Réaction de Richard Le Hir sur la refonte du journal La Presse comme OSBL sur Nomos-TV

Excellente analyse de Richard Le Hir sur ce dossier. En effet, essayer de ré-emballer le journal La Presse comme un OSBL est ridicule. Tout le monde a compris que si cela devait voir le jour concrètement, cela voudrait dire que la famille Desmarais pourrait continuer à diriger la politique éditoriale du journal mais en faisant payer l’opération par les contribuables. Privatiser les profits et étatiser les pertes, c’est la nouvelle tendance dans nos bons pays démocratiques. Durant l’entrevue, Richard Le Hir en profite pour parler de l’affaire du cimentier LafargeHolcim, dans lequel la famille Desmarais a des investissements. Rappelons que cette compagnie est soupçonnée d’avoir versé des pots-de-vin au groupe armé État islamique pour protéger ses installations en Syrie. Pour appuyer le propos, je joins le journal télévisé de TV Libertés du 18 mai 2018, dont le premier segment traite également de ce sujet.

Alexandre Cormier-Denis: Le cartel libéral de la marijuana

Les voyages totalitaires de nos bons Libéraux…

À peine quelques jours après leur victoire aux élections fédérales de 2015, certains hauts gradés du Parti Libéral du Canada se sont rendus en Chine pour une mission économique. Ils y ont rencontré là-bas des membres influents de la communauté des affaires chinoise. La Société Radio-Canada avait réalisé un reportage sur le sujet, où l’on voyait l’état-major du parti se démener sur le terrain pour conclure des alliances et des ententes. Le voyage semblait une réussite complète et les participants ravis des résultats. Aussi, il me semblait que le Premier Ministre nouvellement élu, Justin Trudeau, en avait profité pour faire un arrêt en Corée du Nord avant de revenir au Canada. Malheureusement, mes recherches dans Google ont été infructueuses à cet égard. Je n’ai pas réussi à trouver de références qui pourrait nous le rappeler. C’est bien dommage.

Voyez-vous, les élites Libérales du Canada sont devenues spécialistes de ce genre de voyage. Ils les multiplient, à tel point qu’on se demande s’ils ne préfèrent pas dans le fond se retrouver dans des pays totalitaires, dictatoriaux ou autoritaires plutôt que de se trouver dans le pays démocratique où ils ont été élus et où ils sont responsables du bien-être de leur population. On se souviendra que le Premier Ministre Libéral du Québec Philippe Couillard, qui a vécu dans le régime islamiste de l’Arabie Saoudite plusieurs années, s’est rendu à Cuba en septembre 2016 pour une mission économique, où il a eu l’occasion de rencontrer Raul Castro lui-même. Le Premier Ministre arborait un très large sourire aux lèvres lors de cette rencontre. En janvier 2018, Couillard s’est à son tour rendu en Chine, encore une fois pour une mission économique. Il a eu droit d’accès à la Cité interdite, ce qui est assez rare pour un dignitaire étranger. Il y a fait la rencontre de plusieurs ministres du gouvernement chinois. On peut se demander à cet égard quels sont les critères qui déterminent la décision par les autorités chinoises de donner ou de ne pas donner accès à la Cité interdite à un dignitaire étranger. Est-ce la réputation, l’orientation idéologique, les valeurs, la vision de l’économie? Quel élément fait pencher la balance d’un côté ou de l’autre?

Le dernier épisode en date de ce genre de voyage a été réalisé par nul autre que le Premier Ministre du Canada, Justin Trudeau, lors de son voyage en Inde voilà quelques semaines. Trudeau en a profité pour enfiler le plus possible de vêtements traditionnels et il était entouré d’une délégation sikh assez importante. Comme cela a été souligné par certains, comme Alexandre Cormier-Denis de Nomos-TV, plusieurs ministres de son gouvernement sont issus de la communauté sikh et certains semblent avoir des liens avec des groupes extrémistes sikhs. C’est peut-être pour cela qu’il y a été accueilli avec des sentiments partagés par les autorités indiennes.

