L’immigration de remplacement et la remigration…

Je profite de la publication d’une nouvelle vidéo d’Alexandre Cormier-Denis de Nomos-TV, une excellente webtélé patriote, pour crever l’abcès de la situation difficile dans laquelle on se retrouve, nous les Occidentaux de race blanche. Dans la vidéo que vous retrouverez au bas de cet article, Cormier-Denis nous présente la propagande mondialiste d’un groupe d’influence, le Century Initiative/Initiative du Siècle. Ce groupe fait la promotion de l’idée selon laquelle le Canada devrait gonfler sa population pour atteindre 100 millions d’habitants en 2100. Le projet est présenté avec les habituels arguments des mondialistes et des partisans des Nations-Unies et du multiculturalisme. Cette institution n’est évidemment pas la seule à promouvoir l’immigration massive. Beaucoup de groupes liés à l’immigration et au multiculturalisme se retrouvent dans ce camp, comme la Chambre de Commerce par exemple. En effet, les grands sbires de la haute finance, de la bourse et du secteur économique en général ont littéralement des rêves mouillés à l’idée d’importer une main-d’oeuvre de moins en moins coûteuse dont on peut se débarrasser facilement. En effet, pourquoi s’ennuyer avec des conventions collectives, des conditions de travail, etc, quand on peut tout simplement offrir les emplois à des gens qui en demandent moins? Et d’ailleurs, après avoir eu des travailleurs immigrants de toutes les couleurs, de moins en moins chers, on se demande quelle sera la prochaine étape. Les singes ou les robots? Faites votre choix.

Il est impératif que nous commencions les années ’20 du XXIème siècle du bon pied en parlant des vraies affaires. Les Occidentaux de race blanche, les Blancs autrement dit, les Indo-Européens, sont en train de se faire remplacer par des populations issues du Tiers-Monde, par des Arabes, des Noirs, des Latinos et des Asiatiques. Le rythme et le nombre par lesquels ces populations arrivent ici rendent leur assimilation absolument impossible. Ces populations proviennent souvent, en plus, de cultures dont les valeurs et les comportements sociaux sont complètement contraires aux nôtres, ce qui engendre conflits, tensions et violence. Ces nouveaux arrivants ne vont jamais s’assimiler. Par leur reproduction plusieurs fois supérieure à la nôtre, ils vont inévitablement nous remplacer et nous deviendrons des apatrides dans nos propres pays.

Il y aussi le problème du quotient intellectuel moyen des pays dont on accueille les immigrants. Avec un quotient intellectuel moyen nettement plus bas, l’arrivée massive de ce type d’individus fera baisser de façon significative l’efficacité de nos institutions, ainsi que la créativité, la débrouillardise et la résilience de nos citoyens. À terme, la combinaison de l’incompatibilité des valeurs, des comportements et la chute du quotient intellectuel moyen fera effondrer la civilisation elle-même, au grand dam des beaux monsieurs et de belles dames de la Chambre de Commerce qui auront précipité leur propre déconfiture.

Il nous faut donc faire marche arrière. Nous n’avons pas le choix si nous voulons survivre. Non seulement nous devons arrêter l’immigration mais nous devons mettre en place des politiques de remigration. Toutes ces belles âmes qui sont venues chez-nous, pour s’approprier nos terres, nos richesses, nos femmes, etc, en nous envoyant nous faire foutre, en nous agressant, nous intimidant, nous harcelant, nous tuant parfois, devrons plier bagage et s’en aller. C’est un processus qui, évidemment, prendra plusieurs décennies à se compléter mais nous devons commencer maintenant. En gros, on pourrait se fixer comme objectif de renvoyer chez-eux tous ceux qui ne sont pas de descendance européenne, sauf quelques rares exceptions. On parle ici de plusieurs dizaines de millions d’individus qui auront le plaisir de faire profiter de leur grande expertise leurs pays d’origine qui, on imagine bien, vont les accueillir à bras ouverts…

Il n’y a pas une minute à perdre. L’avenir nous appartient. Ce sont les Occidentaux qui ont tout construit ce qui se trouve sur la Terre présentement. L’automobile, l’avion, l’électricité, l’électronique, l’ordinateur, etc, ont vu le jour grâce à l’intelligence, la créativité, le travail et la débrouillardise des Occidentaux, oui oui, ceux que l’on appelle les Blancs. Beaucoup d’immigrants se plaisent à dire que les Blancs sont racistes. Eh bien, on va leur faire plaisir, on va les renvoyer chez-eux avec un billet aller-simple. L’avenir est à nous! Vive les Indo-Européens! Vive la civilisation occidentale! Je vous laisse en compagnie d’Alexandre Cormier-Denis de Nomos-TV.

Pour construire le monde de demain. Solution #1: La remigration…

L’élection présidentielle française a été un point de bascule. Tout le monde l’a senti. Maintenant, plus rien ne sera pareil. Cette élection a sans doute été la dernière chance qu’avaient les Français de sauver leur pays par le biais des élections. Le résultat que l’on connaît force la main des patriotes, dans nos pays d’Occident, à changer de plan de match. C’est pourquoi, désormais, nous devons parler de remigration. La remigration, c’est le retour des immigrants et des réfugiés dans leurs pays d’origine. Ce retour se fera sur une base volontaire ou forcée, selon le cas. Les pays occidentaux ne peuvent plus accueillir ces hordes infinies d’étrangers qui ne s’assimilent pas et qui nous rient en plein visage, sans parler de ceux qui commettent des actes de terreur. Nous n’en avons plus les moyens ni la capacité. Le multiculturalisme est un échec complet, en dépit de ce que peuvent bien penser et dire les politiciens qui en font la promotion.

