Paul Weston adresse ici des paroles extrêmement dures à l’endroit de David Cameron. Weston est déçu par le fait que le Premier Ministre anglais refuse de faire le lien entre les actions des djihadistes de l’État islamique et la religion de l’islam, à l’instar de Barack Obama également. Je me dis que lorsque l’on en est rendu, comme citoyen, à prononcer des paroles aussi dures envers nos élus et responsables politiques, c’est le signe qu’il y a vraiment quelque chose qui ne va pas. Bien évidemment qu’il y a un lien entre les actions des djihadistes et la religion musulmane, puisque c’est justement au nom de celle-ci qu’ils font ces choses-là. Nos leaders politiques sont à genoux devant les islamistes et les terroristes, ils n’osent plus « appeler un chat un chat ». Le fardeau retombe donc sur les épaules de citoyens ordinaires, comme nous tous, de défendre la société et la civilisation contre les barbares en s’assurant que le bon vocabulaire est utilisé et que l’on ne se conte pas de mensonges sur la nature réelle de la menace et sur l’identité de l’ennemi.