Le déploiement de l’axe christo-bouddhique ou le rayonnement bleu-orange

Le Lys d'OrDans un article précédent, je vous ai parlé des immigrants vietnamiens qui constituent un réel apport pour les sociétés occidentales et surtout pour le Québec où leur intégration se révèle particulièrement spectaculaire. Une chose ici est primordiale à comprendre. L’afflux des immigrants asiatiques en Occident doit s’effectuer en fonction d’un effort de guerre contre les forces arabo-musulmanes. Voyez-vous, le Bouddha a enseigné en Inde ce qui lui apparaissait comme étant la Voie, i.e. ce qui doit être fait par les sociétés humaines et les individus pour connaître le bonheur et la réalisation. Après avoir fait irruption en Inde donc, sa philosophie s’est répandue dans des pays comme la Chine et en Asie du Sud-Est. Il est inutile de revenir sur l’enseignement du Christ, on en connaît tous les détails en Occident. Or, l’enseignement du Christ et celui du Bouddha se rejoignent et se complètent. Si le premier s’articule davantage sur le plan moral et s’intéresse aux comportements, le second est plus philosophique et s’arrête sur les attitudes et les dispositions mentales affectant la capacité des humains à être heureux et à vivre en harmonie. Mais, de toute évidence, l’un ne va pas sans l’autre. On ne peut concevoir de projet de société et de développement civilisationnel sans tenir compte à la fois des comportements sociaux des individus mais aussi de la manière dont ils appréhendent le monde et leur relation aux autres. La qualité fondamentale de la prédication de ces deux éveillés réside dans le fait qu’ils renvoyaient toujours leurs contemporains à eux-mêmes au lieu de tenter de construire des systèmes tout faits de l’extérieur. Le Christ et le Bouddha étaient en quelque sorte des révolutionnaires sur les plans social, politique, religieux et spirituel. De la même façon que l’enseignement du Christ représentait une brisure avec le judaïsme centré sur la codification des comportements, l’enseignement du Bouddha faisait rupture avec les dogmes philosophiques de l’Hindouisme. Ces deux doctrines nouvelles remettaient l’homme au centre du regard et de la pensée humaine.

Or, malheureusement, la montée de l’islam radical, appelé aussi islamisme ou charia, nous ramène encore une fois à la case départ. Un nouveau système, basé sur des dogmes absolus et non pas sur l’homme, menace de détruire la culture humaine en sapant toutes ses potentialités à l’épanouissement, au développement et ultimement au bonheur. L’islamisme est semblable à un cancer en voie de détruire l’organisme de la civilisation dans son entier. C’est pourquoi il est impératif que l’Occident et l’Orient s’unissent contre cette maladie mortelle. Par l’entremise de ses deux guides spirituels, le Christ et le Bouddha, nos peuples respectifs doivent lutter pour faire disparaître cette plaie béante défigurant le visage de l’humanité. Ainsi, le déploiement de l’axe christo-bouddhique amènera nos armées à avancer depuis l’Occident et depuis l’Orient, ce qui permettra de prendre en souricière le restant des islamistes quelque part au Moyen-Orient, et ce après avoir nettoyé bien sûr nos différents pays des divers éléments islamiques qui les gangrènent. Chrétiens et bouddhistes doivent réaliser qu’il n’en tient qu’à eux de stopper l’invasion islamique. Le bleu de la liberté et du nationalisme doit s’unir à l’orange et au rouge rubis du froc bouddhiste, pour le salut de la civilisation.

N.B.: Pendant que je travaillais sur ce texte, un arc-en-ciel s’est formé au-dessus de Montréal après un violent orage dans la journée d’hier. Selon un témoin oculaire, lorsque le soleil s’est couché ce soir-là, il a laissé un ciel orangé dans sa basse partie et bleu dans sa partie haute. Il est difficile de ne pas y voir ici un signe de bon augure pour l’avenir.

La solution au problème démographique du Québec: Les Vietnamiens…

Les pays occidentaux ont un déficit démographique important. On le sait, depuis les années soixante, le taux de reproduction s’est effondré dans nos pays suite à la révolution de mai ’68. Nous ne nous reproduisons plus assez, ce qui a fait en sorte que nous avons dû recourir à l’immigration pour compenser le manque de naissances. Néanmoins, et contrairement à ce qu’essaie de nous faire croire une certaine élite attachée au multiculturalisme, les sources d’immigration ne sont pas toutes à mettre sur le même pied. Les populations immigrantes ont des origines, des coutumes, des particularités qui leur sont propres et qui les rendent aptes ou inaptes, selon le cas, à vivre dans nos pays. Depuis quelques années, pour donner l’exemple de Montréal au Canada, j’ai pu personnellement constater un changement radical dans l’immigration arabo-musulmane. Durant les années quatre-vingt-dix, les immigrants provenant du Moyen-Orient semblaient s’acclimater et vivre assez bien ici, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Les immigrants d’origine arabo-musulmane vivant sur le territoire montréalais sont désormais agressifs, hautains, hostiles, méprisants, ingrats envers les Québécois qui les ont accueillis si généreusement. Et le phénomène n’est pas propre au Québec puisqu’on le voit se produire partout en Occident, coïncidant avec la montée de l’islam radical.

