Présentation de Maître André Sirois à la commission sur la planification de l’immigration au Québec pour la période 2020-2022

Benjamin Netanyahu réplique à la dernière résolution gauchiste de l’ONU…

Encore une fois les membres des Nations Unies, ce Grand Machin comme disait l’autre, ont pondu une résolution anti-israélienne au lieu d’utiliser leur temps et leurs énergies pour essayer de trouver des solutions concrètes aux problèmes du monde. Je pourrais prendre le texte de la résolution, l’analyser, le commenter, etc. Mais je crois qu’à ce stade-ci, le moment est venu de tout simplement larguer les amarres. On en a soupé des Nations Unies. Cette institution corrompue ne fait qu’aggraver la situation des pays qu’elle prétend essayer d’aider. Tout ce qu’elle touche se transforme en désastre. L’ancien premier ministre du Canada, Stephen Harper, avait été un des premiers à prendre ses distances avec l’ONU pour exactement ces raisons-là. Comme l’argent est le nerf de la guerre, je crois que la meilleure chose pour les États-Unis (avec Donald Trump comme Président) et pour Israël serait de tout simplement couper le financement de l’ONU, à 100%, ce qui aura pour effet de tranquilliser les ardeurs de ceux qui essaient d’instrumentaliser l’ONU pour faire avancer la cause de leur entreprise totalitaire, idéologique ou illégale. Cet exemple serait imité éventuellement par un certain nombre d’autres pays, ce qui pourrait diriger le « Grand Machin » vers les oubliettes de l’histoire, du moins on peut le souhaiter.

Entrevues avec Mark Helprin et Yoram Ettinger sur Secure Freedom Radio

Ces deux entrevues récentes de Secure Freedom Radio ont retenu mon attention. La première, avec Mark Helprin, s’arrête sur les différents défis qui attendent le Président-élu Donald Trump au niveau de la sécurité nationale. La seconde, avec l’ambassadeur Yoram Ettinger, fait le tour des différents problèmes auxquels fait face l’état d’Israël dans la défense de son territoire face aux djihadistes islamistes et à des organisations internationales, comme l’ONU par exemple, qui encouragent des mouvements de boycott comme le BDS et autres initiatives pour délégitimer Israël.

Mark Helprin sur Secure Freedom Radio

Yoram Ettinger sur Secure Freedom Radio

André Sirois: La réalité de l’immigration au Québec et le rôle du gouvernement fédéral…

Le Lys d'OrCette excellente entrevue avec Me André Sirois doit être écoutée et méditée longuement. Elle décrit avec beaucoup de lucidité et d’exactitude la réalité de l’immigration au Québec. Fort d’une grande expérience internationale, Sirois dresse le portrait de ce qui attend les Québécois si nous ne prenons pas les mesures nécessaires pour contrer l’immigration arabo-musulmane. Car Sirois aborde ici quelque chose dont on ne parle jamais, à savoir l’utilisation par le gouvernement fédéral de l’immigration arabo-musulmane pour assimiler les francophones et le Québec dans l « unité » canadienne. Voyez-vous, le Rapport Durham de 1839 recommandait l’assimilation des Canadiens-Français pour renforcer l’emprise du commerce britannique. Or, ce Rapport Durham et ses recommandations n’ont jamais été reniés ni renoncés par le gouvernement fédéral canadien à ce jour. Tant bien que mal, au cours des décennies, Ottawa a essayé d’assimiler les francophones en utilisant des anglophones, en diluant les premiers dans les seconds. Mais, comme cela ne fonctionne pas vraiment, il a maintenant recours à une autre stratégie: il utilise les chemises brunes de l’extrême-gauche et de l’immigration arabo-musulmane, abondante, pour ce faire. Cette situation a comme avantage de fournir aux politiciens la « plausible deniability », la « dénégation plausible ». Les politiciens d’Ottawa, gonflés à bloc par la Charte canadienne des Droits et Libertés, peuvent ainsi nuire aux francophones, au Québec et aux Québécois tout en mettant ça sur le dos des islamistes et de la gauche. Ainsi, main dans la main, les intégristes sunnites, chiites, Amir Khadir, le PAJU, Québec Solidaire, la Fédération des Femmes du Québec et autres groupes de la sorte sont unis contre les Québécois pour piller nos richesses et prendre notre territoire, et tout ça pour faire plaisir au fédéral et remplir les exigences du Rapport Durham… Ça ma pris du temps, mais là, j’ai compris. Écoutons Sirois avec Benoit Dutrizac au 98,5 FM.

