Durant cette émission, Alexandre Cormier-Denis revient entre autre sur l’incohérence dans l’application des mesures sanitaires au Québec, alors que les partisans du Canadiens de Montréal ont passé outre ces mesures lors du match du vendredi 25 juin. L’absence de répression policière (contraventions, arrestations, avertissements, etc) lors de l’événement, met en lumière le deux poids deux mesures qui règne en maître dans la gestion de la pandémie. Alors que ceux qui sont du côté du pouvoir peuvent se permettre de ne pas suivre les règles, et c’est tant mieux puisqu’elles ne servent à rien, la population générale, elle, doit s’astreindre à suivre religieusement ces mesures arbitraires, sous peine de devoir subir la répression policière. On pourrait donner de nombreux exemples similaires, comme celui des voyageurs qui atterrissent en jets privés à l’aéroport et qui ne sont soumis ni au test PCR ni à la quarantaine. Bienvenue dans l’hypocrisie de la « pandémie ». Nous voyons une nouvelle ségrégation basée sur les classes sociales prendre forme sous nos yeux. Et l’ensemble de l’oeuvre illustre à quel point on se fout de notre gueule. S’il y avait réellement un virus dangereux en circulation, les autorités n’auraient jamais permis cette démonstration de la part des partisans du Canadiens. Le fait que ce soit arrivé démontre de façon éclatante que le discours narratif sur la « pandémie » et le virus est de la foutaise de A à Z.