Le Québec est-il une société libre

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Les « écoles libres » sont illégales au Québec… Tiens-donc… Selon Marike Reid-Gaudet, qui est détentrice d’une maîtrise en sociologie de l’éducation et que vous pouvez voir et entendre dans cet extrait vidéo du site web La Déséducation, le Ministère de l’éducation du Québec interdirait les écoles libres parce que, supposément, elles ouvriraient la porte aux dérives religieuses… Pourtant, cela n’empêche pas le même Ministère de donner une subvention à l’École Dar al-Iman de Montréal (voir ici, ici et ici) pour qu’elle puisse endoctriner les enfants dans l’islamo-fascisme de la doctrine des Frères musulmans! Franchement, le gouvernement du Québec est dur à suivre. Selon Marike Reid-Gaudet, il y a des écoles libres un peu partout dans le monde mais pas au Québec. Notre gouvernement les interdit pour éviter l’endoctrinement religieux…et il donne une subvention à une école islamiste pour faire exactement cela!

Plus loin dans le vidéo, on peut voir une adolescente en compagnie de sa mère nous raconter son expérience de l’école libre. Franchement, elle a l’air beaucoup mieux dans sa peau que beaucoup d’ados que je croise dans la rue et dans le métro tous les jours. C’est quoi cette maudite manie que l’on a au Québec de vouloir tout contrôler? Le mot nazi est le raccourci pour national-socialisme. Dans notre belle province, le socialisme est triomphant depuis les années soixante et il s’est accompagné d’une montée du nationalisme… En d’autres termes, les risques de dérives fascistiques sont très grandes partout où le socialisme règne en maître, en raison justement des liens étroits qui l’unissent au nationalisme. En passant, est-ce que l’Union soviétique fut un bel exemple de liberté d’expression? Non. Le socialisme mène à la même bêtise totalitaire que le fascisme. Seule la tonalité est différente.

Et d’après vous, est-ce que les syndicats québécois accepteraient volontiers de voir apparaître des écoles libres? Sûrement pas. Après tout, les syndicats sont des mafias légales, organisées en fait pour exploiter les travailleurs qu’elles sont supposées protéger et défendre, en leur arrachant de force des cotisations de toutes sortes, dont les fameuses cotisations pour l’assurance-maladie qu’ils administrent eux-mêmes parfois… Combien s’en mettent-ils dans les poches en bout de ligne avec cette combine, je ne sais pas. Mais il demeure que notre peuple doit lutter contre toute une série d’exploiteurs en tout genre et c’est pour ça que l’école est si mauvaise. Comme tout le monde en a rien à foutre du développement des enfants, comme tous ne pensent qu’à piger dans le pot de biscuits à nos dépens, notre peuple ne cesse de régresser. Nos écoles vont rester des prisons pour longtemps, tant que ce socialisme de toilettes publiques ne passera pas à la guillotine de la sagesse de la tradition.

La dérive du Québec en éducation: la conséquence de 50 ans de socialisme

Voici quelques vidéos du site LaDéséducation, qui est maintenant devenu LaRééducation pour la deuxième série. Dans le premier document, Omar Aktouf, un professeur d’université, nous présente toute une série de chiffres montrant les nombreux endroits où l’État québécois pourrait puiser de l’argent pour répondre aux besoins de la population. Souvent, c’est dans la poche des plus riches ou dans des programmes mal administrés. S’il y a quelqu’un qui ose encore dire que nous ne nous faisons par fourrer, je me demande qu’est-ce que cela va prendre pour qu’il comprenne! L’argent s’envole à coups de milliards! Réveillez-vous, bon sang!

Dans le deuxième vidéo, l’équipe de LaRééducation nous présente le cas de l’École Val-Joubert à Sainte-Paule, près de Matane, Québec. Cette école semble tout à fait fantastique en termes d’intégration, d’apprentissage, d’encadrement, etc. Mais il y a juste un problème…l’école a été fermée! Tiens, tiens, tiens… Cela se pourrait-il que les bons bureaucrates du Ministère de l’Éducation se sont fait prendre les culottes baissées d’incompétence crasse? Voilà une école qui fonctionne bien et qui donne des résultats et nos bons bureaucrates, malgré toutes leurs réformes savantes et régimes pédagogiques, n’en sont pas responsables! Si le taux de décrochage de l’école avait été élevé, si l’apprentissage avait été moyen, si l’intégration avait été difficile, j’imagine que l’école serait encore ouverte aujourd’hui. Voyez-vous, des bureaucrates et des fonctionnaires, c’est un peu comme des parasites. Des rats, par exemple, ont besoin qu’il y ait de la nourriture dans les égoûts ou dans les ruelles pour pouvoir se nourrir. Par eux-mêmes, les parasites ne créent rien: ils vivent aux dépens des autres. Les fonctionnaires et bureaucrates de l’éducation et des gouvernements en général trouvent leur raison d’être dans les problèmes du système et non pas dans ses solutions. Imaginez que le Ministère engage quelqu’un pour s’attaquer au décrochage scolaire. Si effectivement il parvient à régler le problème du décrochage, il vient du même coup de mettre un terme à son emploi. Le Ministère n’aura plus besoin de lui. De plus, le gouvernement perd ainsi des opportunités d’organiser des conférences de presse, de créer des comités, des commissions, des états généraux, des consultations par lesquels il peut donner des emplois à ses amis, donateurs, collaborateurs et faire-valoir, qui sont un autre genre de parasites. Vous comprenez que le gouvernement n’a aucun réel intérêt à régler les problèmes, que ce soit en santé, en éducation ou ailleurs, parce que ce sont justement les problèmes qui alimentent la machine gouvernementale et politique. Comme vous voyez, on est dans de sales draps!