Me André Sirois sur l’immigration musulmane

Le bluff d’Abbas: Parler des lignes d’avant 1967 mais demander celles de 1947

Selon le site web Israel-Flash, Abbas a tenté de duper l’ONU vendredi dernier le 23 septembre en tenant un discours mensonger ne reflétant pas la réalité de ses demandes écrites remises à Ban Ki-Moon. En effet, le texte écrit mentionnerait spécifiquement les lignes de 1947 (avant l’affrontement armé avec les pays arabes) pour la constitution du futur état palestinien, alors que le discours qu’il a tenu lors de la séance plénière tournait autour de la notion usuelle des fameuses « lignes de 1967  » … Honnêtement, êtes-vous surpris? Les Palestiniens n’en sont pas à leur premier mensonge. C’est toujours la même histoire avec eux.

Le bluff d’Abbas

Le documentaire « Give peace a chance »: La légitimité d’Israel expliquée par des juristes

Ce documentaire exceptionnel présente et explique les fondements juridiques relatifs au droit international de l’État d’Israël. En effet, on fait souvent référence à la résolution de l’ONU du 29 novembre 1947 pour établir la légitimité d’Israël en tant qu’état. Or, comme nous le rappelle les juristes dans ce documentaire, c’est la résolution de San Remo de 1920, signée à la Villa Devachan, qui établit cette légitimité au plan du droit international. Lors de cette rencontre historique, une délégation représentant le projet d’un foyer national juif, et une autre représentant les communautés arabes de l’ex-empire ottoman, se sont entendues pour définir les droits des deux communautés en fonction des territoires qu’elles occuperaient au proche-Orient. Suite à cette déclaration, en 1922, le Comte de Balfour place la Palestine sous mandat britannique. Cette déclaration de 1922 reconnaît les droits historiques des Juifs en Palestine. Elle crée également deux fiducies: Le Liban et la Libye sous contrôle de la France, et la Mésopotamie sous contrôle britannique. Donc, ce qu’il faut comprendre ici, c’est que les arabes ont déjà reçu leurs terres, avec les droits qui y sont rattachés, dans la partie qui se trouve à l’est du Jourdain. Les Juifs quant à eux, ont reçu les leurs du côté ouest du Jourdain. Le documentaire présente aussi quelques faits historiques importants. Entre autres, il rappelle que déjà au XIXème siècle Jérusalem comptait huit mille Juifs sur une population totale de quinze mille; qu’en 1948, après l’annexion de la Cisjordanie par la Jordanie, qui dura 19 ans, il y eut un nettoyage ethnique des Juifs de Jérusalem, que les survivants ont été contraints à l’exil et que les synagogues et écoles talmudiques ont été brûlées; et qu’en 1967, Israël a repris Jérusalem-Est. Décidément, ce documentaire est réellement incontournable pour tout ceux qui aiment l’histoire telle qu’elle s’est réellement déroulée et qui veulent combattre les mensonges des Palestiniens et leurs alliés. En complément, je vous offre également le document PDF intitulé Foundations of the International Legal Rights of the Jewish People qui fait le tour de la question.

FoundationsOfTheInternationalLegalRightsOfTheJewishPeople

Nouvelles en vrac sur Israel, prise 5

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Guy Millière sur la résistance planétaire de défense d’Israel

Mahmoud Abbas sur la reconnaissance de l’État d’Israel

Nous allons prier prochainement à AlQuds

La révolution des Olives

Piratages de sites Internet

Incorrigible ONU

Israel rompt ses relations avec le Qatar

Le vendredi du mensonge et de la haine

Restaurer le courage et l’honneur – Guy Millière

Israel, je m’associe à ta douleur

L’ONU ne condamne pas les attaques sur Israel

Pour en finir avec les mensonges sur Israel – Guy Millière

Recettes pour l’anéantissement du peuple juif

L’histoire de Jérusalem présentée par Jean-Marie Gélinas

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Le Président du mouvement Amitiés Québec-Israel nous offre ici l’histoire de Jérusalem. Encore une fois, nous devons nous rééduquer afin de résister et de lutter contre l’antisémitisme ambiant et médiatique qui est en train de corrompre nos sociétés. Ce texte est un outil de plus pour ce faire. Bonne lecture.

