Le discours du Président Kennedy du 12 septembre 1962 sur le projet des États-Unis d’envoyer des hommes vers la lune laissait présager des jours heureux. Le programme spatial américain, dans le contexte de la Guerre Froide, faisait croire à tous au début d’une ère nouvelle où nous pourrions nous affranchir de la pesanteur de la vie sur Terre afin de découvrir le cosmos et ses merveilles. Or, plus de cinquante ans plus tard, il faut bien dire que les choses ne se sont pas passées tout à fait comme cela. On dirait plutôt que l’humanité a dégénéré, si on en juge d’après l’évolution des idées et des moeurs dans le monde occidental.
Certains indices me portent à croire que le voyage sur la lune était en fait une mise en scène destinée à changer le caractère de la civilisation humaine, ce qui a mené à sa dégénérescence. Les années soixante qui ont suivi le discours de Kennedy ont été marquées par la contre-culture des plaisirs sexuels, de la drogue et de la musique rock. Le premier voyage sur la lune, en 1969, arrivait à la fin de cette décennie de contre-culture. Cette année-là, probablement pour marquer l’événement, le groupe rock progressif King Crimson (le Rouge Roi) a sorti un premier disque intitulé In The Court Of The Crimson King. À l’intérieur de la pochette, on pouvait apercevoir une lune à visage humain, souriante, accompagné de deux mains. D’autres lunes plus petites, rouges, étaient disposées comme des étoiles dans un ciel bleuté. Les paroles des chansons de cet album sont des poèmes. L’écriture est cryptée, au second degré, destinée à un public d’avertis sinon d’initiés. On y parle de la relation de la lune et du soleil, surtout sur le «côté B» comme on le disait à l’époque des disques de vinyles. Les chansons «Moonchild» et «In The Court Of The Crimson King» sont révélatrices du caractère allégorique du voyage sur la lune. Quelques années plus tard, en 1973, le groupe a enregistré l’album Larks’ Tongues in Aspic. La couverture de la pochette nous montrait un soleil rayonnant à visage humain dans lequel un croissant de lune bleu clair se trouvait. Or, fait très intéressant, dans l’édition du 30ème anniversaire de l’album, publiée en 2012, on retrouve sur les deux CD la représentation d’un soleil rayonnant où la lune n’apparaît pas.
Lorsque l’on fait le bilan de l’évolution sociale de la société occidentale depuis les voyages sur la lune, on remarque la montée en flèche de plusieurs mouvements sociaux qui ont changé radicalement la société. Parmi ceux-ci on peut mentionner entre autres certes le féminisme, le mouvement syndical, les avancées technologiques, etc. Deux d’entre eux retiennent particulièrement mon attention cependant: l’homosexualité et l’islam. Ces deux courants d’idées ont amené un changement social qui semble remettre en cause la nature même de la société traditionnelle occidentale et chrétienne.
Pour donner un autre exemple sur le plan musical, quatre ans après le premier voyage sur la lune, en 1973, le groupe rock britannique Pink Floyd a sorti un album intitulé The Dark Side of the Moon. La pochette de l’album nous montrait un triangle traversé par un rayon lumineux se décomposant dans le spectre des couleurs de l’arc-en-ciel, le bleu étant représenté par une teinte pâle. Or, les couleurs correspondent, si on fait fi du bleu foncé, à celles attribuées aux centres énergiques appelés «chakras» dans les traditions hindoue et bouddhiste mais en sens contraire ou descendant. Les couleurs attribuées aux sept chakras par la tradition, quoiqu’il existent des variantes, vont du rouge à l’orange, au jaune, au vert, au bleu pâle, au bleu foncé et au violet. Signalons au passage que le mouvement New Age propose sa version propre pour représenter les centres d’énergie, les différences se trouvant surtout au niveau des deux derniers chakras. Sur la pochette du disque de Pink Floyd donc, on voit ces six couleurs dans le sens inverse et l’endos de la pochette nous montre le même triangle, inversé cette fois, retournant le rayon lumineux d’origine. L’omission du bleu foncé est tout à fait significative dans la mesure où, sur le plan politique, il est souvent associé à la droite ou au nationalisme.
