Le génocide de l’Holodomor: Notre destin immédiat si l’on ne met pas un terme à l’hystérie du Coronavirus

Regardez bien ces images de Celtic-Films. Elles ont été prises lors du génocide de l’Holodomor en Ukraine. L’Union Soviétique a perpétré ce génocide pour punir les Ukrainiens de leurs désirs d’indépendance. Nous vivons présentement un confinement en raison du virus de la Covid-19. Beaucoup de gens se sont retrouvés sans emploi du jour au lendemain et des milliers d’entreprises qui ont dû fermer leurs portes risquent de ne jamais les rouvrir. Tous ces gens sont donc devenus dépendants du gouvernement pour se nourrir. De plus, on a pu voir dans les dernières semaines le cas de nombreuses usines de viande qui ont dû cesser temporairement leurs opérations en raison d’un grand nombre d’employés qui ont obtenu un résultat positif au test de dépistage de la Covid-19. La viande qui normalement est abattue et préparée ne s’est donc pas retrouvée au supermarché. Toutes ces raisons font en sorte que la chaîne d’approvisionnement en nourriture commence à avoir des ratés. Si le confinement se poursuit, ces ratés risquent de devenir de plus sérieux voire même permanents. Il est évident que le confinement qui nous est imposé va mener à court ou à moyen terme à de la famine. Beaucoup de gens risquent de mourir. Les Ukrainiens affamés que l’on peut voir sur ces images, c’est nous d’ici quelques années si l’on ne défend pas nos droits. On va finir exactement comme eux. Le confinement est une tactique de guerre qui est employée pour détruire l’économie occidentale, empêcher Trump d’être réélu et mettre la main sur les richesses des plus faibles. L’heure est grave. Si l’on ne se réveille pas bientôt, le chaos s’installera pour de bon à la surface du globe et ce sera la fin de la civilisation humaine.

President Trump rallies in Minneapolis and Lake Charles

The President at his best in these two rallies, especially the one in Minneapolis. Let’s continue to support the President during the bogus impeachment attempt that is going on right now. Ukrainegate is a hoax!

Entrevue avec Elizabeth Gould et Paul Fitzgerald pour l’émission For The Record sur la guerre en Afghanistan

Elizabeth Gould et Paul Fitzgerald sont des chercheurs et journalistes de haut niveau, comme il ne s’en fait plus. Leurs recherches et leur travail de terrain leur ont permis de mettre en lumière l’histoire réelle de la guerre en Afghanistan, au-delà de la propagande officielle. Entre autres éléments à prêter attention, le rôle joué par les conseillers politiques Zbigniew Brzeziński et Henry Kissinger dans la création de la politique étrangère américaine pour l’Afghanistan et le Moyen-Orient en général est à regarder de près. Aussi, la question du Syndrome de Stress Post-Traumatique, brièvement abordée durant cette entrevue accordée à l’animateur Dave Emory, me semble capitale. En effet, c’est un phénomène nouveau qui illustre de façon étonnante la déconnexion existant entre les politiques décidées par nos élites et le ressenti et l’expérience des populations et des soldats qui les subissent.

Elizabeth Gould et Paul Fitzgerald sur For The Record

Entrevue avec Michael Kofman sur la situation en Ukraine

Cette entrevue avec Michael Kofman sur les ondes de Secure Freedom Radio est très intéressante car elle donne un éclairage inédit sur la situation politique en Ukraine, au-delà de la propagande et des discours idéologiques. Autrement dit, « ça sonne vrai ». À écouter parler cet analyse politique, je crois qu’il voit juste sur les intentions réelles de la Russie et de l’Ukraine, sur la difficulté à résoudre la crise et sur les possibles solutions. Comme Kofman, je crois que la partie est de l’Ukraine pourra difficilement être réintégrée par Kiev et ne pourra pas non plus être annexée par la Russie pour des raisons de logistique et de sens politique. La véritable solution viendra donc des acteurs sur le terrain qui prendront en main leur destinée et sauront se conduire de façon responsable.