Les gouvernements québécois qui se sont succédé à venir jusqu’à aujourd’hui ont souvent préconisé l’immigration provenant du Maghreb puisqu’elle parle le français. Les francophones du Canada représentent à peine 2% de la population d’Amérique du Nord, créant ainsi un incitatif à recevoir ce type de populations. Or, accueillir des immigrants sur une base linguistique et non pas sur la base des valeurs ou de la civilisation, est suicidaire. Apprendre une langue, c’est comme apprendre à jouer au scrabble ou au volley-ball. Un peu de temps et d’énergie et hop! le tour est joué, pour ce qui est de la première génération. Ensuite, pour ce qui est de la seconde génération, elle apprend la langue automatiquement à travers le système scolaire. Par contre, les valeurs, cela ne s’apprend pas. Les valeurs nous sont inculquées lorsque l’on est enfant et on les garde pour la vie. On ne réussira jamais à intégrer des gens qui ont des valeurs différentes des nôtres. C’est pourquoi les notions de civilisation et de religion sont importantes lorsque vient le temps de sélectionner des immigrants.

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Étienne Pinte et Mgr Jacques Turck dénoncent le vote Front National: Attention, les souffleurs de verre contre-attaquent…

Étienne Pinte, député UMP des Yvelines et Mgr Jacques Turck, Prélat d’Honneur et curé de Saint-Étienne – Saint-Bruno à Issy-les-Moulineaux, viennent de publier un livre intitulé Extrême-droite. Pourquoi les chrétiens ne peuvent pas se taire, dans lequel ils s’inquiètent de la montée des intentions de vote du Front National chez les pratiquants catholiques. Les auteurs y détaillent les propositions du Front pour ensuite s’efforcer de démontrer leur supposée « incompatibilité » avec les valeurs « chrétiennes et évangéliques ». Leur argumentaire s’articule autour de notions que l’on entend souvent de la part des détracteurs de ce parti politique, à savoir le « rejet de l’étranger », la « fermeture des frontières », le « rejet de la diversité, etc. Je vous propose deux débats qui ont eu lieu récemment. Le premier, présenté lors de l’émission « Ça vous regarde » sur la chaîne LCP, opposait Pinte et Turck à Louis Aliot, vice-président du Front National. Antoine D’Abbundo, rédacteur en chef du magazine Pèlerin, était aussi présent afin de donner un éclairage sur la question qui se voulait non partisan. Le deuxième, présenté sur les ondes de Radio Notre-Dame dans le cadre de l’émission « La voix est libre », opposait ces deux mêmes catholiques à Bruno Gollnisch, député français au Parlement européen et président du groupe Front National au Conseil régional Rhône-Alpes.

Avant de vous laisser le plaisir (mais je crois surtout le déplaisir) de visionner et d’écouter ces deux débats, laissez-moi vous faire part de mes observations. Tout d’abord, en tant qu’ancien Grand Séminariste qui a quitté la vénérable institution du Grand Séminaire en claquant la porte, et en tant que théologien, je dois dire que je suis profondément écœuré par tous ces prélats, monseigneurs, mouettes de sacristie, bedeaux fanatiques et autres catholiques convaincus qui n’ont de chrétien que le nom. Depuis ce jour béni où j’ai quitté le Grand Séminaire, je n’ai cessé de constater à quel point les chrétiens catholiques, et spécialement les hommes d’église, ne vivent pas dans la réalité. Ils soufflent du verre. À les entendre parler, on a toujours l’impression qu’ils parlent d’un monde qui n’existent pas. Ainsi, ils passent leurs journées à faire la leçon à tout le monde alors qu’ils ne touchent souvent en aucune façon aux peines qui affligent les citoyens ordinaires. Par exemple, on les entend faire la morale aux femmes qui se font avorter alors que comme hommes ils ne seront jamais aux prises avec une grossesse, prêcher au peuple d’adopter certains comportements de « générosité » et d « ouverture » envers les autres alors qu’eux-mêmes vivent dans des tours d’ivoire protégées et à l’écart de la société civile, suggérer aux gens de payer toujours de plus en plus de taxes et d’impôts pour accueillir toujours de plus en plus d’étrangers, alors qu’eux-mêmes ne travaillent pas de leurs mains pour gagner leur pain et qu’ils vivent plutôt aux crochets des autres, par le biais de la « charité », de la dîme et de la quête dominicale… Continuer la lecture

05/21/2011: Today is the End of the World. Look inside, the Kingdom of God is within

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Well, how do you feel on the Day of the End of the World? Personally, not that bad. It could be worse. Christ has risen from the dead and now there are a few things to take into consideration and reflect on. First of all, Jesus was born from biological parents like any other human being. His father like his grand-father was the heir to the throne of David. That’s why in the Gospel Jesus is presented as the God of the Jews. It means literally that he is the biological descendant of King David. Second, as a Jew, he couldn’t not have been married. That was the tradition then like it is today for religious Jews and that would have been unthinkable from him not to do like his ancestors. He got married and had at least a child, again like it was expected in the tradition. After his death or escape for a safer place, his wife fled to France with the child.

Look inside. The power of transformation is within. Don’t look for gurus, leaders, mahatmas. Look inside you and you will find the power to change your life for the better. You are God. That right to be God was taken from you by the Church. The Church wants only one God, the corpse of a man died 2000 years ago and supposedly resurrected. The message of the Gospel is not the resurrection of Christ. It is the power of transformation that exists within us. The Gospel contains a set of values that exist nowhere else in the world in whatever culture, religion, civilization or society. And it is that core of values that we must celebrate, not a glorified corpse. The only thing that comes close to that, is the person and preaching of the Buddha. He was a great man and his teachings inspired a lot of good things among the various Eastern nations.

Today, if there is anything that is resurrecting, it is the Gospel itself, not a person. The Gospel is rising from the dead to teach a world gone crazy how to live and behave in a way that is respectful to others and to creation. The core values of western civilization are resurrecting to show us the way. It’s only up to us to be responsible and act accordingly. You, the individual, is the key of that transformation. It is your turn to rise from the dead and be the image of God.