Analyse du masque sanitaire par Nomos-TV: C’est une muselière…

Le Dr Horacio Arruda disait la vérité sur le masque sanitaire voilà pas si longtemps…

Je ne connais pas le moment exact où cette vidéo a été tournée mais, de toute évidence, elle date probablement de plusieurs mois, quelque part entre le mois de janvier et le mois d’avril. Or, depuis ce temps, le Dr Arruda chante une toute autre chanson. Que s’est-il passé pour qu’il fasse un changement de cap à 180° sur cet enjeu? C’est difficile à dire. Nos relations avec la Chine, les interventions et les politiques de l’OMS, l’activisme de Bill Gates entre autres, nous amènent à nous demander si nos responsables politiques et de santé publique ne seraient pas par hasard sous pression. Menaces, chantage, blackmail, font-ils parti des choses à considérer quand vient le temps de mettre en place des politiques publiques? Reste à voir. Si on regarde au sud de la frontière, certains états américains qui s’étaient déconfinés ont rapidement fait volte-face ces derniers jours et leurs responsables politiques, qui semblaient prêts à faire face à la musique, se sont dégonflés aussi vite. Même le Président Trump, qui est un individu très fort, a été vu dans les derniers jours avec un masque. Si Trump lui-même n’a pas été assez solide pour résister aux Ayatollahs du masque sanitaire, ça vous donne une idée à quel point la pression doit être forte.

Tout cela est extrêmement triste pour le Québec et pour le monde libre. Je ne donne pas cher de notre peau. Si nos pays occidentaux ne peuvent même pas assurer des droits fondamentaux à leurs citoyens et se révèlent être complètement à la merci des banquiers et des technocrates des Nations Unies qui nous tiennent par les couilles, ça vous donne une idée à quel point notre situation est périlleuse. Nos élites sont dans une position où elles ne peuvent même pas nous défendre. C’est comme si les loups étaient dans le poulailler et que le fermier se contentait de dire aux poules de porter un masque, de se laver les pattes et de garder une distance de deux mètres. Dans ce contexte, il y en aura jamais de retour à la normale. Le monde est devenu un goulag à ciel ouvert et cela prendra un miracle pour qu’on en sorte (vivant).