Dans la deuxième partie de l’entrevue, Sasha Latypova confirme la présence d’ARN modifié dans la viande et le poisson d’élevage, ce qui implique donc que les produits de viande et de poisson destinés aux épiceries, supermarchés et restaurants sont contaminés à l’ARN modifié. Aussi, elle affirme que les plasmides d’ADN, qui ont été retrouvés dans les injections pour la covid-19 par certains chercheurs, sont produits à l’aide de bactéries E.coli, ce qui veut donc dire que ces plasmides peuvent se reproduire très facilement dans le corps humain.
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Derrick Dortch sur le processus d’investigation menant à l’obtention d’une cote de sécurité aux États-Unis
Derrick Dortch continue lors de cette entrevue l’analyse commencée par Fred Fleitz sur la délivrance des cotes de sécurité aux États-Unis. Vous pourrez retrouver l’entrevue avec Fred Fleitz dans cet article précédent. Dortch en profite ici pour aller plus en détails sur le plan technique et logistique, de ce processus. Retrouvez son entrevue avec Frank Gaffney au premier segment.
Derrick Dortch sur Secure Freedom Radio
Fred Fleitz analyse le processus d’enquête menant à l’obtention d’une cote de sécurité aux États-Unis
Excellente analyse ici de Fred Fleitz. Depuis quelques années, le processus d’enquête menant à l’obtention d’une cote de sécurité aux États-Unis s’est passablement relâché. Voyez-vous, la NSA donne à des sous-contractants la tache de faire les vérifications nécessaires en ce domaine. Or, il est un fait établi maintenant que des quotas existent quand au nombre quotidien d’approbations à obtenir par les agents des firmes engagées. En d’autres termes, c’est un peu comme à l’usine, les agents de vérification doivent donner un certain nombre de cotes de sécurité, comme un agent de télémarketing doit vendre un certain nombre de balayeuses ou de thermopompes avant de quitter pour la journée. Aussi, ce genre de pratique ne fait qu’accroître les préoccupations liées à la vie privée. Non seulement des cotes de sécurité peuvent être données à des gens qui ne les méritent pas mais, en plus, on ne connaît pas bien le background des agents eux-mêmes travaillant pour ces sous-contractants. Le résultat final est probablement que bon nombre de ces approbations ne valent absolument rien, puisqu’elles sont données par des gens qui ne sont pas des professionnels du renseignement d’une part, et qui, d’autre part, les donnent à n’importe qui pour rencontrer leur quotas. Durant l’entrevue qui suit, Fleitz mentionne que le sous-contractant USIS aurait donné jusqu’à 40% d’approbations totalement bidons. C’est beaucoup.
On peut donc prendre pour acquis que des gens appartenant à des organisations criminelles, islamistes, terroristes, ou tout simplement de pures incompétents, ont ainsi eu accès à nos systèmes des sécurité et à l’infrastructure de nos communications. Pas étonnant qu’on ait tant de problèmes. Suite à l’affaire Snowden, beaucoup de gens se sont affolés que la NSA ne respecterait pas la vie privée des citoyens. Mais, voyez-vous, si des gens lisent vos courriels, écoutent vos conversations téléphoniques ou ont accès à l’historique de votre navigation internet, ce ne sont probablement pas les agents de la NSA, longuement formés et professionnels. Les probabilités sont à l’effet que ce sont plutôt les sous-contractants eux-mêmes ou ceux à qui ils ont donné des cotes de sécurité bidons qui le font. L’affaire Snowden a déplacé le problème. Ce n’est pas la NSA qui est en cause. C’est plutôt le fait de donner des activités de renseignement à sous-contrats qui l’est. Aucune agence ne devrait jamais donner aucun travail de renseignement que ce soit à sous-contrat. Point. Sinon, cela représente un risque de sécurité. Et les agences de sécurité ne sont-elles pas là justement pour assurer notre sécurité? Retrouvez l’entrevue avec Fred Fleitz au 2ème segment: