Brave New World preschools in Sweden: Another expression of the Pirate Bay vortex?

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This article of The Globe and Mail by Jenny Soffel is extremely relevant. It presents the case of a preschool in Sweden, Egalia, funded by taxpayers and located near Stockholm, where incredible efforts are made to have children avoid making any connections to gender identity for the sake of equality of the sexes. For example and among other things, children’s books in Egalia deal exclusively with homosexual couples, single parents or adopted children, but not with heterosexual families. Talk about equality! Also, staff members try to avoid masculine and feminine references from their speech and have adopted the neutral pronoun «hen», used by gays and feminists to replace the « han » and « hon », the equivalents of him and her. Generally speaking, Sweden is a society where breaking down gender roles is a priority, if not an obsession. Certain preschools even have « gender pedagogues » (no kidding) to make sure that no one goes down the dangerous path of stereotypization, if I can coin that term. To give a concrete example, at Egalia, Lego blocks are intentionally placed next to the kitchen…to make sure the kids get the message to think and behave as neutrals.

I have been reflecting for a while on how much Aldous Huxley’s Brave New World was really not in fact a « novel of anticipation » as it has been advertised to be, but rather a blueprint for a world ruled by fascism that was to come. I think that with Egalia, we have a perfect expression here of that agenda. Sweden has been presented in the media as a kind of earthly paradise were social-democracy had triumphed over capitalism, where men and women and citizens of all origins are all equal, a peaceful society where everything slides smoothly with no squeaky wheels. Famous IKEA company has become the emblem of that «perfection». It is a smaller embodiment of that paradise where you can find everything you need for your house and even have lunch, while your kids are being taken care of…in an on-site day-care center! Talk about foreseeing the needs of the clientele! Continuer la lecture

Encore une autre fatigante, prise 3: cachez ce sein que je ne saurais voir

Franchement, je suis à court de mots pour décrire ces bonnes dames scandalisées, outrées et éplorées par l’état (dans leur esprit) lamentable de la sexualité humaine. Catherine Bourassa-Dansereau, étudiante au doctorat en communication, s’épanche en compagnie de Benoît Dutrizac sur la « pornographisation » des jeunes filles. Je vous avoue que je suis écoeuré de ce discours lancinant qui ne mène nulle part. Bien sûr, chacun a droit à son opinion. Là n’est pas la question. Il s’agit plutôt de cette sempiternelle jérémiade féminine sur l « exploitation du corps de la femme », la « femme objet » et le reste. Nous ne sommes plus dans les années soixante ou soixante-dix. Ce discours rétrograde digne de Talibanes qui a pollué mes oreilles pendant toute mon enfance et mon adolescence dans des émissions de télévision de toutes sortes telles Jeannette veut savoir, Droit de parole et autres, me fait réellement suer. Je n’ai plus aucune tolérance pour cela. Que les femmes s’occupent donc de leur cul au lieu d’essayer de s’occuper du cul des autres et les choses iront pour le mieux pour tout le monde. Si une jeune fille ou une femme veut s’habiller sexy, ça la regarde. Les féministes peuvent continuer à faire des thèses de doctorat sur la question pendant le prochain million d’années, elles ne pourront rien faire pour y changer quoi que ce soit. En bout de ligne, les gens prennent leurs décisions. Je vous offre l’entrevue ici, qui est révélateur de ce que sont maintenant les nouvelles féministes. Dans les années ’60-’70, les féministes étaient chiantes; aujourd’hui, elles sont gentilles, douces et bien articulées mais leur discours est le même. L’emballage est plus beau qu’auparavant mais le produit n’a pas changé.

Catherine Bourassa-Dansereau

Bank shareholders refuse to bite into the apples of social-feminism

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That’s the spirit of the Resistance, folks! Anytime there are signs of a totalitarian ideology showing its face, we must react and fast. Because when we allow these stupid quotas to be considered in the management of our institutions and companies, we open the door for mediocrity. Institutions, businesses, companies, governments must have the best people in charge, period. Whether they are white, black, blue, handicaped, female, male, young, old, native, immigrant, native, extraterrestrial or from this very Earth, is not relevant. A nation builds its strength and power by giving opportunities to those who can make a difference. To hire somebody based on something else than his or her competence is stupid and unacceptable. Congratulations, shareholders! You stood up against socialism and feminism!

