Quelques rappels importants sur Israel et la Palestine et la réalité des « réfugiés » Palestiniens

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Jean-Marie Gélinas, Président du mouvement Amitiés Québec-Israel, nous les présente ici.

1.. ISRAËL est devenue une nation en 1312 avant J.C, soit 2000 ans avant même la naissance de l’Islam

2.. Jamais aucune entité géographique et politique indépendante, aucun pays, ne s’est intitulée « PALESTINE » au cours de l’histoire. Par extension aucun peuple ne s’est jamais appelé « PALESTINIEN ».

3.. Les arabes de la « région » du Moyen Orient dénommée « PALESTINE » n’ont commence a s’identifier comme faisant partie d’un peuple « PALESTINIEN » que dans la 2eme moitie du 20eme siècle.

4.. Depuis la conquête juive de 1272 avant J.C, les juifs ont établi leur nation sur cette terre et la nation juive y a prospère pendant 1000 ans, avec JERUSALEM comme capitale.

5.. La présence juive sur la terre d’ISRAËL a été constante et ininterrompue pendant 3300 ans.

6.. JERUSALEM n’a jamais été la capitale d’aucun état arabe ou musulman.

7.. Même lorsque les Jordaniens occupaient JERUSALEM, ils n’ont jamais envisagé d’en faire leur capitale.

8.. Durant la souveraineté Jordanienne sur JERUSALEM (19 ans), jamais un homme d’état arabe ne l’a visitée.

9.. JERUSALEM est mentionnée plus de 700 fois dans le TANA’H, le livre saint du judaïsme.

10.. JERUSALEM n’est pas mentionnée une seule fois dans le Coran.

11.. JERUSALEM fut fondée par le ROI DAVID

12.. Jamais MAHOMET n’a visité JERUSALEM.

13.. Les juifs du monde entier prient en se tournant vers JERUSALEM.

14.. Les musulmans pour prier tournent le dos à JERUSALEM.

 

LES REFUGIES JUIFS ET ARABES:

 

15.. Pendant la guerre Israélo-Arabe de 1948, les arabes ont été encouragés à fuir ISRAËL par les leaders arabes et en particulier le grand Mufti de JERUSALEM, allié d’ Hitler et son hôte a Berlin pendant la guerre 39-45

16.. Les appels radio du Mufti annonçaient clairement le massacre de tous les juifs se trouvant en ISRAËL lors de l’invasion imminente par les armées arabes, ainsi que celui des Arabes qui auraient refusé de fuir et seraient considérés comme « collaborateurs ».

17.. Il est honnête de rappeler que certains arabes, qui en ont eu connaissance, ont également fui suite au massacre de 300 personnes dans le village de DEIR YASSIN perpétré en représailles par le groupe STERN suite à l’assassinat de plusieurs des leurs par des éléments du village. Continuer la lecture

L’histoire de Jérusalem présentée par Jean-Marie Gélinas

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Le Président du mouvement Amitiés Québec-Israel nous offre ici l’histoire de Jérusalem. Encore une fois, nous devons nous rééduquer afin de résister et de lutter contre l’antisémitisme ambiant et médiatique qui est en train de corrompre nos sociétés. Ce texte est un outil de plus pour ce faire. Bonne lecture.

Durant plus de 2500 ans, la nostalgie de Sion et de Jérusalem devait accompagner le peuple juif dans ses diverses diasporas, depuis l’exil babylonien ordonné par Nabuchodonosor en 598-537 avant J.-C. et la conquête de Jérusalem précédant sa destruction par les soldats romains de Titus en 70 de l’ère chrétienne, date qui allait marquer le début de la grande dispersion. Cette nostalgie, attestée plus d’un millier de fois dans la Bible comme dans le Talmud, marque les prières quotidiennes et festives pour culminer en une acmé d’espoir à la fin de la Haggadah de la Pâque par cette formule consacrée: “L’an prochain à Jérusalem.” Certaines des plus poignantes expressions de ce sentiment furent composées par l’auteur des Psaumes:

Sur les rives des fleuves de Babylone, là nous nous assîmes et nous pleurâmes au souvenir de Sion. Aux saules qui les bordent nous suspendîmes nos harpes. (137, 1-2)

Si je t’oublie jamais, Jérusalem, que ma droite m’oublie ! Que ma langue s’attache à mon palais, si je ne me souviens de toi, si je ne place Jérusalem au sommet de toutes mes joies. (137, 5-7).

Célèbre, ô Jérusalem, l’Eternel, glorifie ton Dieu, ô Sion! (147, 12).

En 1948 plus de 2 000 Juifs avaient été évacués de leurs pauvres demeures, plusieurs fois centenaires, construites dans le quartier juif au sein de la Vieille Ville, là où précisément habitaient, dans de somptueuses villas, l’aristocratie, l’élite juive et la caste sacerdotale à l’époque du deuxième Temple. La plus grande partie des vingt-sept synagogues et yeshivot (écoles talmudiques) du quartier avaient été détruites pendant les combats. Les autres lieux de culte servirent de latrines ou d’écuries… Cet exode ne fut pas une fin en lui-même car aujourd’hui dans ce quartier rénové de nouveaux habitants arpentent les ruelles, côtoyant les visiteurs israéliens et les nombreux touristes étrangers venus admirer ce chef-d’œuvre de reconstruction et d’aménagement des vestiges exhumés qui font revivre le passé juif de la capitale d’Israël à jamais. Comme l’avait prophétisé le prophète Jérémie, la ville sera reconstruite sur ses ruines : « Ainsi parle l’Éternel : Voici, je ramène les captifs des tentes de Jacob, j’ai compassion de ses demeures ; la ville sera rebâtie sur ses ruines […]. » (Jé. 30. 18). Le texte biblique hébreu précise que Jérusalem sera reconstruite sur son tell (ses ruines).

Dès la réunification de la ville, le gouvernement entreprit un vaste chantier de restauration du quartier juif en prenant soin tout d’abord d’effectuer des fouilles archéologiques afin d’exhumer les ruines du passé, enfouies sous plusieurs mètres de gravats. Ceci ne correspond-t-il pas au cri du psalmiste : « […]Mais toi Éternel tu régneras à perpétuité, et ta mémoire dure de génération en génération. Tu te lèveras, tu auras pitié de Sion ; car le temps d’avoir pitié d’elle, le temps fixé est à son terme ; car tes serviteurs en aiment les pierres, ils en chérissent la poussière […]. » (Ps. 102. 13-23). La municipalité de Jérusalem, en collaboration avec la Direction israélienne des Antiquités, la Société de la réhabilitation et du développement du quartier juif, et le Ministère israélien des Affaires religieuses, fit revivre ce quartier en préservant son passé. Continuer la lecture