Excellente intervention d’Anne Korin, se situant dans le prolongement des travaux de Robert Zubrin sur la question de l’indépendance énergétique face à l’OPEP. Elle fait l’analyse ici des différents éléments composant la dynamique de l’industrie pétrolière ainsi que des difficultés que nous avons à nous affranchir de la mainmise de ce cartel. Elle conclut sa présentation en parlant de l’alternative dite « flex-fuel », qui consiste à concevoir ou adapter des véhicules pour différents types de carburants. Selon elle, ce moyen simple et peu dispendieux représente le moyen le plus facile et le plus efficace pour briser le monopole de cette organisation trans-nationale. Nos leaders politiques et industriels en Occident devraient ici prendre des notes. Je vous propose aussi des interventions respectivement de Robert Zubrin, nommé ci-haut, James Woolsey, ancient directeur de la CIA, ainsi que de l’ancien Commandant Suprême des Forces Alliés pour l’Europe, Wesley Clark, lors de la conférence « Opening The Fuel Market: A Key to Economic Recovery » qui s’est tenue voilà à peu près un an, afin de soutenir le projet de loi intitulé The Open Fuel Standard Act (H.R.1687, S.1603).
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La chef du Parti Québécois, Pauline Marois: La seule qui peut nous sortir du merdier…
Le Parti Québecois est le seul parti qui représente réellement le peuple québécois. Alors que le Parti Libéral n’est que corruption, collaboration et soumission, que Québec Solidaire fait le jeu de puissances étrangères hostiles au Québec, que la CAQ de François Legault présente une plateforme floue, disparate, qui cache on ne sait quel agenda, et qu’Option Nationale ne sera probablement qu’un furtif bâillement dans l’histoire politique du Québec, le Parti Québécois est la seule organisation politique en mesure de se lever pour défendre les intérêts des Québécois. La division du vote à gauche ne peut qu’être fatale pour les Québécois car elle risquerait de reporter Charest au pouvoir, ce qui serait une catastrophe, voire un cauchemar. Bien sûr, aucun parti politique n’est parfait et le premier mandat du Parti Québécois ne le sera pas non plus. Mais une chose est sûre: Si on veut se débarrasser de la corruption, il n’y a pas d’autre solution. La corruption ne va que continuer sous les Libéraux. Pour ce qui est de la CAQ, on ne sait pas pour qui exactement François Legault travaille, à qui il répond ou de qui il prend ses directives. En effet, la « programme » qu’il présente au Québécois est un bric-à-brac confus de mesures dont on ne sait à qui elles vont profiter. Pour ma part, j’en viens à la conclusion que la CAQ n’est que l’effet miroir, à droite, de ce que représente Québec Solidaire à gauche. Ces deux partis, Québec Solidaire et la CAQ, tentent de mettre la main sur les richesses du Québec pour des intérêts qui ne sont pas québécois ou qui sont hostiles au peuple québécois. C’est pourquoi, le 4 septembre prochain, on doit voter Parti Québecois.