Documentaire sur le massacre d’Odessa du 2 mai 2014…

Ce documentaire sur le Massacre d’Odessa survenu le 2 mai 2014 est absolument incroyable par sa vérité. Il nous montre combien nous vivons dans un monde orwellien où les faits sont complètement renversés, où le mensonge devient vérité. Le film n’a pas passé à travers le prisme déformant ni des médias de masse, ni de la propagande du régime de Kiev ou de celle de l’Occident ni d’intérêts privés. Avant de vous laisser regarder le document, quelques observations et remarques sont de mise. Tout d’abord, on doit rappeler encore une fois que l’Administration Obama a laissé un régime nazi prendre le pouvoir à Kiev suite au putsch du Président en poste, Viktor Ianoukovytch. Certains groupes néo-nazis comme Pravy Sektor et Svoboda composent aujourd’hui une bonne partie des forces vives du pouvoir en place. Avant même les événements du Maïdan, il faut savoir que depuis plusieurs années la Russie avait de la difficulté à se faire payer par l’Ukraine ses livraisons de gaz naturel. En 2010, la Russie avait même consenti à accorder une baisse de 30% du prix facturé. Ce conflit commercial a certainement mis la table pour la crise majeure que nous vivons aujourd’hui, sans parler des autres différents projets de pipelines et de gaz qui continuent à jouer en coulisse du conflit. Aussi, alors que la Russie essaie de garder l’Ukraine dans son giron géo-politique, les États-Unis voudrait bien amener celle-ci dans l’OTAN, ce qui est hors de question pour Moscou. De plus, la situation géographique stratégique de la Crimée dans le déploiement de la marine russe fait en sorte qu’il est impossible pour le Kremlin d’accepter l’annexion de l’Ukraine à l’Europe occidentale, annexion qui serait devenue de facto avec l’entente de libre-échange avec l’Union Européenne. Comme le Président Ianoukovytch a finalement décidé de ne pas aller de l’avant avec le traité de libre-échange, une réaction s’est alors produite dans les rangs des partisans de l’Union Européenne et de l’Occident en Ukraine. Le clash survenu ensuite entre ces derniers et les partisans de la Russie n’était que la conséquence inévitable.

D’autre part, je crois qu’il est bon d’attirer l’attention des internautes sur le non-verbal que l’on peut voir dans le documentaire. Le premier élément que l’on doit mentionner est le degré d’endoctrinement des partisans du régime de Kiev. Leur hostilité, leur rage, leur violence n’a rien à envier aux islamistes. La fureur avec laquelle ils ont brûlé la Maison des Syndicats, avec laquelle ils ont tué, massacré ceux qui s’y étaient réfugiés n’a rien à envier aux combattants de l’État Islamique. Les activistes antifascistes qui se trouvaient dans la Maison des Syndicats ont été tué parce qu’ils ne voulaient pas d’un régime nazi au pouvoir dans leur pays et parce qu’ils aimaient la langue russe et la Russie. C’est incroyable de concevoir cela mais ce sont les faits. Autre élément important, on peut facilement noter que les partisans de Kiev sont aux prises avec un délire mystico-politique. Ils n’agissent plus dans la sphère rationnelle et sont donc très dangereux. Le documentaire montre des processions au flambeau nocturnes, rappelant celle du Parti Nazi allemand. Les mêmes causes entraînant les mêmes effets, on peut craindre que cela aura des conséquences extrêmement graves pour le pays et sa population. Par exemple, dans le documentaire, selon la traduction française qui est fournie ici, on entend souvent les partisans du régime de Kiev référer aux Russes en utilisant le terme de « Moskals », dans des phrases du genre « Moskals au couteau ». Les Russes seraient-ils devenus pour le régime néo-nazi de Kiev l’équivalent de ce qu’étaient les Juifs en Allemagne dans les années 1930 et 1940? Le massacre de la Maison des Syndicats est certainement l’indicateur que les Russes, dans une Ukraine gouvernée par les forces présentement au pouvoir, seront systématiquement harcelés et persécutés, pour ne pas dire carrément massacrés. Ceci devrait faire réfléchir un bon nombre de nos leaders occidentaux qui, curieusement, semblent souffrir d’aveuglement volontaire sur ce sujet.

