Une infirmière québécoise explique pourquoi elle refuse la vaccination forcée et les tests de dépistage

Apparemment, le gouvernement du Québec imposerait la vaccination pour la covid-19 à ses employés dans les CHSLD. Cette infirmière fait remarquer, avec justesse, que les « variants » ont commencé dans les jours qui ont suivi le début de la campagne de vaccination au Québec pour la covid-19. En fait ce qu’elle dit ici, sans le dire de façon directe, c’est que les « variants » sont en fait le résultat de la vaccination. Eh oui, la vaccination pour la covid-19 rend malade ou produit un résultat positif au test de dépistage. Je crois que les infirmières du Québec, si elles ne peuvent obtenir gain de cause rapidement auprès de leur syndicat ou d’une instance juridique responsable des droits de la personne, feraient mieux tout simplement de démissionner, quitte après à poursuivre le gouvernement. Il est inacceptable que le gouvernement du Québec impose la vaccination à ses employés et, qu’en plus, il se serve du lien d’emploi pour le faire. L’imposition du test de dépistage n’est pas plus acceptable, puisqu’il s’agit d’une procédure médicale à laquelle le citoyen doit consentir de plein gré et non pas sous la contrainte. Les infirmières du Québec doivent dire NON en bloc à cette imposition dictatoriale et totalitaire. Défendez vos droits!

2 réflexions sur « Une infirmière québécoise explique pourquoi elle refuse la vaccination forcée et les tests de dépistage »

  1. Je rajoute ici que, évidemment, avant de démissionner, les infirmières devraient recourir à la grève et à une série de moyens de pression afin d’essayer de régler la situation. Si rien ne fonctionne, démisionner vaudra toujours mieux que de prendre ce vaccin, qui est une concoction dangereuse et parfois mortelle.

  2. À bien y penser, il vaudrait mieux pour les infirmières qui se voient imposer la vaccination obligatoire pour la covid-19 de ne pas démissionner. Elles devraient plutôt attendre de se faire congédier ou suspendre, ce qui leur permettra de poursuivre l’hôpital ou le gouvernement. Il sera plus facile ainsi de prouver le dommage avec un congédiement qu’avec une démission. Le rapport de force d’un regroupement d’infirmières qui ont été congédiées sera donc beaucoup plus grand et plus efficace en cour de justice. N’acceptez sous aucun prétexte d’être contaminées avec ce vaccin, qui n’est pas autre chose qu’un poison, qu’une arme bactériologique de dépopulation.

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