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La guillotine-à-couilles québécoise récidive encore: c’est au tour du Doc Mailloux

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Au royaume de la social-féministocratie du Québec, un autre homme vaillant vient de subir les affres de la Gestapo de la pensée unique. La guillotine-à-couilles vient de tomber. Le Doc Mailloux a été radié pour une période de deux ans pour avoir prescrit, paraît-il, des surdoses d’antipsychotiques à certains patients, pratique qui ne serait plus recommandée que dans des cas exceptionnels. On lui reproche également certains propos tenus lors de son émission radiophonique diffusée sur les ondes de CKAC 730 AM il y quelques années. Un petit rappel pour ceux qui ne seraient pas au courant ou qui ne vivent pas au Québec, c’est que le mandat de CKAC 730 a changé suite à son achat par la corporation canadienne Corus Entertainment, en compagnie de d’autres stations de radio québécoises. À l’époque, cette station offrait une programmation d’intérêt général et non pas exclusivement consacrée aux sports comme cela est le cas aujourd’hui. Suite à l’achat, l’émission du Doc Mailloux a pris fin par la force des choses.

Or, cela ne prend pas un expert en communications ou en ingénierie sociale pour comprendre que le Collège des Médecins ne s’est servi que d’un prétexte pour faire du tort à ce médecin. Le Doc Mailloux est un mouton noir parmi la communauté médicale du Québec mais aussi parmi la population de la province. Voyez-vous, la Gestapo de la pensée unique n’aime pas les marginaux. Et la féministocratie québécoise n’aime particulièrement pas les hommes qui s’affirment et qui résistent aux tentatives de domination et d’écrasement de cette mafia soixante-huitard. Mélangez ces deux courants dominants au Québec et vous obtiendrez le verdict qui est tombé contre le Doc cette semaine. Car il faut bien s’avouer une chose, des psychiatres qui prescrivent n’importe quoi, qui ne montrent aucun intérêt envers leurs patients, qui sont irresponsables et qui font toute sorte de diagnostics incongrus, on en trouve treize à la douzaine au Québec. S’il y a un psychiatre qui a démontré de l’intérêt et du désir d’aider les gens atteints de problèmes psychatriques et psychologiques dans cette belle province, c’est bien le Doc Mailloux. C’est tout à fait ironique et symptomatique à la fois que le Collège des Médecins retire son permis de pratiquer à un des seuls médecins québécois qui peut encore revendiquer ce titre. Le nom du Doc Mailloux doit être ajouté à une foule d’autres dissidents, libre penseurs, libertaires et marginaux qui ont été émasculés sur le billot de la pensée unique, de la rectitude politique et de la bonne conduite approuvée par le Québec « moderne ». On a qu’à penser à Guy Fournier, André Moreau, Yvon Boucher, Richard Glenn, Guylaine Lanctôt et à plusieurs autres qui, après avoir réussi à obtenir une certaine audience et une certaine influence sur le peuple pour un temps, ont été eventuellement mis de côté, quelque fois discrètement mais la plupart du temps dans des odeurs de scandales. Au royaume de la social-féministocratie, la Gestapo veille au grain pour que tous pensent et agissent correctement. Ceux qui s’écartent du droit chemin verront la guillotine-à-couilles s’occuper d’eux.

Le Devoir

Encore une autre fatigante, prise 2: lorsque la ségrégation des hommes a bon ton

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Bon, ça y est…encore une autre fatigante. On est a pas assez de toutes ces hystériques qui réclament que les jupes soient plus longues, que les décolletés soient moins plongeants, que les bas soient moins sexy, etc, etc, etc, qu’il faut en plus se faire achaler par des pro-égalité? Et oui. Les grandes tenantes du féminisme, cette idéologie prônant « l’égalité » i.e. donner des avantages et des traitements de faveur aux femmes quand cela fait leur affaire, eh bien ces tenantes n’en démordent pas: il n’est pas question que les hommes dans l’enseignement puissent avoir leur chance, non! Écoutez ici Chantal Locat, responsable du comité de la condition des femmes à la CSQ. Soit dit en passant, comme l’a fait remarquer Dutrizac lors de son entrevue avec Locat, il n’y en a pas de comité de la condition des hommes à la CSQ, parce que les hommes au Québec, ce n’est pas important.

