C’est encore un autre exemple de la mauvaise gestion de la Ville de Montréal en matière de circulation automobile. On dirait que tout est mis en œuvre pour écœurer les automobilistes. Que ce soient le prix des parcomètres, les mesures d’atténuation de la circulation, les appareils de photos radars, les chantiers qui n’en finissent plus et qui traînent, les taxes sur l’essence, les assurances à payer qui sont souvent des taxes déguisées, etc, on n’en finit plus de payer et de se faire chier lorsque l’on conduit un véhicule. Et il y a aussi les victimes collatérales, les commerçants. Monsieur Holder, qui est propriétaire d’un restaurant, nous explique ici la réalité tangible que représente toutes ces mesures, à savoir une baisse marquée du chiffre d’affaires, avec dans certains cas des faillites qui s’annoncent, et l’appauvrissement de plusieurs quartiers. Il est clair en tous cas qu’à la Ville de Montréal, on s’en fout des petits commerçants. Ils n’ont qu’à fermer tous, on s’en balance. Vraiment, rien ne va plus dans cette ville.