Ce qui est frappant dans tout cela, c’est le type de pays qui est choisi par nos élites Libérales canadiennes pour leur ‘missions économiques’. C’est très souvent la Chine, Cuba, des pays arabes, etc. Or, si ces bonnes élites Libérales étaient réellement composées de patriotes, on s’attendrait à ce qu’elles se rendent en priorité appuyer les autres patriotes qui défendent nos libertés dans des pays comme le Japon, Israël et les quatre pays du Groupe de Visegrad, à savoir la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et la République Tchèque, d’une part et, d’autre part, dans des pays où les patriotes sont en difficulté, ce qui est le cas de l’ensemble des pays occidentaux, à part les quelques exceptions nommées plus haut. Et lorsque ces bonne élites se rendent aux États-Unis par exemple, c’est pour ‘mettre de la pression‘ sur le gouvernement américain comme l’a si bien dit Philippe Couillard, et non pas pour appuyer Donald Trump et l’ensemble des patriotes américains. (Notables exceptions ici, le maire de Montréal Denis Coderre s’est rendu au Japon en juillet 2014 et la nouvelle mairesse de Montréal s’y trouve au moment d’écrire ces lignes.) En fait, cela n’intéresse pas nos élites Libérales d’appuyer les patriotes. Leur priorité, c’est la Chine ou un de ses pays satellites. J’imagine que dans les prochaines semaines ou prochains mois on va nous annoncer un voyage en Iran ou en Corée du Nord. Ce serait tout à fait logique avec leur façon de faire et avec leurs valeurs. J’espère que les Québécois et les Canadiens se souviendront de tout cela au moment de voter lors des prochaines élections, qui auront lieu respectivement en 2018 au Québec et en 2019 au Canada.

Analyse d’Alexandre Cormier-Denis du voyage de Justin Trudeau en Inde

Dans cette nouvelle vidéo, Alexandre Cormier-Denis analyse la prise de contrôle du gouvernement canadien par une minorité radicale sikh qui semble se produire présentement. Plusieurs membres influents du gouvernement semble appartenir à cette frange radicale. On ne doit pas oublier non plus que le chef du Nouveau Parti Démocratique, Jagmeet Singh, est lui aussi issu de cette communauté, ce qui pose bien des questions pour l’avenir du pays. Alexandre Cormier-Denis propose cette analyse au moment-même où Justin Trudeau termine un voyage en Orient durant lequel il a attiré l’attention des médias en portant des costumes traditionnels, dont souvent il ne connaît rien certains diront. Pour plusieurs, Justin Trudeau a fait un fou de lui, en plus de manquer de respect envers les cultures et nations qu’il a visitées.

Entrevue avec Daniel Laprès accordée à l’animateur Carl Monette

Il me fait plaisir d’accorder de nouveau la parole à l’éditeur et blogueur Daniel Laprès, suite à la censure dont il a fait l’objet sur Facebook. L’entrevue suivante continue le propos et l’analyse commencés dans une entrevue antérieure accordée à l’animateur Max Bradette, sur la question du niqab, des élections fédérales et autres sujets. Lors de l’entrevue, Daniel Laprès mentionne les travaux de recherche sur le terrorisme et la sécurité de l’organisme TSEC Network. Je vous propose deux articles de leur site web, ainsi que l’article original du Journal de Montréal qui complètent et documentent les informations présentées par M. Laprès. Au tout début de l’entrevue, on peut entendre le Maire de la ville de Québec, Régis Labeaume, affirmer l’obligation pour les immigrants de respecter les valeurs de la terre d’accueil, chose que l’on entend pas très souvent de la part de nos élus.

Daniel Laprès sur CHOI Radio-X

Has the Liberal Party of Canada been Infiltrated by Extremist Candidates?

Zunera Ishaq, the ICNA and a Listed Terrorist Entity: The Niqab Debate in Canada

La femme au niqab œuvre au sein d’une organisation radicale

Daniel Laprès en entrevue sur CJMS, avec l’animateur Max Bradette

L’éditeur et blogueur Daniel Laprès a, de nouveau, pour la énième fois, été censuré de Facebook. De toute évidence, la liberté d’expression est malmenée partout sur la planète. Nous vivons à une époque où les hommes politiques et ceux de la sphère économique ont d’autres priorités que de défendre les droits humains, la liberté d’expression et la démocratie. Alors, pour répliquer à cela, rien de plus naturel pour moi que de lui donner la parole. Dans une entrevue accordée à l’animateur énergique Max Bradette, Laprès donne ses impressions sur la campagne électorale fédérale canadienne, sur l’état de la démocratie, sur la question du niqab lors de l’assermentation à la citoyenneté, etc. Sur cette Terre, l’être humain voit son espace de liberté et de conscience être de plus en plus réduit. Ce qui pouvait apparaître comme une terrain de football dans les années soixante-dix, apparaît maintenant comme un bien petit carré de sable. Il ne reste plus beaucoup de temps au cadran. Si on continue sur la trajectoire présente, c’est la mort assurée pour l’être humain.

