Karen Kingston raconte ici les circonstances qui l’ont amené à quitter les États-Unis afin de se protéger elle-même et sa famille dernièrement. Je ferai le bref commentaire suivant. Il n’est jamais bon de laisser la peur nous envahir et prendre le dessus. Lorsque l’on sent que des menaces pèsent sur nous, la seule option est de rester droit dans ses bottes, de faire face à la musique et de continuer. Laisser la peur dicter notre conduite ne fait qu’empirer la situation. Depuis cette entrevue, Karen Kingston aurait décider d’arrêter ses travaux sur les injections pour la covid-19 et sur la covid-19 elle-même. C’est très malheureux. Vous savez, personne n’est parfait dans le Mouvement pour la liberté. Les gens s’engagent de tout leur coeur avec leurs limites et leurs défauts et avec leurs qualités. Arrêter le combat parce que l’on a eu un moment de faiblesse ou de confusion n’est pas une bonne décision. Les mondialistes n’arrêteront pas leur opération de destruction et de dépopulation parce que tel ou tel activiste accroche son tablier. Au contraire, cela ne fera que renforcer leur détermination. Au printemps 2020, les mondialistes se sont exposés publiquement comme étant la force maléfique qui se trouve derrière les déboires humains. Comme le dit si bien David Icke, «they walked into the room and the door clicked behind them». Pour eux, il est trop tard, ils ne peuvent plus faire marche arrière. C’est donc un combat à finir entre eux, les mondialistes et nous, les partisans de la liberté. J’invite donc tous les membres de notre mouvement à rester dans le combat, à ne pas fléchir et à ne pas céder à la peur. La victoire sera à nous, cela est pour bientôt mais d’ici là, il faut rester droit dans ses bottes et faire face à la musique.