Aussi, cette suite de six couleurs inversée est également représentée à l’intérieur du livret de la pochette du même disque. Le vert, représentant le quatrième chakra au niveau spirituel ou encore l’islam sur le plan politique, sautille comme le signal des signes vitaux sur un écran médical. La version du remaster digital de 2011 du même album, donc presque cinquante ans après le discours de Kennedy, présente des indices supplémentaires qui corroborent les premiers. Ainsi, dans cette version, si on prend le livret, on remarque que les paroles des chansons sont imprimées sur des pages de couleurs suivant cette fois la progression ascendante des chakras. Différences notables cependant, on y trouve maintenant le bleu foncé à la place du bleu pâle et la dernière couleur est le rose. Le violet, qui normalement fermerait la série, se trouve plutôt au début, avec en arrière-fond les pyramides de Gizeh. On retrouve également les pyramides de Gizeh à l’intérieur de la pochette principale. Quelques chansons sont évocatrices du sujet dont je parle ici. Par exemple, on retrouve une pièce instrumentale, «The Great Gig In The Sky», «Any Colour You Like» et aussi la pièce «Eclipse».
Durant les dernières années on a vu apparaître un mouvement faisant la promotion de la diversité sexuelle, à savoir tout ce qui touche à l’homosexualité, au transsexualisme, à la bisexualité, etc. Ce mouvement bénéficie d’une couverture médiatique assez étendue et il est appuyé par beaucoup de formations et de personnalités politiques. On s’en sert même parfois pour mousser le potentiel électoral. Le drapeau arc-en-ciel de ce mouvement exhibe justement les couleurs des chakras dans le sens inverse ou descendant, comme sur l’album de Pink Floyd, à la différence que ce n’est pas toujours le bleu foncé qui est retiré mais parfois plutôt le bleu pâle. Une seule bande bleue se trouve en général sur le drapeau de la fierté gaie. La récupération du mouvement de la diversité sexuelle est de toute évidence réalisée pour répondre à des fins politiques partisanes. Mais elle semble aussi se faire dans le but de saper les bases de la société traditionnelle universelle. Imposer la normalisation de l’homosexualité à des sociétés entières dans le but de rendre ces sociétés supposément plus «progressives», plus «ouvertes» ou plus «tolérantes» est une dérive évidente. L’homosexualité ne sera jamais davantage qu’une forme de sexualité marginale, correspondant à un pourcentage restreint de la population d’un état donné. Vouloir en faire un comportement standard est un suicide sociétal et un manque de respect envers les personnes homosexuelles.
Par ailleurs, dans le domaine du jeu vidéo, la série Myst propose des aventures en solitaire dont l’enjeu est de résoudre des énigmes. Sur des îles désertes ou faiblement habitées, le joueur essaie de trouver les clés qui l’amèneront à percer le mystère. Le deuxième jeu de la série, Riven, est tout à fait remarquable en ce domaine. Les îles sont absolument magnifiques. L’île de départ du jeu nous fait voir un dôme doré ressemblant étrangement au Dôme du Rocher ou Mosquée Al-Aqsa de Jérusalem. Symbole par excellence du mouvement palestinien et de la présence musulmane en Palestine et en terre d’Israël, le Dôme du Rocher est immanquable. Il permet d’identifier la ville immédiatement, même pour quelqu’un qui n’y a jamais mis les pieds. Or, fait tout à fait troublant, dans le jeu Riven toujours, lorsqu’on arrive à l’étape de percer le mystère de ce fameux dôme doré, on trouve en son centre une machine contenant six boules de couleurs…qui sont justement les couleurs de l’arc-en-ciel, moins le bleu pâle dans ce cas-ci, le violet étant remplacé par un mauve-rose, et présentées encore une fois dans le sens inverse, descendant. On doit les mettre dans un certain ordre dans un tableau, en n’utilisant pas la boule jaune, afin de l’activer. Lorsqu’elle démarre, cette machine exerce une forte pression sur le dôme, ce qui permet de l’alimenter en énergie électrique. Ainsi, en réfléchissant sur le conflit israélo-palestinien en liens avec ses découvertes, on pourrait être tenté de se demander si le Dôme du Rocher ne mettrait pas, par hasard, la région de la Palestine sous pression.
