À l’ère de l’agriculture de masse, mondialisée, contrôlée par les multinationales, cela fait du bien de voir des femmes ou des hommes politiques être sensibles aux besoins des agriculteurs, les fermiers, comme on les appelait avant. Car ce sont eux, en fait, qui nourrissent les populations des villes. Marine Le Pen, encore une fois, démontre qu’elle sait faire la différence entre ce qui est important et ce qui ne l’est pas. En plein dans le mille.