Maria Zeee s’entretient avec Kirk Elliott sur l’imminent crash bancaire à prévoir dans les prochains mois

Erin Marie Olszewski livre un témoignage sur la corruption dans le milieu médical à New York

Erin Marie Olszewski a travaillé comme infirmière à l’Hôpital Elmhurst de New York suite à un transfert depuis la Floride. Elle y a été témoin d’activités absolument inacceptables, pour ne pas dire carrément criminelles. Pour s’attarder uniquement sur l’essentiel, elle a été témoin que des patients ont été faussement diagnostiqués comme étant positifs au test de dépistage de la Covid-19, alors que leurs résultats étaient négatifs. Elle a aussi constaté que beaucoup de patients étaient branchés sur des respirateurs, alors que souvent cela n’était pas nécessaire et que certains d’entre eux avait eu un résultat négatif de Covid-19. Ceci équivalait presque automatiquement à leur mise à mort. En effet, l’effet combiné des différents sédatifs avec le respirateur faisait en sorte que la plupart ne se réveillaient jamais et mouraient au bout d’un certain temps. Aussi, l’hôpital avait l’habitude de mélanger les patients Covid avec les non-Covid sur les mêmes unités, ce qui faisait en sorte de contaminer presque automatiquement ces derniers. Selon Erin Marie Olszewski, la motivation principale de ce genre de pratiques est l’argent, puisque l’hôpital pouvait ainsi facturer des soins avec le code Covid, ce qui rapportait plus d’argent que si cela avait été des soins réguliers. Elle affirme également que sur les étages de l’hôpital on ne retrouvait pas de vrais médecins souvent. La plupart étaient des résidents en médecine qui ne savaient pas vraiment ce qu’ils faisaient. Il y avait même un dentiste. Parmi les autres horreurs dont elle a été témoin, le code DNR (Do Not Resuscitate) était appliqué automatiquement à des patients sans que la famille ne soit consultée, ce qui est un manquement grave au code de déontologie et est totalement immoral de toute façon.

Erin Marie Olszewski affirme que l’Hydroxychloroquine et le zinc utilisés de façon combinée sont très efficaces pour traiter le Coronavirus, comme elle a pu le constater lors de sa pratique en Floride. Malheureusement, dans le contexte new-yorkais, ce traitement est impossible à administrer en raison de l’obsession des administrateurs pour les respirateurs qui rapportent beaucoup d’argent aux hôpitaux et en raison de son interdiction par le gouverneur de l’état, Andrew Cuomo.

À la toute fin de la vidéo, dans un témoignage filmé quelque jours plus tard, Erin Marie Olszewski, affirme qu’on lui a demandé de quitter la chambre où elle était en fonction à l’hôpital pour aller à l’urgence. Pendant son absence, un code d’urgence a sonné depuis cette chambre et son patient a décédé. Il apparait évident qu’on l’a fait sortir de la chambre pour pratiquer certaines manoeuvres sur ce patient qui ont provoqué son décès.

Même si je suis choqué par le témoignage de Erin Marie Olszewski, je vous avoue que je suis pas surpris. Les agissements qui sont décrits ici correspondent tout à fait à ce que j’appréhendais dans le cadre des lois qui ont été adoptées récemment dans plusieurs états occidentaux sur les soins en fin de vie et sur l’euthanasie. J’exprimais ces inquiétudes dans ce texte précédent. Les Occidentaux, décadents et rétrogrades, en sont arrivés à faire de l’argent avec la mort et c’est ce que l’on voit avec l’arnaque du Coronavirus. Si des citoyens sont assez naïfs pour croire la propagande étatique, et qu’ils se rendent à l’hôpital, ils n’en sortiront probablement pas. L’hôpital est l’endroit le moins sûr en ce moment pour quelqu’un qui veut rester en vie. Suite à la vidéo de l’entrevue avec Madame Olszewski, je joins également l’analyse d’Alex Jones sur le dossier.

I am switching to English now to make sure that Erin Marie Olszewski reads this. For me, it is obvious that the patient who has died (or was murdered) on her last day at work was a set up. Because she was vocal on social media about her experiences and because she filmed herself at her job at the hospital, the administration of the hospital will, in all likelihood, try to frame her as incompetent or negligent to justify her firing and maybe even more. They will say that this patient died because she did or didn’t do this or that. In other terms, they will try to pin his death on her back. So it is important that she defends herself. Veterans have organizations that can help them, I have no doubts about that. But, for me, for any American patriot who is under attack, the place to start is always Judicial Watch. So I suggest that she contacts them and puts up a legal defense because if the hospital has any chance, based on my experience, they will try to break her into pieces. It is about time that we strike back at this corruption. We can’t be nice anymore with people like that. Thank you Erin, for your testimony.

Entrevue avec Yvan Blot sur son nouveau livre « L’oligarchie au pouvoir »

Parmi les très bons points abordés ici par Yvan Blot, j’ai noté particulièrement une observation qu’il fait sur les arts d’aujourd’hui, à savoir contemporain et visuel. À juste titre, il fait remarquer que ces arts ne représentent presque jamais l’homme, à la différence des arts classique, baroque et de la Renaissance qui eux mettaient toujours l’homme au centre de leurs représentations. Pour Yvan Blot, ceci est l’expression de l’époque dans laquelle nous vivons. La société occidentale est gouvernée par des technocrates, des fonctionnaires et des gestionnaires qui n’ont aucune considération pour l’homme. Ces gens passent leur vie dans des bureaux au lieu d’être sur le terrain en compagnie d’hommes et de femmes vivant dans la misère et la souffrance. Les arts contemporain et visuel sont la représentation de la façon dont nos gouvernants nous perçoivent, i.e. comme une matière première, comme des objets inanimés.

https://youtu.be/aUPleGKqs80