Oskar Freysinger présente ici les grandes lignes de son dernier livre sur les ondes de la Voix de la Russie, intitulé De la frontière. Nos leaders politiques occidentaux auraient intérêt à prendre des notes ici, eux qui ne conçoivent même plus ce qu’est une frontière. Comme l’auteur le dit lui-même, une frontière est comme une peau, elle laisse passer ce qui est bon mais elle protège aussi de ce qui être nuisible. Nos leaders ne défendent plus les frontières, que ce soit au niveau de l’immigration ou des droits de douanes, ce qui fait en sorte que tous les vents nuisibles de la mondialisation et de l’américanisation peuvent souffler ici sans entraves. Nos leaders préfèrent vivre avec le terrorisme et l’effrondrement de nos sociétés plutôt que de défendre nos cultures. C’est à n’y rien comprendre.