Élection de Donald Trump: Les conséquences pour la France

Suite à l’élection de Donald Trump à la Présidence américaine, on se demande si l’élite socialiste qui gouverne l’Europe a encore un quelconque avenir politique. Ce sera intéressant d’observer comment ils feront pour rester en poste alors que leurs politiques se retrouveront en décalage complet avec les politiques américaines sous le nouveau Président. Les socialistes européens ont démontré leur incapacité totale à construire et développer des sociétés qui soient harmonieuses, prospères, paisibles. Au contraire. Le socialisme a favorisé le développement de gouvernements-pieuvres gigantesques carburant à la dette et au déficit. Leurs sociétés sont rongées par le crime, le trafic de drogues et la violence. De toute évidence, l’élection de Donald Trump est le signal que le temps est venu de changer de politiques. Mais changer de politiques implique souvent de changer les personnes en postes de responsabilité. C’est pourquoi il serait bon que le tandem Socialistes/Les Républicains laisse sa place à une nouvelle combinaison. Les élections présidentielles de 2017 pourraient permettre à des forces nouvelles de faire leur apparition. Pour sauver la France et pour s’assurer qu’elle ait un avenir, je rêve qu’un gouvernement d’union nationale soit constitué, rassemblant des patriotes de tous les partis et de tous les milieux, tous dédiés à mettre leurs énergies au service de la patrie. Il m’apparaît évident que le Front National et l’Union Populaire Républicaine sont les deux seuls partis politiques présentant un quelconque intérêt dans ce domaine. Je les imagine donc gouverner la France de demain, en tandem, en coalition s’il le faut, afin de permettre à la France de redevenir la France, afin que la France retrouve sa gloire d’antan. Sur ce, je vous laisse apprécier les réactions respectives de Marine Le Pen et de François Asselineau à la victoire de Donald Trump.

Entrevue avec une anti-féministe

L’entrevue avec cette excellente activiste politique utilisant le pseudonyme de « Blonde in the Belly of the Beast » nous révèle de façon éclatante que ce ne sont pas toutes les femmes qui croient dans la vision utopique du monde présentée par les ténors officiels du mouvement féministe. Durant ce succulent entretient de plus d’heure sur les ondes de Radio 3Fourteen, l’invitée déboute les mythes et les mensonges du discours féministe qui empoisonnent la société occidentale depuis plusieurs décennies maintenant. Loin d’aider les femmes, de dire l’activiste, le féminisme nuit aux femmes en entretenant chez elles des réflexes de victimes et d’injustice. Elle replace également l’idéologie du féminisme en relation avec les autres courants de la société occidentale comme le libéralisme, le socialisme. Ces idéologies, sous la pression de l’immigration massive que nous subissons maintenant, provoque et accélère l’effondrement de notre civilisation. À écouter.

Entrevue avec Blonde in the Belly of the Beast

G. Edward Griffin sur les similarités existant entre le socialisme, le communisme et le fascisme

Les systèmes politiques non-totalitaires obéissent à un certain nombre de principes de base comme par exemple le respect des droits de l’homme, le respect de l’individu contre la suprématie du groupe, la défense de la liberté et de l’égalité, le respect de la propriété privée, etc. En gros, un état démocratique consacrera son énergie à la protection de la vie, de la liberté et de la propriété de ses citoyens. Tout autre forme d’organisation politique sera forcément autoritaire ou totalitaire. Cette conférence s’est déroulée dans le cadre de l’événement Fatima: the Path To Peace.

Interview d’Aaron Russo par Alex Jones sur la Réserve Fédérale et le Nouvel Ordre Mondial