Toujours est-il que dans une lettre publiée dans La Presse du 29 mars 2011, Madame Locat s’en prend à Égide Royer, spécialiste en éducation. Pourtant, s’il y a quelqu’un de sensible, d’intelligent, de posé et de mature dans ses réflexions sur l’éducation, c’est bien Égide Royer. Mais…voyez-vous…Royer a un défaut: il essai d’aider les hommes. Et ça, c’est un péché au Québec. Cette Belle Province, qui est la deuxième plage la plus dorée du féminisme après la Norvège, est un paradis artificiel dans lequel les féministes s’enivrent jusqu’à l’inconscience depuis plus de quarante ans. Le féminisme est une idéologie totalitaire qu’il faut combattre comme toutes les autres idéologies. Et le Québec, malheureusement, a été noyauté et neutralisé par cette mafia féministe qui n’en a rien à foutre du bien-être des hommes et nous en avons un cas clair ici.

Je dois dire que, en tant que lecteur et écrivain, je trouve la lettre de Locat difficile à suivre et plutôt mal écrite. Il y a trop d’idées qui se bousculent et on suit mal sa pensée. Ensuite, elle nous livre des statistiques qu’elle sort d’on ne sait où et, évidemment, elle ne mentionne pas les statistiques qui pourraient contredire son propos. Son attaque contre Égide Royer est déplacée et manque de jugement mais tout à fait révélatrice du fond inconscient féministe: les hommes sont des salopards qu’il faut mater et ceux qui osent parler devront être ramenés à l’ordre. Malheureusement pour Royer, on dirait que madame Locat a décidé d’en faire un « exemple ».

C’est drôle. Les féministes ont prôné la discrimination positive pour aider les femmes à faire des « gains » sociaux. Mais le retour d’ascenseur ne se fait pas. Lorsque Royer propose d’appliquer le principe de discrimination positive pour aider des hommes à accéder à l’enseignement, alors là, ça ne marche plus. Quel autre signe avez-vous besoin pour comprendre que le féminisme est une idéologie? Cela ne peut pas être plus clair. Même la ministre Beauchamp lors de l’entrevue avec Dutrizac, que vous trouverez ici en deuxième place, a hésité à appuyer l’idée de la discrimination positive favorisant les hommes en enseignement en disant qu’elle préférerait « avoir les personnes les plus compétentes en avant ». C’est curieux, quand il était question de faire de la discrimination positive en faveur des femmes, est-ce que l’on s’en souciait d’avoir les personnes les plus compétentes? On dirait que non, soit dit en passant, si je regarde par exemple l’efficacité des forces policières depuis que les femmes y ont fait leur entrée en masse. Et il y a d’autres exemples.

Au fond, le féminisme est une idéologie suprémaciste. Les féministes combattent l’idée que les hommes sont supérieurs parce qu’elles croient que ce sont les femmes qui sont supérieures. Vous vous souvenez de la consigne traditionnelle d’évacuer les femmes et les enfants d’abord lors d’un naufrage? Et avez-vous déjà vu des manifestations, des « marches », pour protester contre cette « discrimination », ce « sexisme » en faveur des femmes et contre les hommes? Eh bien, vous n’en verrez pas. Les féministes prônent « l’égalité » quand les femmes n’ont pas le haut du pavé dans telle situation mais elles sont tout à fait capables de négocier avec des cas clairs de discrimination lorsque cela avantage ces dernières. Je vous offre la lettre de Locat, ainsi que les entrevues de Locat, Beauchamp ainsi que la tribune téléphonique qui a suivi. Je vous en supplie, ne mordez pas dans la pomme tentatrice du féminisme.

