La solution au problème démographique du Québec: Les Vietnamiens…

Les pays occidentaux ont un déficit démographique important. On le sait, depuis les années soixante, le taux de reproduction s’est effondré dans nos pays suite à la révolution de mai ’68. Nous ne nous reproduisons plus assez, ce qui a fait en sorte que nous avons dû recourir à l’immigration pour compenser le manque de naissances. Néanmoins, et contrairement à ce qu’essaie de nous faire croire une certaine élite attachée au multiculturalisme, les sources d’immigration ne sont pas toutes à mettre sur le même pied. Les populations immigrantes ont des origines, des coutumes, des particularités qui leur sont propres et qui les rendent aptes ou inaptes, selon le cas, à vivre dans nos pays. Depuis quelques années, pour donner l’exemple de Montréal au Canada, j’ai pu personnellement constater un changement radical dans l’immigration arabo-musulmane. Durant les années quatre-vingt-dix, les immigrants provenant du Moyen-Orient semblaient s’acclimater et vivre assez bien ici, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Les immigrants d’origine arabo-musulmane vivant sur le territoire montréalais sont désormais agressifs, hautains, hostiles, méprisants, ingrats envers les Québécois qui les ont accueillis si généreusement. Et le phénomène n’est pas propre au Québec puisqu’on le voit se produire partout en Occident, coïncidant avec la montée de l’islam radical.

Les gouvernements québécois qui se sont succédé à venir jusqu’à aujourd’hui ont souvent préconisé l’immigration provenant du Maghreb puisqu’elle parle le français. Les francophones du Canada représentent à peine 2% de la population d’Amérique du Nord, créant ainsi un incitatif à recevoir ce type de populations. Or, accueillir des immigrants sur une base linguistique et non pas sur la base des valeurs ou de la civilisation, est suicidaire. Apprendre une langue, c’est comme apprendre à jouer au scrabble ou au volley-ball. Un peu de temps et d’énergie et hop! le tour est joué, pour ce qui est de la première génération. Ensuite, pour ce qui est de la seconde génération, elle apprend la langue automatiquement à travers le système scolaire. Par contre, les valeurs, cela ne s’apprend pas. Les valeurs nous sont inculquées lorsque l’on est enfant et on les garde pour la vie. On ne réussira jamais à intégrer des gens qui ont des valeurs différentes des nôtres. C’est pourquoi les notions de civilisation et de religion sont importantes lorsque vient le temps de sélectionner des immigrants.

Continuer la lecture

Difficulté de se faire servir en français à Montréal: Un exemple parmi tant d’autres

Montréal s’anglicise rapidement, tellement que l’on a l’impression parfois que notre société régresse vers le point où elle se trouvait dans les années cinquante. Les représentants du gouvernement du Québec chante souvent à la population que l’immigration représente un « bienfait » et un apport « inestimable » pour la province. Or, la situation n’est pas si rose et l’exemple qui suit le démontre bien. En général, les immigrants s’intègrent bien à Montréal, à l’exception des populations arabo-musulmanes en raison de leur religion et des accommodements incessants qu’ils demandent, et des ressortissants d’anciennes colonies britanniques qui semblent avoir intégré le mépris anglo-saxon pour la culture et le fait français en Amérique.

La première entrevue, avec un propriétaire de dépanneur d’origine indienne situé dans l’arrondissement de Verdun à Montréal, le dépanneur De L’Église, est significative. Cet individu est méprisant envers le peuple et la culture qui l’a accueilli sur son territoire. Nous, en tant que Canadiens et Québécois, n’avions aucune obligation de lui offrir une place ici. Et il nous remercie de notre générosité en nous traitant de « B.S. », de buveur de bières et de fumeur de cigarettes, en plus de refuser systématiquement de parler ou d’apprendre le français. La deuxième entrevue avec Gang Li, de l’Association des dépanneurs asiatiques, est un plus courtoise. Mais, malgré sa gentillesse, celui-ci non plus n’est en mesure de servir sa clientèle en français. C’est dommage car les asiatiques sont, parmi tous les immigrants, ceux qui s’intègrent le mieux de mon point de vue au niveau des valeurs et des comportements, et cette histoire va leur faire mauvaise presse. Nous qui en avions déjà plein les bras avec les musulmans et les intégristes religieux. Mais le refus d’apprendre et de parler français demeure déplorable et cette situation va perdurer tant que l’on continuera à être gouverné par des lâches et des incompétents. La deuxième entrevue permet d’entendre également Yves Servais de l’Association des Marchands, Dépanneurs et Épiciers du Québec. J’ai aussi joint un commentaire de Gilles Proulx sur la situation, une tribune téléphonique, ainsi qu’un article du site web FdeSouche qui a couvert la manifestation organisée par les Jeunes Patriotes du Québec en face du dépanneur De l’Église samedi dernier.