Excellente entrevue avec Aaron Russo, qui se confie à la caméra d’Alex Jones. Russo est un entrepreneur qui a réussi dans le domaine de la lingerie et du show-business. Il fait part ici de ses réflexions sur le système monétaire américain et sur le rôle de plus en plus important que le gouvernement joue dans la vie des individus. Je dois dire que l’interviewé a tendance à tout mettre les problèmes des États-Unis sur le dos de la Réserve Fédérale et de l’élite des ultra-riches. Évidemment, les choses ne sont pas aussi simples. D’autres problèmes affectent les États-Unis et l’Occident, comme la montée de l’islamisme, les cyberattaques, le rôle joué par le cartel du pétrole, la montée en force des organisations criminelles, l’attitude belligérante des derniers régimes communistes, etc. Cependant, le cartel bancaire est un aspect important de la situation difficile dans laquelle on se retrouve présentement et Russo en fait une bonne lecture. Parmi les points importants soulignés dans cette entrevue, mentionnons sa relation d’amitié avec Nick Rockefeller, la « Guerre contre la terreur », qui est selon lui totalement bidon, le rôle joué par le Council on Foreign Relations, l’immigration incontrôlée, etc. Cette entrevue doit être appréciée en ayant en tête les autres menaces qui s’additionnent à celle-ci et qui rendent notre monde extrêmement complexe.

La solution au problème démographique du Québec, la suite: La reproduction…

Dans un article précédent, je proposais de combler le vide démographique du Québec par une sélection minutieuse des immigrants. Les Vietnamiens m’apparaissant comme étant des populations qui s’assimilent de façon assez remarquable, j’ai développé une proposition en les donnant en exemple en compagnie de quelques autres groupes. Mais il est à noter ici que je n’ai jamais voulu dire qu’il n’était pas important pour les Québécois de souche de se reproduire. Loin de là. Bien sûr, nous devons recommencer à faire des enfants pour assurer la perpétuation de notre peuple car, comme chacun le sait, l’immigration n’est pas une solution à long terme dans ce domaine. Il n’y a que la reproduction des « locaux » qui puisse faire cela. Pour que les Japonais, Italiens, Russes, Espagnols, etc, et les Québécois de souche survivent comme peuples, ils doivent se reproduire. Personne d’autre ne peut le faire à leur place.

Or, nos dirigeants, et cela est vrai partout dans tout le monde occidental, n’ont pas cru bon mettre en place une politique officielle de reproduction de l’espèce. Pour une raison difficile à identifier, à part bien sûr la soumission béate aux dictats du socialisme, les gouvernements laissent cela aux individus, ironiquement, alors qu’il s’agit là de la survie même de la tribu qui est en cause. Une politique officielle est nécessaire afin d’encadrer les conditions matérielles, économiques, financières, du travail, sociales, dans lesquelles les divers peuples occidentaux pourraient assurer leur survie. Qu’il s’agisse d’allocations familiales, de conciliation travail-famille, de congés de taxes et impôts, etc, nous devons trouver les façons de rendre la reproduction attirante et avantageuse pour les individus, au lieu d’être un fardeau difficile à supporter comme cela est le cas présentement. Les musulmans et des immigrants provenant de cultures totalement différentes de la nôtre entrent ici à pleine porte. D’ici une ou deux générations, les Québécois de souche ne seront plus majoritaires et ne seront donc plus capables de faire respecter leur culture et leurs valeurs. Par surcroît, nos dirigeants s’illusionnent sur la capacité des sociétés occidentales à assimiler les nouveaux arrivants. C’est une question de nombre. Lorsqu’un certain seuil d’immigrants est dépassé, ceux-ci ne s’intègrent plus. Ce sont plutôt les populations d’accueil qui s’adaptent alors aux nouveaux arrivants, en faisant des concessions, en accordant des accommodements, etc. En d’autres termes, nos gouvernements choisissent de forcer leurs populations à changer pour plaire aux étrangers, au lieu d’encourager la reproduction de ceux qui ont construit l’Occident et forcer ainsi les immigrants à s’adapter à nos valeurs. C’est à n’y rien comprendre. Un changement de cap radical doit être effectué immédiatement. Les Occidentaux de souche doivent se reproduire, sinon ils vont mourir assimilés par des populations étrangères ou par le glaive des musulmans.

Pour compléter, un arrêt de l’immigration s’impose aussi pour éviter que le problème ne s’aggrave davantage avant qu’on ne puisse plus le régler. Des déportations massives sont à envisager également afin de faire sortir au plus vite les individus et les populations ayant des comportements subversifs, agressifs ou criminels envers les populations d’accueil. Comme vous le voyez, on a beaucoup de pain sur la planche si on veut sortir vivant du merdier dans lequel nous sommes plongés.