La tenue vestimentaire des intervenantes dans les Centres Jeunessse: Lorsqu’un délinquant représente l’or le plus précieux

C’est encore une autre histoire cette semaine qui m’a mis le feu au cul. Imaginez-vous donc que l’on vient d’apprendre que depuis un certain temps dans les Centres Jeunesse, les intervenantes ont pris l’habitude de travailler assez légèrement vêtues, un peu trop sexy en fait, au point où des juges et différents intervenants et parents se sont sentis obligés d’en faire la remarque à la direction de ces Centres.

En fait, l’explication de ce phénomène est toute simple mais elle est désagréable à entendre. Comme dans le cas de l’affaire Tanya Pontbriand que j’analysais dans un article précédent, c’est aussi relié à la modernité. En effet, encore au dix-neuvième siècle, les jeunes femmes recherchaient parmi les meilleurs hommes possibles pour se marier et fonder une famille. Même les femmes issues de familles de paysans rêvaient d’un médecin, d’un avocat ou d’un notaire. Celles qui ne réussissaient pas à décrocher le gros lot devaient se contenter d’un bûcheron, d’un paysan ou d’un autre homme des classes populaires. En général, les femmes recherchaient un homme qui représentait quelque chose de mieux que ce qu’elles étaient pour améliorer leur condition.

Or, aujourd’hui, le pattern s’est complètement renversé. De nos jours les jeunes femmes, et particulièrement les très belles, recherchent les hommes qui représentent ce qu’il y a de pire dans la gente masculine: drogués, alcooliques, hommes violents, abuseurs sexuels, bandits, criminels, délinquants, paresseux, bref les crottés de toutes les sortes. À ce effet, je ne souviens plus le nombre de fois dans ma vie où j’ai croisé de ces petits merdeux…accompagnés de femmes absolument magnifiques. Vous ne me croyez pas? Retracez le genre d’hommes qu’ont eu les Jennifer Lopez, Kim Kardashian et autres très belles femmes de Hollywood ou de l’industrie de la musique dans les années précédentes et vous allez voir. Je dois vous dire personnellement que je n’y comprends absolument rien. Si j’étais une femme, jamais je n’ouvrirais mes jambes pour un vaurien. Mais il faut croire que les femmes d’aujourd’hui ont une « intelligence » que je n’ai pas. Elles courent après ce genre d’hommes comme s’ils représentaient l’or le plus pur. Continuer la lecture