En effet, les populations que l’on reçoit sur nos terres sont bien loin d’être exemplaires. En fait, ce sont des gens qui incarnent le contraire des valeurs patriotiques. Le patriote, c’est un individu qui est fier de son pays et de sa culture et qui les défend au péril de sa sécurité et de sa vie s’il le faut. Or, les immigrants et les réfugiés, pour la plupart, ont justement fui leur pays au lieu de le défendre. Ils se sont poussés pour aller vers d’autres pays où la vie est plus facile et plus agréable…et où il y a des richesses que l’on peut s’accaparer. L’immigrant-type d’aujourd’hui n’est pas courageux. Il a laissé tomber son pays et ses compatriotes pour aller ailleurs où c’est plus facile. Voyez-vous, des citoyens comme cela, on en n’a pas besoin. On en a déjà assez comme cela. Ainsi donc, quand il y aura des politiciens avec assez de colonne vertébrale et assez de couilles pour le faire, les immigrants et réfugiés retourneront chez-eux. À leur arrivée dans leur pays d’origine, ils seront bien forcés de travailler pour construire et défendre leur pays et leur culture. C’est terminé le temps où les Occidentaux vont changer les couches de la terre entière. À partir de maintenant, on va s’occuper de nous et laisser les autres s’occuper d’eux-mêmes.

Les Assises de la remigration: De la résistance à la reconquête…

Les clips vidéo qui suivent sont le fruit des Assises de la remigration qui ont eu lieu le 15 novembre 2014 à Paris. L’événement était organisé par le Bloc Identitaire, un mouvement politique défendant l’identité occidentale et favorable à l’Union Européenne. Les clips ont été mis en ligne sur Youtube dans une liste de lecture qui ne reflète pas nécessairement l’ordre des présentations tenu lors de la conférence. Cela crée un peu de confusion mais n’enlève rien toutefois à leur qualité puisqu’elles sont toutes très bonnes. Je signale aux internautes plus particulièrement les interventions de René Marchand, Philippe Conrad et Guillaume Faye. Marchand insiste surtout sur l’importance de la Loi de 1905 consacrant la liberté de conscience et la séparation de l’État et de la religion.

Philippe Conrad fait un rappel historique extrêmement pertinent sur la situation de l’Espagne occupée par les hordes musulmanes, que l’on appelait alors les Morisques. Pour illustrer comment étaient perçus ces « immigrants » ou colons musulmans de l’époque en terre d’Espagne, il cite deux personnages historiques. Le premier, dont on ne saisit pas tout à fait le nom, membre de l’Ordre des Trinitaires, vers 21:00: « Fils et familiers de Satan, menteurs et côteleux, nés avec le mensonge dans la bouche et le vol dans la main ». Le second, l’érudit Ramon Menéndez Pidal, vers 24:50: « Après de nombreux siècles de voisinage forcé avec les chrétiens, cette race exotique ne s’était jamais intégrée à l’Espagne ni à sa foi ni à ses idéaux collectifs ni à son caractère. Les Morisques ne furent jamais assimilés et vivaient comme un néoplasme cancéreux dans la chair espagnole. » Voilà qui donne un coup dur à l’illusion du « vivre ensemble » et de la possibilité pour des sociétés multiculturelles de maintenir leur cohésion. En 1609, la monarchie espagnole décide donc d’expulser les Morisques, processus qui prendra plusieurs années, venant ainsi coiffer les efforts entrepris depuis plusieurs siècles pour reconquérir l’Espagne et chasser les envahisseurs musulmans.

De son côté, Guillaume Faye insiste sur la notion de Grand Remplacement ou de colonisation caractérisant l’immigration en Europe. Faye fait le parallèle entre les invasions germaniques du IVème siècle, d’origine européenne, et les invasions d’aujourd’hui qui sont d’origine extra-européenne. Il présente certaines mesures pouvant être mises en place pour forcer la remigration des populations extra-européennes, comme l’immigration-zéro, la fin du regroupement familial, du droit du sol, du droit d’asile, de la régularisation des clandestins, de la reconnaissance du statut de réfugié, etc. Pour finir, il identifie trois scénarios qui risquent de se réaliser si on ne fait rien pour défendre notre identité et notre territoire: la mort tiède, la crise ou la mort tiède avec des révoltes sporadiques. Je vous présente donc ces trois extraits en premier lieu. Si vous désirez visionner les autres clips, vous n’aurez qu’à cliquer sur le lien ci-dessous.

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Entretien avec Philippe Vardon du Bloc Identitaire sur la remigration

Excellente entrevue avec le chef du Bloc Identitaire sur l’inversion des flux migratoires de nos pays occidentaux vers les pays du Sud et d’ailleurs, amenant beaucoup de gens qui sont venus s’installer ici à retourner dans leur patrie. Je suis d’accord avec l’ensemble des mesures que Vardon prône ici, à la différence que je doute fort que ces nouveaux citoyens repartent dans leur pays d’origine de leur plein gré. Dans beaucoup de cas, on devra les y contraindre, par exemple en annulant la citoyenneté de certains groupes ou individus en particulier et en les déportant. Cet entretien se démarque nettement de la rectitude politique ambiante en ce qui concerne les questions touchant à la gestion des populations. À voir.