Dans un autre ordre d’idées, on peut se poser des questions sur le rôle de la police et des pompiers dans ces événements. Pour donner l’exemple du Canada, il n’est pas rare que la police intervienne pour encadrer ou superviser des manifestations politiques diverses. Quelques citoyens manifestent leurs idées politiques de façon publique et hop! des voitures de polices débarquent. Or, dans le cas de l’incendie de cette Maison des Syndicats, la police était curieusement absente. Elle ne s’est présentée que longtemps après le début des événements, alors qu’il était trop tard en fait. Un des témoins interviewés pour le documentaire, et que l’on peut écouter environ vers 1h00minute, nous apprend entre autre que les pompiers se sont présentés sur les lieux mais qu’ils n’avaient pas d’eau dans leur camion… Aussi, vers 44:00 minutes, on peut voir des gens se promener à l’intérieur de la Maison des Syndicats, y déplacer des objets, faire des fouilles, etc. Il s’agit pourtant là d’un incendie criminel où des gens ont été tués, certains par les flammes mais d’autres achevés à l’aide d’armes en métal ou même de fusils. En d’autres termes, il s’agit d’une scène de crime qui n’est pas protégée… Il me semble qu’il n’est pas nécessaire d’avoir fait son cours de police au FBI pour savoir que l’on doit protéger une scène de crime, afin justement de recueillir les indices, les preuves, etc. On peut donc se poser des questions sur le degré de complicité du régime de Kiev dans ces événements, alors que les brutes qui ont commis le massacre venaient apparemment de l’extérieur de la ville d’Odessa. La grande question qui résume toutes celles-ci est la suivante: À quoi peuvent bien penser les leaders occidentaux qui appuient le régime actuellement au pouvoir à Kiev? L’animateur radio Dave Emory a produit plusieurs émissions et écrit plusieurs articles sur le dossier de l’Ukraine, que vous pourrez retrouver dans l’article suivant.

Emission spéciale sur l’immigration sur les ondes de Secure Freedom Radio

Différents aspects du problème de l’immigration aux États-Unis sont regardés, dont l’immigration clandestine latino-américaine et ses liens avec les organisations terroristes et criminelles. Divers impacts sur les pays d’accueil de l’immigration sont évoqués, comme la pression à la baisse sur les salaires, les difficultés d’assimilation et les tensions linguistiques. Sur une note de désaccord, je dirais que le dernier intervenant, Richard Vandervoort, mélange un peu les cartes lorsqu’il donne les exemples de l’Ukraine et du Canada comme étant des pays où il y a des problèmes d’assimilation parce que leurs deux groupes ethniques dominants n’ont pas de langue commune. La différence ici, c’est que respectivement les Ukrainiens russophones et les Canadiens-Français ne sont pas des immigrants, comme d’ailleurs les autres Ukrainiens et les Canadiens-Anglais. Ce sont des citoyens à part entière qui sont déjà assimilés dans leur propre culture et qui ont fondé leur propre pays, alors que les latino-américains aux États-Unis sont des immigrants qui ont le devoir de s’assimiler et d’apprendre la langue commune, qui est l’anglais, comme l’ont fait d’ailleurs les immigrants canadiens-français qui ont passé aux États-Unis aux XIXème et XXème siècles. Je ne pouvais résister à la tentation de prendre la balle au bond ici.

LIVE from FAIR’s Radio Row: Secure Freedom and Secure the Border