Durant plus de 2500 ans, la nostalgie de Sion et de Jérusalem devait accompagner le peuple juif dans ses diverses diasporas, depuis l’exil babylonien ordonné par Nabuchodonosor en 598-537 avant J.-C. et la conquête de Jérusalem précédant sa destruction par les soldats romains de Titus en 70 de l’ère chrétienne, date qui allait marquer le début de la grande dispersion. Cette nostalgie, attestée plus d’un millier de fois dans la Bible comme dans le Talmud, marque les prières quotidiennes et festives pour culminer en une acmé d’espoir à la fin de la Haggadah de la Pâque par cette formule consacrée: “L’an prochain à Jérusalem.” Certaines des plus poignantes expressions de ce sentiment furent composées par l’auteur des Psaumes:

Sur les rives des fleuves de Babylone, là nous nous assîmes et nous pleurâmes au souvenir de Sion. Aux saules qui les bordent nous suspendîmes nos harpes. (137, 1-2)

Si je t’oublie jamais, Jérusalem, que ma droite m’oublie ! Que ma langue s’attache à mon palais, si je ne me souviens de toi, si je ne place Jérusalem au sommet de toutes mes joies. (137, 5-7).

Célèbre, ô Jérusalem, l’Eternel, glorifie ton Dieu, ô Sion! (147, 12).

En 1948 plus de 2 000 Juifs avaient été évacués de leurs pauvres demeures, plusieurs fois centenaires, construites dans le quartier juif au sein de la Vieille Ville, là où précisément habitaient, dans de somptueuses villas, l’aristocratie, l’élite juive et la caste sacerdotale à l’époque du deuxième Temple. La plus grande partie des vingt-sept synagogues et yeshivot (écoles talmudiques) du quartier avaient été détruites pendant les combats. Les autres lieux de culte servirent de latrines ou d’écuries… Cet exode ne fut pas une fin en lui-même car aujourd’hui dans ce quartier rénové de nouveaux habitants arpentent les ruelles, côtoyant les visiteurs israéliens et les nombreux touristes étrangers venus admirer ce chef-d’œuvre de reconstruction et d’aménagement des vestiges exhumés qui font revivre le passé juif de la capitale d’Israël à jamais. Comme l’avait prophétisé le prophète Jérémie, la ville sera reconstruite sur ses ruines : « Ainsi parle l’Éternel : Voici, je ramène les captifs des tentes de Jacob, j’ai compassion de ses demeures ; la ville sera rebâtie sur ses ruines […]. » (Jé. 30. 18). Le texte biblique hébreu précise que Jérusalem sera reconstruite sur son tell (ses ruines).

Dès la réunification de la ville, le gouvernement entreprit un vaste chantier de restauration du quartier juif en prenant soin tout d’abord d’effectuer des fouilles archéologiques afin d’exhumer les ruines du passé, enfouies sous plusieurs mètres de gravats. Ceci ne correspond-t-il pas au cri du psalmiste : « […]Mais toi Éternel tu régneras à perpétuité, et ta mémoire dure de génération en génération. Tu te lèveras, tu auras pitié de Sion ; car le temps d’avoir pitié d’elle, le temps fixé est à son terme ; car tes serviteurs en aiment les pierres, ils en chérissent la poussière […]. » (Ps. 102. 13-23). La municipalité de Jérusalem, en collaboration avec la Direction israélienne des Antiquités, la Société de la réhabilitation et du développement du quartier juif, et le Ministère israélien des Affaires religieuses, fit revivre ce quartier en préservant son passé. Continuer la lecture