Documentaire sur le KGB et la Guerre Froide

Le Mur de Berlin et le Bloc de l’Est se sont-ils réellement effondrés ou n’était-ce au fond qu’une illusion? Cet excellent documentaire donne à réfléchir sur la signification réelle des événements politiques des dernières décennies. Les événements qui se déroulent présentement sur la scène internationale donnent à penser plutôt qu’il y a eu une réorganisation des forces du Bloc de l’Est et non pas un effondrement, même si on voudrait croire le contraire. Fait à noter en passant, on y mentionne que l’URSS a appuyé la candidature de l’État d’Israël en 1947. Cependant, après avoir constaté que le nouvel État optait plutôt pour une organisation libérale et capitaliste et non pas communiste, l’URSS a décidé de se retourner contre l’état hébreu. Une vaste campagne de propagande antisémite a été organisée et déployée dans le monde arabe dont nous pouvoir voir les conséquences désastreuses aujourd’hui. À voir.

Reportage sur la Tombe du Visiteur, retrouvée sur le site de Gizeh

Ce reportage fait état de la découverte d’un sarcophage sur le site de Gizeh en Égypte. Selon les sources présentées ici, il s’agirait des restes d’un voyageur extra-terrestre qui aurait visité notre monde voilà dix mille ans environ et qui aurait enseigné son savoir à l’humanité. Les thèses avancées ici confirment celles développées par Georges Vermard et Mathieu Laveau dans cet article précédent sur la qualité exceptionnelle des pyramides de Gizeh, qui les rendent incompatibles avec les théories officielles des égyptologues patentés. Vous pourrez reconnaître en voix « off » le chroniqueur et journaliste Christian Page.

Diana West: Des agents soviétiques ont subverti les États-Unis dans les années trente

Excellente entrevue avec Diana West, auteur du merveilleux livre American Betrayal: The Secret Assault on Our Nation’s Character. En compagnie de Ginni Thomas, elle refait ici l’histoire, la vraie histoire, de la subversion des États-Unis, et par le fait même de l’Occident, par les forces de gauche, communistes ou socialistes. Ces agents soviétiques qui ont infiltré l’Administration de F. D. Roosevelt, de façon à amener les États-Unis à servir les objectifs et le but de l’Union Soviétique n’étaient que la première génération d’agents étrangers à nous infiltrer. Après la Deuxième Guerre Mondiale, il y a eu aussi d’ex-agents de l’Allemagne Nazie que nous avons recrutés pour combattre cette même Union Soviétique pendant la Guerre Froide. Certains d’entre eux ont immigré aux États-Unis avec la complicité du Département d’État, de façon secrète. John Loftus, de par sa cote de sécurité maximale, a très bien étudié ce dossier. Vous pouvez voir une entrevue avec lui sur le sujet ici: John Loftus à propos de America’s Nazi Secret Et maintenant, depuis le 11 septembre 2001, nous assistons à une troisième vague d’infiltrateurs d’une idéologie de gauche, les islamistes. À chaque fois que l’Occident s’est allié à des gauchistes, qu’ils soient communistes, nazis ou islamistes, cela a toujours mal fini. Ces « collaborations » ou « alliances » ont toujours contribué à diminuer la spécificité de l’Occident et ses valeurs, à corrompre la nation et les valeurs judéo-chrétiennes, en somme à livrer notre civilisation sur un plateau d’argent à nos ennemis. Nous avons été trahis par les gens qui étaient supposés nous protéger. L’excellent travail de Diana West et de John Loftus nous aident à refaire l’histoire réelle et à redresser le navire avant qu’il ne soit trop tard. En passant, à chaque fois que je réfléchis sur ces tragiques événements du vingtième siècle, je suis étonné de constater qu’Adolf Hitler et Roosevelt ont pris le pouvoir la même année, soit 1933. Il y a de quoi réfléchir ici.

L’affaire Roberge et ses conséquences pour le renseignement québécois

L’affaire Roberge a porté un dur coup aux forces policières du Québec ces dernières semaines. Pour ceux qui ne le sauraient pas, rappelons que Benoît Roberge est ce policier du Service de Police de la Ville de Montréal (SPVM) qui aurait accepté des pots-de-vin d’organisations criminelles en échange de renseignements. Comme l’avait déclaré le directeur de la Police de Montréal, Marc Parent, à l’annonce de l’arrestation du policier: « On s’est senti trahi ». Et pour cause. Un enquêteur haut placé dans la structure hiérarchique de ce corps policier, qui vend des renseignements au crime organisé, quand on dans le métier et qu’on essaie de faire son travail, ça fait mal. On comprend donc le désarroi que peuvent ressentir les corps de police québécois. Mais je crois qu’il faut également prendre en considération le désarroi d’une autre catégorie de québécois: les citoyens en général. En effet, qui va parler à la police maintenant? Qui va partager de l’information avec les corps policiers en ayant en tête que l’agent à qui un citoyen s’adresse est peut-être un agent double pour une organisation criminelle? Par ailleurs, cette affaire fait ressortir aussi le problème des fameux « programmes de rapprochements » avec les communautés musulmanes. Ces programmes sont mis en place par des corps policiers ou des partis politiques pour, comme le nom l’indique, rapprocher des institutions occidentales de communautés islamiques ou même islamistes. Les deux groupes partagent du renseignement et essaient de mieux se comprendre et collaborer pour éviter des attaques terroristes. Ce n’est pas une mauvaise idée en soi mais néanmoins ces initiatives mettent les policiers dans des situations vulnérables où ils peuvent facilement être corrompus par des éléments du crime organisé arabo-musulman ou par des organisations terroristes et devenir ainsi des agents doubles pour ces groupes. Donc, je répète ma question, qui va parler aux policiers maintenant?

