Conférence de Klaus Dona sur des découvertes archéologiques inédites

Cette conférence porte sur des objets inédits trouvés lors de fouilles archéologiques. Ce que le conférencier appelle les « out of place artefacts », sont en fait des objets, des ruines, de bâtiments, des œuvres d’art, etc, qui ne cadrent pas avec les théories archéologiques et historiques actuelles. Ces objets sont le plus souvent ignorés et mis de côté par les archéologues et les historiens puisqu’ils contredisent la version officielle de l’histoire qui est véhiculée par le système scolaire, les gouvernements et les médias. Par exemple, la datation au carbone14 d’un objet peut révéler qu’il a été fabriqué à une époque bien antérieure à la date supposée du début de la civilisation, que l’on situe en général à l’époque de Sumer. Ce peut être aussi la découverte d’un objet qui semble provenir d’une culture totalement étrangère ou éloignée et qui ne trouve pas d’explication. Ce peut être un certain type de construction que l’on trouve dans plusieurs régions du monde qui n’étaient pas supposées avoir de contacts entre elles, etc. En gros, le reproche que l’on pourrait faire à la civilisation actuelle est de croire qu’elle a tout inventé. En fait, les humains n’inventent rien, ils découvrent seulement. Il y a de la vie intelligente sur Terre depuis probablement des centaines de milliers d’années, peut-être plus. Les civilisations se succèdent, naissent et meurent, et la vie intelligente change et s’adapte en accompagnant ces mutations. Ce document le prouve amplement.

Conférence de Georges Vermard et Mathieu Laveau sur la Grande Pyramide de Gizeh

Cette conférence est de très haut niveau. Elle fait contraste avec le gnan-gnan insignifiant dont on est gavé habituellement par les représentants de l’égyptologie classique. Entre autres points essentiels qui sont abordés, Vermard, qui assume la partie orale de la conférence, met en pièces la théorie qui voudrait que les pyramides, et donc la Grande Pyramide de Gizeh, ne soient que des monuments funéraires, des tombeaux. Ceci est évidemment ridicule, comme nombre d’autres affirmations véhiculées par les égyptologues patentés. Vermard et Laveau ont fait l’étude géométrique du site de Gizeh, ce qui les a mené à des découvertes stupéfiantes. Ils nous font remarquer ici que les trois pyramides du complexe de Gizeh sont alignées sur le baudrier d’Orion, ce qui, évidemment, fait plus de sens lorsque l’on considère la façon dont les Anciens se représentaient l’univers. Ces pyramides ont été réalisées en utilisant des proportions cosmiques comme par exemple le nombre d’or de 1.618, proportions que l’on retrouve également dans la disposition des étoiles elles-mêmes dans les galaxies. Une conférence à visionner encore et encore.