La tradition hindoue a émis plusieurs avertissements sur les dangers de pratiquer le culte de la kundalini descendante. Pour rappeler brièvement, les enseignements des textes sacrés hindous parlent d’un genre de serpent cosmique à trois canaux enroulé autour de la colonne vertébrale et énergisant les chakras dans un mouvement ascendant. Il est possible de pratiquer une discipline visant à stimuler le mouvement descendant de cette énergie mais c’est fortement déconseillé en raison justement des effets néfastes que cela peut produire.
Aussi, il est bon de rappeler ici que les différents drapeaux de pays ou mouvements musulmans ou islamistes montrent souvent le croissant de lune, et l’étoile à cinq pointes représentant Vénus. L’islam, par définition, est un culte lunaire, généralement consacré à la mort. Il est en totale opposition aux forces solaires et aux mouvements qui se réclament du soleil. La plupart des religions dans les différentes traditions ont été des cultes solaires. Les grandes civilisations ont toutes adoré le soleil sous une forme ou une autre et l’adoration de la lune est davantage l’apanage de la sorcellerie, de la magie ou de groupes sectaires ou consacrés au mal que de sociétés organisées désirant fonder un projet de civilisation. Fait tout à fait remarquable, à travers le chaos grandissant du Moyen-Orient aux prises avec le fondamentalisme islamique et le terrorisme, certaines lueurs d’espoir apparaissent. Ainsi, la région autonome du Kurdistan de l’Irak voit ses chances de devenir un pays multipliées par beaucoup, puisqu’elle laisse entrevoir une stabilité et un projet de société que peu de pays arabes peuvent offrir. Or, son drapeau arbore un soleil radieux. Le Japon aussi a un soleil sur son drapeau, comme d’autres pays d’ailleurs. Si on pouvait inonder toute la région comprise entre ces deux pays de la lumière du soleil, cela ferait un grand bien à la planète.
Suite à toutes ces informations et ces liens, j’en viens à la conclusion que le voyage sur la lune n’a pas été une voyage physique comme tel permettant de dépasser les limites de la science. Non. Il s’agissait en fait plutôt d’un rituel symbolique et ésotérique, un «great gig in the sky» en quelque sorte, par lequel l’humanité a abandonné le culte du soleil pour adopter celui de la lune. L’expédition de 1969 a été une performance théâtrale de haut niveau par laquelle une certaine élite a essayer d’imposer au reste de l’humanité l’abandon du culte solaire au profit du culte lunaire. Les albums de King Crimson et de Pink Floyd dont j’ai parlés sont là pour témoigner que c’était là l’intention réelle de ce périple. À cet effet, à la toute fin de la chanson Eclipse, toujours tirée de l’album The Dark Side of the Moon de Pink Floyd, on retrouve les vers suivants, très révélateurs sur la nature tragique de ces événements:
« And everything under the sun is in tune
But the sun is eclipsed by the moon »
Maintenant que nous connaissons la vérité sur ce qu’a été le voyage sur la lune, nous devons maintenant, de nouveau, nous tourner vers le soleil, source de toute vie.
Restez branchés sur lys-dor.com pour la cinquième partie. Pour ceux désirant lire les chapitres précédents, cliquez sur ces liens:
L’Occident sous occupation, troisième chapitre: La véritable nature du djihad islamique