournant vers JERUSALEM.

14.. Les musulmans pour prier tournent le dos à JERUSALEM.

 

LES REFUGIES JUIFS ET ARABES:

 

15.. Pendant la guerre Israélo-Arabe de 1948, les arabes ont été encouragés à fuir ISRAËL par les leaders arabes et en particulier le grand Mufti de JERUSALEM, allié d’ Hitler et son hôte a Berlin pendant la guerre 39-45

16.. Les appels radio du Mufti annonçaient clairement le massacre de tous les juifs se trouvant en ISRAËL lors de l’invasion imminente par les armées arabes, ainsi que celui des Arabes qui auraient refusé de fuir et seraient considérés comme « collaborateurs ».

17.. Il est honnête de rappeler que certains arabes, qui en ont eu connaissance, ont également fui suite au massacre de 300 personnes dans le village de DEIR YASSIN perpétré en représailles par le groupe STERN suite à l’assassinat de plusieurs des leurs par des éléments du village. Continuer la lecture

L’histoire de Jérusalem présentée par Jean-Marie Gélinas

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Le Président du mouvement Amitiés Québec-Israel nous offre ici l’histoire de Jérusalem. Encore une fois, nous devons nous rééduquer afin de résister et de lutter contre l’antisémitisme ambiant et médiatique qui est en train de corrompre nos sociétés. Ce texte est un outil de plus pour ce faire. Bonne lecture.

Durant plus de 2500 ans, la nostalgie de Sion et de Jérusalem devait accompagner le peuple juif dans ses diverses diasporas, depuis l’exil babylonien ordonné par Nabuchodonosor en 598-537 avant J.-C. et la conquête de Jérusalem précédant sa destruction par les soldats romains de Titus en 70 de l’ère chrétienne, date qui allait marquer le début de la grande dispersion. Cette nostalgie, attestée plus d’un millier de fois dans la Bible comme dans le Talmud, marque les prières quotidiennes et festives pour culminer en une acmé d’espoir à la fin de la Haggadah de la Pâque par cette formule consacrée: “L’an prochain à Jérusalem.” Certaines des plus poignantes expressions de ce sentiment furent composées par l’auteur des Psaumes:

Sur les rives des fleuves de Babylone, là nous nous assîmes et nous pleurâmes au souvenir de Sion. Aux saules qui les bordent nous suspendîmes nos harpes. (137, 1-2)

Si je t’oublie jamais, Jérusalem, que ma droite m’oublie ! Que ma langue s’attache à mon palais, si je ne me souviens de toi, si je ne place Jérusalem au sommet de toutes mes joies. (137, 5-7).

Célèbre, ô Jérusalem, l’Eternel, glorifie ton Dieu, ô Sion! (147, 12).

En 1948 plus de 2 000 Juifs avaient été évacués de leurs pauvres demeures, plusieurs fois centenaires, construites dans le quartier juif au sein de la Vieille Ville, là où précisément habitaient, dans de somptueuses villas, l’aristocratie, l’élite juive et la caste sacerdotale à l’époque du deuxième Temple. La plus grande partie des vingt-sept synagogues et yeshivot (écoles talmudiques) du quartier avaient été détruites pendant les combats. Les autres lieux de culte servirent de latrines ou d’écuries… Cet exode ne fut pas une fin en lui-même car aujourd’hui dans ce quartier rénové de nouveaux habitants arpentent les ruelles, côtoyant les visiteurs israéliens et les nombreux touristes étrangers venus admirer ce chef-d’œuvre de reconstruction et d’aménagement des vestiges exhumés qui font revivre le passé juif de la capitale d’Israël à jamais. Comme l’avait prophétisé le prophète Jérémie, la ville sera reconstruite sur ses ruines : « Ainsi parle l’Éternel : Voici, je ramène les captifs des tentes de Jacob, j’ai compassion de ses demeures ; la ville sera rebâtie sur ses ruines […]. » (Jé. 30. 18). Le texte biblique hébreu précise que Jérusalem sera reconstruite sur son tell (ses ruines).

Dès la réunification de la ville, le gouvernement entreprit un vaste chantier de restauration du quartier juif en prenant soin tout d’abord d’effectuer des fouilles archéologiques afin d’exhumer les ruines du passé, enfouies sous plusieurs mètres de gravats. Ceci ne correspond-t-il pas au cri du psalmiste : « […]Mais toi Éternel tu régneras à perpétuité, et ta mémoire dure de génération en génération. Tu te lèveras, tu auras pitié de Sion ; car le temps d’avoir pitié d’elle, le temps fixé est à son terme ; car tes serviteurs en aiment les pierres, ils en chérissent la poussière […]. » (Ps. 102. 13-23). La municipalité de Jérusalem, en collaboration avec la Direction israélienne des Antiquités, la Société de la réhabilitation et du développement du quartier juif, et le Ministère israélien des Affaires religieuses, fit revivre ce quartier en préservant son passé. Continuer la lecture

Rachid Al-Ghannouchi du parti islamiste tunisien Ennahda annonce ses couleurs

Que doit-on penser des révoltes en Afrique du Nord? On peut en avoir une bonne idée ici. Les islamistes vont se servir de ceux qui manifestent de façon légitime pour faire avancer la cause de la démocratie, pour ensuite renverser les nouveaux gouvernements, qui seront faibles au début, et instaurer des républiques islamiques. J’ai mis en caractère gras le passage-clé. C’est pas moi qui le dit.

Ghannouchi a déclaré sur la chaîne al Jazirah: «Je salue les jeunes et les femmes de Tunisie, qui ont réussi à donner une leçon au plus grand dictateur de l’histoire tunisienne…Et en effet, Allah a concrétisé leurs espoirs. Ben Ali s’est avéré être un lâche qui s’est enfui comme une souris dans le silence de la nuit…. Il leur reste à ne pas s’accommoder de la destitution du dictateur et à renverser la dictature. Il y a encore une dictature en Tunisie. Le dirigeant est parti, mais le régime est encore en place. C’est évident dans la constitution même. … La dictature transparaît dans toute la structure étatique, conçue sur mesure pour les besoins d’un seul parti politique. En conséquence, c’est devenu un Etat mafia, un Etat policier, l’Etat d’un dictateur» .

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