Le propriétaire du dépanneur De L’Église à Verdun

Gang Li de l’Association des dépanneurs asiatiques et Yves Servais de l’AMDEQ

Gilles Proulx commente sur la situation du français

Tribune téléphonique

Un dépanneur s’attire les foudres des jeunes patriotes

Randy Cunneyworth et les grands bonzes du commentaire sportif québécois

Samedi dernier, une manifestation s’est déroulée devant le Centre Bell de Montréal afin de protester contre l’embauche de Randy Cunneyworth, un entraîneur unilingue anglais, à la barre de l’équipe de hockey des Canadiens de Montréal. Ce genre de situation provoque toujours beaucoup de réactions émotives dans le contexte de la culture québécoise et cela se comprend. Néanmoins, je commence à être agacé par certaines choses dont on ne parle jamais dans le dossier de la langue et qui sont, en fait, beaucoup plus importantes. En effet, défendre une langue, ça commence par bien la parler. Or, l’intelligentsia, si on peut l’appeler ainsi, montréalaise et québécoise du commentaire sportif démontre un mépris total de la langue française. Ces grands bonzes du divertissement sont toujours les premiers à monter aux barricades pour s’indigner. Ils vont, par exemple, faire les gorges chaudes en raison du fait que le capitaine de l’équipe des Canadiens, Saku Koivu, ne parle pas français, qu’il n’y a pas beaucoup de joueurs francophones dans l’équipe, que la musique soit presque exclusivement en langue anglaise au Centre Bell, etc.

Or, dans leur grande « performance » professionnelle à la radio, notamment au 98,5 FM, maintenant que les animateurs de la défunte radio de sports CKAC, convertie en radio de circulation, y ont été rapatriés, ces « animateurs de sports » ne cessent d’employer des mots anglais à qui mieux mieux, alors que René Lecavalier avait fait des efforts remarquables pour franciser le vocabulaire du hockey dans les années soixante-dix. Voici ce que vous pouvez entendre sur les ondes de l’émission les Amateurs de Sports, lors de la retransmission des parties du Canadiens et en fin de soirée lors de la ligne ouverte avec Ron Fournier:

La puck, la game, le one-timer, le give away, le break away, le net, le power skating, le power forward, le power play, etc…et le coach.

Ceux-ci ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres. Et ce sont ces animateurs-là qui veulent donner des leçons sur l’utilisation de la langue française par l’entraîneur, le capitaine, le responsable de la musique au Centre Bell et autres? Franchement, si j’étais propriétaire de ces stations sportives, cela ferait longtemps que j’aurais mis les points sur les « i » avec ces pseudo-animateurs. Je leur aurais dit: « Vous allez parler un français correct et professionnel, sinon je vous mets à la porte immédiatement ». Mais comme on est mou au Québec, ces choses-là ne se disent pas, à moins que le message viennent des commanditaires. En attendant, la population endure de se faire rosser les oreilles par cette équipe de journalistes « émérites » du 98,5 FM, anciennement de CKAC. Par ailleurs, ce que l’on a eu l’habitude d’entendre à la télévision, notamment sur les ondes de la défunte station TQS lors de l’émission 110%, n’était guère mieux. Mais curieusement, il s’agissait souvent des mêmes animateurs que l’on retrouvait à CKAC… Et de façon générale, l’utilisation de l’anglais dans les médias supposément francophones est très fréquente et des stations de radio comme CKOI et CKMF laissent beaucoup à désirer sur l’utilisation de la langue.

De mon côté, cela fait au moins un an que je n’écoute plus ces idioties du sport professionnel, pour plusieurs raisons dont la question de la langue. Et le Canadiens n’a jamais été l’équipe des francophones de toute façon. Je suis d’accord avec Normand Lester lorsqu’il dit que le Canadiens représentent plutôt les Canadiens-Anglais. Tant que les Nordiques ne seront pas de retour, les francophones n’auront pas une équipe qui les représente et qui leur correspond. Il est donc inutile et stupide d’attendre quoi que ce soit des Canadiens. Qu’ils continuent à faire ce qu’ils font présentement. Dans le fond, on s’en fout. Voici une entrevue avec Mario Beaulieu, président du Mouvement Québec français, ainsi qu’un article couvrant la manifestation.

Mario Beaulieu

La manifestation