Daniel Laprès sur CJMS

La campagne de boycott antisioniste sur la rue St-Denis à Montréal: Une inquisition anti-Québécois et une opération nazie/fasciste

Introduction

Le présent article est le résultat de plusieurs mois de luttes contre le groupe PAJU qui harcèle certains commerçants de la rue St-Denis à Montréal depuis octobre 2010. Je vais donc essayer ici de rassembler les pièces du dossier comme le ferait n’importe enquêteur de police ou d’un autre service. Et je dois dire d’emblée que cet article se révèle à la fois être un résumé, un répertoire, un bottin, le premier d’une série de plusieurs articles ou même l’introduction d’un livre, tant la quantité des liens et des connections est importante à connaître. Tout au long de ces interminables mois durant lesquels je me suis rendu manifester contre le groupe PAJU pour essayer de contrecarrer leurs efforts envers les boutiques Le Marcheur et Naot, et ce parce qu’ils auraient commis l’odieux crime de vendre des souliers fabriqués en Israël selon les dires du PAJU, j’ai toujours eu l’impression que nous n’avions pas les bonnes clés d’interprétation pour comprendre le conflit et, ce faisant, ne nous pouvions alors adopter la bonne stratégie pour gagner la bataille. J’avais l’impression que ce qui se passait dépassait largement les cadres de l’antisémitisme et des dérives de la gauche. Comme pour vaincre une maladie il faut d’abord faire le bon diagnostic, l’honnêteté par rapport aux faits est essentielle. Cette campagne a toutes les allures d’une opération de renseignement de très haut niveau. J’adore les opérations de renseignement, les analyser, les décortiquer…sauf quand elles font paraître mon peuple comme une bande d’idiots ou d’antisémites, ce qui est le cas présentement. J’ai donc décidé de retourner aux sources afin d’avoir une meilleure vue d’ensemble, dans le but de tuer dans l’oeuf ce qui m’apparaît comme une véritable voie de fait contre le peuple québécois. Ce n’est qu’en leur remettant le nez dedans, eux les ingénieurs de cette opération, qu’on pourra la désamorcer. 

J’en profite pour clarifier que je ne reprendrai pas l’argumentaire présenté par Pierre K. Malouf dans son merveilleux livre Les faces cachées d’Amir Khadir (Éditions Accent Grave, 2012, 280 pages). Ce serait inutile. Dans une formule tout à fait appropriée, Malouf a affirmé que Françoise David et Amir Khadir représentait « la vitrine présentable de Québec Solidaire ». En ce qui me concerne, partant de là, je vais plutôt m’attarder sur ce qui se trouve à l’intérieur de la boutique de l’extrême-gauche québécoise, pour ne pas dire dans l’arrière-boutique et peut-être même dans la ruelle, si c’est possible. Je m’intéresse aux conditions sociales, politiques, historiques, idéologiques et financières qui ont rendu possible cette campagne de boycott sur la rue St-Denis pour commencer. Aussi, je veux mentionner que je ne prétends pas que tous les liens présentés ici sont nécessairement fondés et pertinents à notre investigation. Tout enquêteur sérieux et compétent est parfois amené à s’intéresser à de fausses pistes et à de fausses connexions, sans le vouloir. Que voulez-vous, ça fait parti du métier et toutes les hypothèses doivent être regardées systématiquement pour en venir à isoler la plus plausible. Néanmoins, les découvertes que j’ai faites lors de cette enquête sont suffisamment troublantes pour mériter que je vous les présente dans cet article. Mais pour permettre à ceux qui ne seraient pas familiers avec la manifestation du PAJU sur la rue St-Denis d’en connaître les grandes lignes, voici une entrevue de Pierre K. Malouf accordée à l’émission En Direct De Nulle Part.