Cette problématique s’amplifie lorsque l’on considère la concentration du renseignement dans le monde moderne. Suite à l’invention de l’ordinateur et des banques de données, des caméras de surveillance et de tout l’appareillage de type « Big Brother » dont on est entouré, une masse incroyablement dense d’informations est stockée dans un nombre de lieux assez restreint et un nombre limité de personnes y ont accès. Pour donner un exemple classique, en Union Soviétique, pour surveiller la population, le KGB devait placer physiquement des espions dans chaque café, librairie, usine, etc. Les dissidents étaient détectés un à un de façon ardue. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Quelqu’un peut établir la liste de tous les dissidents ou citoyens jugés indésirables pour un quelconque groupe d’intérêts à partir d’un ordinateur. S’il a accès par exemple aux fichiers de la police ou même à la base de données de réseaux sociaux comme Facebook par exemple, c’est assez simple à faire. En somme, là où je veux en venir, est que loin d’avoir produit une société plus sécuritaire, la société de type Big Brother nous a en fait rendus tous plus vulnérables. Nous vivons maintenant dans un monde extrêmement dangereux. Le renseignement est tellement concentré qu’il suffit qu’une organisation criminelle ou terroriste ait un agent à l’intérieur de la machine pour produire un dommage irréparable. Si vous avez vu le dernier film de James Bond, Skyfall, vous vous souvenez peut-être de cette scène où le personnage du vilain se trouve dans une salle, entouré d’ordinateurs. Alors que James Bond est retenu prisonnier, le vilain lui déclare pouvoir, à volonté, accéder au système bancaire et le faire planter, prendre le contrôle d’un satellite, de la bourse, d’armements militaires, etc. Ça donne une idée du problème auquel nous sommes confrontés avec la concentration du renseignement. En permettant cette concentration, nous avons en fait rendu la tâche beaucoup plus facile aux organisations criminelles de prendre le contrôle des sociétés. Ils ont moins d’efforts à faire qu’auparavant. On ne connaît pas toutes les ramifications de l’opération d’agent double de Roberge mais une chose est sûre, il est possible que ce ne soit que la pointe de l’iceberg. Des indices s’accumulent sur les forces policières québécoises qui laissent croire à un certain degré de corruption et de désagrégation des bonnes moeurs déontologiques. Mentionnons par exemple le cas d’un autre « taupe » du SPVM, Ian Davidson, qui vendait des informations lui aussi au crime organisé, le cas de Claude Aubin, pour les mêmes raisons, le cas de ce citoyen de Trois-Rivières, Alexis Vadeboncoeur, qui a été battu apparemment sans raison par des agents de la Sûreté du Québec à Trois-Rivières, le cas similaire de Norbert Mestenapeo sur la Côte-Nord, l’arrestation gratuite du journaliste du Journal de Montréal Éric-Yvan Lemay, qui ressemblait davantage à une tentative d’intimidation et d’humiliation, le harcèlement et l’intimidation dont aurait été victime Jason Gabriel, un résident de Kanesatake, sont quelques exemples pouvant laisser croire qu’une certaine portion des forces policières québécoises a pu être tournée, à son insu, contre les citoyens. Les individus considérés dissidents ou marginaux peuvent ainsi facilement être transformés en terroristes ou en criminels lorsque les policiers chargés des enquêtes sont eux-mêmes, parfois, des criminels, des agents doubles ou corrompus.

Au final, l’affaire Roberge risque de faire autant de dommage au renseignement québécois que l’affaire Snowden a pu en faire au renseignement américain. Ce sont deux cas différents mais les conséquences au fond sont les mêmes: perte de confiance, sources de renseignement compromises, opérations sabotées, etc. Les opérations d’infiltration ou d’agents doubles à la Roberge ou Snowden réalisent le vieux rêve du communisme, à savoir détruire toute opposition en transformant tout citoyen en criminel potentiel. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi, ça ne me rassure pas du tout.

