La dérive du Québec en éducation: la conséquence de 50 ans de socialisme

Voici quelques vidéos du site LaDéséducation, qui est maintenant devenu LaRééducation pour la deuxième série. Dans le premier document, Omar Aktouf, un professeur d’université, nous présente toute une série de chiffres montrant les nombreux endroits où l’État québécois pourrait puiser de l’argent pour répondre aux besoins de la population. Souvent, c’est dans la poche des plus riches ou dans des programmes mal administrés. S’il y a quelqu’un qui ose encore dire que nous ne nous faisons par fourrer, je me demande qu’est-ce que cela va prendre pour qu’il comprenne! L’argent s’envole à coups de milliards! Réveillez-vous, bon sang!

Dans le deuxième vidéo, l’équipe de LaRééducation nous présente le cas de l’École Val-Joubert à Sainte-Paule, près de Matane, Québec. Cette école semble tout à fait fantastique en termes d’intégration, d’apprentissage, d’encadrement, etc. Mais il y a juste un problème…l’école a été fermée! Tiens, tiens, tiens… Cela se pourrait-il que les bons bureaucrates du Ministère de l’Éducation se sont fait prendre les culottes baissées d’incompétence crasse? Voilà une école qui fonctionne bien et qui donne des résultats et nos bons bureaucrates, malgré toutes leurs réformes savantes et régimes pédagogiques, n’en sont pas responsables! Si le taux de décrochage de l’école avait été élevé, si l’apprentissage avait été moyen, si l’intégration avait été difficile, j’imagine que l’école serait encore ouverte aujourd’hui. Voyez-vous, des bureaucrates et des fonctionnaires, c’est un peu comme des parasites. Des rats, par exemple, ont besoin qu’il y ait de la nourriture dans les égoûts ou dans les ruelles pour pouvoir se nourrir. Par eux-mêmes, les parasites ne créent rien: ils vivent aux dépens des autres. Les fonctionnaires et bureaucrates de l’éducation et des gouvernements en général trouvent leur raison d’être dans les problèmes du système et non pas dans ses solutions. Imaginez que le Ministère engage quelqu’un pour s’attaquer au décrochage scolaire. Si effectivement il parvient à régler le problème du décrochage, il vient du même coup de mettre un terme à son emploi. Le Ministère n’aura plus besoin de lui. De plus, le gouvernement perd ainsi des opportunités d’organiser des conférences de presse, de créer des comités, des commissions, des états généraux, des consultations par lesquels il peut donner des emplois à ses amis, donateurs, collaborateurs et faire-valoir, qui sont un autre genre de parasites. Vous comprenez que le gouvernement n’a aucun réel intérêt à régler les problèmes, que ce soit en santé, en éducation ou ailleurs, parce que ce sont justement les problèmes qui alimentent la machine gouvernementale et politique. Comme vous voyez, on est dans de sales draps!