Lettre de Chantal Locat

Chantal Locat

Line Beauchamp

Tribune téléphonique

Sexual repression feminism style: welcome to Pink Fascism

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This never-ending quest for « equality » and stop of sexual « exploitation » of women has made another victim this week. The Vancouver Whitecaps Football Club, that will make its debut in the Major League Soccer on saturday 19th, have launched an advertisement video in which a beautiful and young female is seen wearing a body-paint. Look at the video for yourself. There is nothing there, except for a little nudity. And it is not even full nudity nor a real body-paint as we can see the model wearing a bra and panties. Nevertheless, it was to be expected that somebody in the feminist community would try to make a « case » out of it, jumping on the occasion to raise the holy sword of women’s rights and testosterone bashing. Anne Giardini, a local Vancouver forestry executive and novelist, complained to the Whitecaps Football Club and to Bell Canada Enterprises, one of its partners, as we can see the Bell logo on the model’s chest. Giardini, to make her case, points out among other things that her 16-year-old daughter who plays soccer doesn’t look like that at all.

I am asking you folks, when will that complaining ever end? While the human race regresses into barbarism and that the whole world is going to annihilation, crashing down under the heavy-weight pressures and attacks of the International Fascist, some women are losing their time and are making us lose ours on such trivial and stupid things. Don’t they have anything else to say and do than worrying about body-painted women in ads? Frankly, there are things much more important in our world than protecting their sensitive eyes from sexy girls…

I am talking to you, feminists. Why don’t you attack women wearing burqas or hijabs and the men who encourage them to do so, instead? That would certainly be more logical and efficient. If there is anything that is a symbol of women’s exploitation, it is the burqa, the hijab, not the body-paint. And I have another question for you. If your daughter is the victim of incest, what do you do to protect her from that harm? Feminism has gone very far in defending women’s rights but has completely forgotten to do the basics. Defending women’s rights starts in your own home. If you can’t or won’t protect your own daughters from sexual exploitation, what are you trying to achieve here by « denouncing » sexual exploitation, sexy fashion, nudity or pornography? Start with you own life, we’ll see then what happens.

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March 8th hysteria: a bolshevik tsunami

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Since last tueday, March 8th, we have been flooded with a deluge of articles singing the anthem of the glory of feminism. Far from being critical of the movement itself in relation with real gains it has brought to women, these articles were generally pretty complacent with the subject, beating the drum for even more feminization of society. One issue that finds itself on the front burner all the time is « equality » of representation of the sexes in jobs. Feminists absolutely want their 50% representation quota. It appears non-negociable. Norway, which practise policies around those lines, is often cited as an example. Quebec, my Province, is another stronghold of this tendency.

Well, the 50% representation quota has yet to prove its efficiency. Can you imagine an american football club, for example, where the team should be composed of 50% of Afro-Americans and 50%  of European-Americans? And what about Latinos? Shouldn’t they be included too, with a 33% of representation? A professional sport club is managed in a way to have in the roster the best players possible, wherever they come from. Their ethnic or geographic origin doesn’t matter. And that’s exactly the opposite that feminists try to do with the 50% representation quota. According to their logic, businesses shouldn’t be composed of the best people possible, whatever they are women or men,  but with « equal » representation of these.

Frankly, the whole thing is depressing. On one side, you have the fascists who try to degrade, exploit and submit everyone in a way that makes them slaves, robots or animals. There is no place for human evolution, for nuances, for critical thinking or sensibility. And on the other side, you have the communists/socialists who try instead to found Republics with « new » ideas that were never part of human tradition, while these « new » ideas are yet to prove themselves as worthy and efficient. It is obvious that communism/socialism can’t produce  anything of value. Just take the soviet car Lada as an example. Was it good? No. Examples are numerous where we can see that a system based on bolshevik, marxist, socialist or communist ideas cannot stimulate and engineer anything that will work and stand in the long run. When workers are assured to keep their jobs, they don’t work as well and as hard, and it shows in the final quality of the product.

During this time, feminists continue to brainwash themselves with these idealistic ideas based on fantasy and delusion. It looks like that they don’t understand the game of human life. While in all animal species it is the female that feeds and takes care of the offsprings, certain feminists advocate for the male in human societies to stay home and do precisely that while women go to work! Listen, I could go on for pages but I will simply let you read these three articles from local newspapers. You can find articles with similar views in your local area. Have a good reading and try not to be contaminated by this propaganda.

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