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Racket de protection 101 et antisémitisme: Une étude comparative entre les Nazis et le PAJU

Le boycott

Pierre K. Malouf vient de pondre un excellent livre, Les faces cachées d’Amir Khadir, dans lequel, en plus d’analyser le parcours politique et les actions d’Amir Khadir, il raconte méthodiquement l’historique de la manifestation BDS (Boycott-Désinvestissement-Sanctions) qui a eu et qui a toujours lieu sur la rue St-Denis à Montréal contre des boutiques vendant des produits israéliens. Ce merveilleux livre de Malouf a révélé plusieurs faces cachées d’Amir Khadir et il en reste probablement beaucoup d’autres à découvrir. Dans cet article, je voudrais attirer votre attention sur les similitudes qui existent entre les méthodes employées par les Nazis dans les années trente et celles employées aujourd’hui par le PAJU, le groupe organisant la campagne de BDS à laquelle Amir Khadir s’est associé, ainsi qu’entre l’Allemagne des années trente et le Québec d’aujourd’hui.

D’entrée de jeu, on doit réaliser que les Nazis ont commencé à répandre l’idéologie antisémite de façon graduelle en ciblant tout d’abord les commerces juifs d’Allemagne. Comme en fait foi cette photo ci-dessous, les Nazis encourageaient le boycott des commerces juifs. Ils disaient: « N’achetez pas les Juifs ».

Le PAJU, de son côté, nous dit: « N’achetez pas de produits faits en Israël ». Dans cette vidéo, on peut voir le groupe exhiber leur banderole sur la rue St-Denis, en face de la boutique Naot qui vend exclusivement des produits fabriqués en Israël. Rappelons que le PAJU ne manifeste plus en face de la boutique Le Marcheur depuis juin 2011 suite à une légère altercation survenue entre Amir Khadir, qui passait là « par hasard » en voiture lors de la manifestation, et les contre-manifestants. Continuer la lecture

L’opération de déstabilisation du Québec, deuxième chapitre: L’ascension fulgurante de l’archange-Gabriel Nadeau-Dubois

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Dans un article précédent, je vous ai parlé du scandale de la corruption dans l’industrie de la construction du Québec. À l’époque, je présentais le tout comme étant une campagne de salissage menée par la gauche québécoise, dans le but évident d’affaiblir le Parti Libéral du Québec, lui qui demeure l’emblème même de la démocratie libérale québécoise à l’intérieur du Canada. Et je dois rajouter aujourd’hui que cela fait sans doute parti aussi d’une stratégie pour contrebalancer l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement de droite à Ottawa. Bien que je signe toujours cette interprétation, je crois maintenant que cela va beaucoup plus loin en fait. Ce qui se passe au Québec présentement dépasse le cadre d’une simple campagne de salissage. Il s’agit selon moi d’une opération de déstabilisation du Québec, visant non pas simplement à renverser le gouvernement en place mais plutôt à renverser le régime de démocratie libérale que nous avons depuis une cinquantaine d’années, pour le remplacer par un régime d’extrême-gauche d’inspiration communiste ou marxiste-léniniste, selon le modèle cubain ou iranien, par exemple.

Afin de bien comprendre l’ampleur de l’opération, on doit remonter dans le temps jusqu’au « scandale des commandites ». Le scandale des commandites a ni plus ni moins détruit le Parti Libéral du Canada, ainsi qu’affaibli le Bloc Québecois qui en était le contre-pouvoir, ce qui a ouvert la voie aux Conservateurs et aux Néo-Démocrates. Ces deux partis politiques ont-ils manœuvré, ensemble ou de part et d’autre, de façon à faire advenir ce « scandale », la question se pose sûrement. Mais une chose est sûre, la démocratie libérale au Québec s’en trouve ébranlée et le peuple québécois ne peut qu’en sortir perdant. Ensuite, plus récemment, il y a eu le scandale cette fois de l’industrie de la construction, qui lui a affaibli grandement le Parti Libéral du Québec. Le parti de gauche Québec Solidaire et son leader Amir Khadir en sont sortis les grands gagnants, alors que le Parti Québécois restait en touche plus ou moins. Question: Ne trouvez-vous pas curieux qu’Amir Khadir, durant tout l’épisode du scandale de la corruption dans l’industrie de la construction, se soit toujours retrouvé à la bonne place au bon moment pour « récupérer la balle au bond », pour reprendre l’expression de certains commentateurs politiques? Amir Khadir s’est avéré tellement bon pour « récupérer la balle au bond » que l’on a l’impression que le script de ce qui allait se jouer lui a été remis à l’avance…mais par qui? Continuer la lecture