Ken Pereira analyse les effets de la radiation solaire sur le réseau électrique

KEN PEREIRA – PROCHAIN FALSE FLAG: LA TEMPÊTE SOLAIRE

La tempête de verglas de 1998: HAARP et le jour où le Québec a été attaqué

D’après-vous, quelles sont les probabilités pour que les conditions nécessaires qu’il y ait une tempête de verglas se maintiennent pendant dix jours? Vous savez, la température doit être légèrement au-dessus de zéro dans l’atmosphère pour qu’il y ait de la pluie et légèrement au-dessous ou exactement à 0°C au niveau du sol pour qu’elle se solidifie en glace immédiatement sans passer par l’étape intermédiaire de la neige. Pas énormes, n’est-ce pas? C’est néanmoins ce qui est arrivé dans la partie sud du Québec en 1998. Pendant dix jours, une tempête de verglas a fait rage, presque sans interruption. Avec le recul, je ne peux que penser que le Québec a été attaqué cette année-là. Les conditions pour le verglas fasse son apparition sont difficiles à réunir. Sans être statisticien ni météorologue, je me dis que cette tempête n’était définitivement pas naturelle, qu’elle a été causée artificiellement. Par qui? Je ne sais pas mais la liste des candidats est courte. Une opération de la sorte nécessite des moyens technologiques d’envergure que seules les grandes puissances militaires et technologiques possèdent. La technologie capable de manier les forces électro-magnétiques est vraisemblablement le levier qui a été utilisé pour faire tomber cette calamité sur le Québec.

En liens permanent à votre droite, vous pourrez retrouver toute une série de sites vous permettant de prendre connaissance de la technologie développée en Alaska et connue sous le nom de HAARP, dans la section HAARP and Tesla Technology. Cette technologie existe probablement aussi ailleurs sur le globe dans les mains de d’autres puissances, de façon officielle ou clandestine. C’est pourquoi il est difficile d’attribuer la faute à l’un ou l’autre. Il existe pourtant une convention internationale, appelée ENMOD, adoptée le 10 décembre 1976, signée le 18 mai 1977 et qui entra en vigueur le 5 octobre 1978. Cette convention stipule, à l’article 1, qu’un État partie de la convention « s’engage à ne pas utiliser à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles des techniques de modification de l’environnement ayant des effets étendus, durables ou graves, en tant que moyens de causer des destructions, des dommages ou des préjudices à tout autre Etat partie ». À l’article 2, les techniques de modification de l’environnement sont définies comme des étant des techniques « ayant pour objet de modifier — grâce à une manipulation délibérée de processus naturels — la dynamique, la composition ou la structure de le Terre ». Néanmoins, les exemples ont été nombreux ces derniers temps où ces technologies ont été vraisemblablement utilisées pour faire la guerre, en utilisant l’écran de fumée des catastrophes naturelles. On a qu’à penser au tremblement de terre en Haïti, au tsunami au Japon, aux feux de forêts en Europe, etc. La tempête de verglas de 1998 au Québec a été une opération de modification du climat parmi tant d’autres mais dont le niveau de destruction a été considérable, malheureusement pour nous.

Je vous ai préparé une série de vidéos faisant le tour de la crise de verglas. Les images sont de Radio-Canada. Vous pourrez constater l’ampleur des dégâts si vous n’êtes pas familiers avec le dossier, ou vous remémorer les faits si vous les avez oubliés. Continuer la lecture