L’analyste économique Kevin Freeman commente ici la perte de liberté de parole sur internet qui se produit depuis plusieurs mois déjà. Cela s’exprime de différentes façons, notamment par une sélection orientée du contenu que l’on retrouve sur les plateformes des médias sociaux, par des tactiques déployées par exemple par l’Open Society de George Soros mais aussi, malheureusement, par le transfert du contrôle de l’internet (ICANN) que l’Administration Obama se préparerait peut-être à faire ce mois-ci. Le Congrès a déclaré illégal l’attribution de sommes provenant du budget pour financer ce transfert mais selon Freeman, Obama voudrait quand même aller de l’avant. Il est évident que le transfert du contrôle de l’internet à une entité indépendante, privée, peut-être internationale, signifiera la mort de la liberté d’expression sur internet, puisque alors les propos tenus sur internet ne seront plus protégés par le Premier Amendement de la Constitution Américaine, comme c’est le cas présentement, en plus d’être défendus par les élus du Sénat et du Congrès. De plus, les membres du groupe, comité ou entité qui se verrait octroyé le contrôle de l’internet seraient évidemment, dès lors, la cible de tentatives de corruption, d’intimidation et d’influences venant des acteurs les plus néfastes de la planète, c’est l’évidence même. Celui qui contrôle le discours contrôle l’agenda. Alors que les gros médias ne présentent plus que des balivernes sans importance, nous devons tout faire pour garder l’internet démocratique et populaire. C’est sur internet que les patriotes du monde entier peuvent prendre la parole, défendre leur pays, leur culture, leur civilisation et s’organiser politiquement pour prendre le pouvoir bientôt, dans les décennies à venir. Un monde nouveau est en train de naître et on le voit grandir sur et grâce à internet. Les États-Unis doivent garder le contrôle d’internet à l’intérieur du gouvernement. Vous retrouverez l’entrevue avec Freeman au second segment.