The Cold War’s Arab Spring: The Russians did it

This brilliant article by Claire Berlinski presents new facts on how the Middle East was wrecked beyond redemption. In effect, according to Kremlin records stolen by Russian exile Pavel Stroilov, the Soviets are responsible for it, in a large part. The article depicts a quite different picture from what we are used to imagine, i.e. that it is the oil industry and its unquenchable thirst for drilling and pumping that destroyed the whole Middle East and the life of its populations. The article points out to Mikhail Gorvachev as one of the main perpetrator and facilitator of this scheme. Also, it puts into context the main design of Russian geo-political and geo-strategical experts: the control of the Middle East jewel, the Persian Gulf. Once it appeared impossible, detrimental or risking to start a world war to actually succeed in doing that, Israel became the next target. The role of the KGB is explored at length. Excellent article, two thumbs up!

The Cold War’s Arab Spring

Interview with Diana West on Secure Freedom Radio: Bogus « democratic » revolutions, civilization jihad and the subversion of western societies

When the so-called Arab Spring took place last year, very few people actually showed any form of moderation in their analysis of the situation. Heated by the French Revolution-type atmosphere of the events, they displayed emotions ranging from euphoria, joy, happiness, etc, but very little in terms of careful examination of history and in terms of reflexion. A few media personalities and political analysts recommended caution on the contrary, and we have to acknowledge today that they were right. Dave Emory, a radio host and antifascist researcher for more than thirty years, was one of them. In a series of shows starting in FTR #733 through #739, he presented a whole collection of elements and connections that bring anyone studying this event to seriously put into question the official version of things. In effect, a careful examination of the so-called revolutions in Tunisia, Egypt and Libya show that there is virtually zero chance that any democracy could come to the light of day in these countries. Why? For a lots of reason, among them history, the type of Islam preached and imposed there, and the absence of significant civilian society structures. In all fairness, we have to recognize that his analysis was correct. You can access these shows below.

Last week, we learned that the Egyptian Muslim Brotherhood will in the end present a candidate, Khayrat el-Shater, for the Presidential Election, after stating earlier that they would not. On Secure Freedom Radio hosted by Frank Gaffney, Diana West, a member of Team B II and of the Center for Security Policy which produced the marvelous report Shariah: The Threat to America, offered this week a testimony on how the Muslim Brotherhood was not only taking control of societies in the Middle East but was successfully infiltrating and coercing the United States. Parenthetically, we could add that they are doing the same thing virtually in every other western societies. To exemplify this, she brings the example of how the U.S. military is slowly being accustomed and acclimated to Sharia, in order to make it more compliant with all the requirements of Islam, to a point of humiliation. In effect, troops in Afghanistan are asked not to do anything that could « offend » Muslims, at the expense of soldiers’ security, and to turn a blind eye to pedophilia. In other terms, soldiers are expected to show « respect », i.e. obedience and submission to Sharia Law, and the result is an immense feeling of demoralization. (By the way, demoralization is the first step in the process of subversion of a society. For more on this topic, check this earlier post in which Yuri Bezmenov, a defector from the KGB, presents the complete process of subversion.) Continuer la lecture

Yuri Bezmenov: The science of destabilization and subversion

This conference by Yuri Bezmenov, alias Tomas Schuman, is a terrific presentation on the nature and mechanics of subversion. A defector from the ex-Soviet Union, Bezmenov worked for the KGB as a propaganda expert before passing to the West. As 85% of all KGB efforts were directed not at spying per se but rather at distracting western society in order to subvert and destroy it, this presentation is worth viewing again. Bezmenov begins his speech by reminding us about Sun Tzu, an ancient Chinese general who has authored the tremendously important The Art of War, a book on military strategy. The point of reminding us about this is obvious: all the signs that our western society is being the target of one or of several destabilization operations by foreign and domestic forces are evident. That’s why we need to focus our attention on the specifics of how a subversion operation works.

Bezmenov presents the stages of such operations as follows:

1-Demoralization, during which the different components of a society are infiltrated and then hijacked to take them away from their initial mission. Artificial bodies of bureaucrats come to replace the citizens;

2-Destabilization, during which the process of subversion began in step 1 increases in intensity and means;

3- Crisis, during which a society inevitably faces either civil war or invasion by foreign forces;

4- Normalisation finally, during which all activists and « revolutionaries » who got involved in social change and uprisings are eliminated by the new power elite. Bezmenov gives several examples of communist revolutions where early backers and actors of the revolution have been killed once the situation has settled. Continuer la lecture

The last day of the Soviet Union or the hunting party coup d’état

Relive the last day of the Soviet Union, on December 8th 1991. On that famous day, Stanislav Shushkevich, Head of the Supreme Council of Belarus, Leonid Kravchuk, President of Ukraine and Boris Eltsine, President of Soviet Russia, held a secret meeting at the Viskuli Residence in Belavezha Forest, Belarus. There, they decided the fate of the Soviet Union, in only 24 hours. Mikhail Gorbatchev, who was in Moscow, was unable to prevent it, due apparently to his liberal character or weak position. The three men created a Commonwealth of Independent States to replace the previous structure. The documentary presents the tense hours in which that meeting was conducted and also the most important facts that paved the way for the dissolution of the U.S.S.R. in the months prior.

The Last Day of the Soviet Union