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Court reportage sur des occidentaux qui deviennent moines bouddhistes
Le déploiement de l’axe christo-bouddhique, troisième partie: Jésus aurait été moine bouddhiste…
Ce documentaire de la BBC explore différents scénarios pouvant s’être déroulés si jamais Jésus n’est pas réellement mort sur la croix. C’est un fait connu que certains individus ne mouraient pas nécessairement tous lors des crucifixions romaines. Ce fut peut-être le cas du Nazaréen. Parmi les différentes traditions existantes, on recense celle prétendant que Jésus aurait fuit vers la France, avec ou sans Marie-Madeleine. Selon certaines versions, Marie-Madeleine serait arrivée en France enceinte de Jésus. L’excellent livre de Michael Baigent, Richard Leigh et Henry Lincoln, The Holy Blood and The Holy Grail, présente en détails les prétentions de cette tradition. Or, il existe une autre tradition, provenant celle-là du Cachemire, qui prétend que Jésus, prophète israélite, y aurait vécu de l’âge de 14 ans jusqu’à 29 ans pour y être éduqué selon les préceptes de la religion bouddhiste. La tradition mentionne même qu’il y serait retourné après sa prédication en Israël pour fuir les persécutions romaines. Il y aurait vécu le reste de sa vie pour y mourir vers 80 ans. C’est là qu’il serait enterré. Cette tradition est vraiment intéressante puisqu’elle permet d’expliquer la brisure théologique fondamentale existant entre le judaïsme d’une part et l’enseignement de Jésus, d’autre part. Certains théologiens catholiques et protestants ont essayé de démontrer que l’enseignement de Jésus se situait en continuation avec le judaïsme, ce qui est vrai en partie, mais la proximité avec le bouddhisme est plus évidente. Dans le fond, cette tradition ne fait que renforcer ma conviction qu’une alliance stratégique entre nos deux civilisations est plus que nécessaire, surtout dans les temps présents.
Aussi, fait très intéressant, une alliance similaire est peut-être en train de voir le jour entre Israël et l’Inde. Un article du Wall Street Journal parlait littéralement d’un axe Israel-Inde. Ce serait vraiment le couronnement d’une excellente stratégie pour combattre le monde arabo-musulman et le contenir au Moyen-Orient. Puisque le Bouddha est issu de l’hindouisme et que Jésus est issu du judaïsme, au moins au niveau de son origine ethnique en tous cas, il serait normal que l’Inde et Israël, à l’origine des traditions bouddhique et chrétienne, unissent leurs forces. Combattants de la liberté, unissons-nous! Pour lire l’article précédent de cette série, veuillez cliquer sur ce lien.
Le déploiement de l’axe christo-bouddhique, deuxième partie: Le Bouddha bleu…
Les montagnes de la province chinoise du Xinjiang renferment un trésor inestimable. Dans ce que l’on appelait auparavant le Turkestan se trouvent une série de grottes, trois cents soixante-trois au total, dont les sites de Kyzil et de Kumtura. Situées sur la Route de la soie, ces grottes de l’ancien royaume de Kucha abritent des murales témoignant des influences des différentes cultures de la région mais surtout de la diffusion du bouddhisme dans cette région de l’Asie, avant que des populations d’origine turque, les Ouïgours, ne s’y installent et propagent l’islam. Les représentations pariétales se rapportent à l’histoire du Bouddha, à ses vies antérieures, aux épisodes de sa vie avec tous les symboles, personnages et animaux associés. Or, ce qui en fait quelque chose d’absolument exceptionnel, c’est la couleur qui prédomine: le bleu. On retrouve aussi du vert et un peu de rouge mais le bleu ressort réellement comme la couleur maîtresse. Dans un article précédent sur le déploiement de l’axe christo-bouddhique, je vous ai parlé de la complémentarité de l’enseignement du Christ et du Bouddha. Le bleu est non seulement la couleur du ciel mais aussi celle par excellence de la liberté. On la retrouve sur le drapeau du Québec et sur celui d’Israël, entre autres. Il est arboré par un grand nombre d’institutions, de groupes, de compagnies et de cultures qui croient dans l’énergie qu’il renvoie.
C’est pourquoi il est difficile de ne pas voir dans ces murales la rencontre de nos deux cultures, occidentale et orientale, chrétienne et bouddhique. Le froc bouddhiste est de couleur orange généralement. Le bouddhisme tibétain utilise davantage le rouge rubis. Quoiqu’il en soit, on a affaire ici à un événement incroyable du point de vue symbolique. On doit s’y arrêter avec attention et c’est justement ce qu’a fait le photographe français d’origine iranienne Reza Deghati. Après de longues négociations avec les autorités chinoises, Deghati a enfin obtenu la permission de se rendre dans ces grottes du Xinjiang pour y photographier les murales. Le fruit de son travail est reproduit dans un merveilleux livre intitulé Le pinceau de Bouddha. L’ouvrage est commenté par les spécialistes du Musée Guimet, Jacques Giès, Laure Feugère et André Coutin. Je fournis également l’adresse du site web de l’artiste-photographe et je le remercie pour ce travail si extraordinaire. Vraiment, ces murales sont un joyaux de l’humanité et elles doivent être préservées. Elles sont le symbole de la compatibilité évidente des civilisations occidentale et orientale. À une époque où les fondamentalistes islamiques risquent de tout faire sauter, sachons nous inspirer de ce qu’il y a de mieux en l’homme.
La prière du dimanche: Cérémonie pour souligner le Nouvel An au Cambodge
Ce vidéo présente une cérémonie organisée pour souligner le Nouvel An au Cambodge en 2014. Le rituel semble d’inspiration bouddhiste ou hindouiste, ou un mélange des deux. Ne parlant pas la langue khmer, ce qui me frappe surtout ici, c’est le choix des couleurs et l’ensemble comme tel. Le déploiement de l’axe christo-bouddhique nécessite que nos deux civilisations puissent se comprendre et se rejoindre.
Documentaire sur le temple de Angkor Wat au Cambodge
Angkor Wat, capitale de l’Empire khmer
Le peuple khmer a fait preuve d’ingéniosité en développant un système de bassins et de réservoirs d’eau. Cela lui a permis de mettre beaucoup de terres en culture et d’être ainsi approvisionné en eau courante en abondance. La civilisation khmère, de par ses réussites techniques mais aussi architecturales et religieuses, est un exemple de la beauté et de la grandeur des cultures traditionnelles. L’Empire khmer à son apogée recouvrait une bonne partie de l’Asie du Sud-Est, dont les descendants peuplent maintenant les territoires du Vietnam, du Cambodge, de la Thaïlande, du Laos, de la Birmanie et de la Malaisie. La cohabitation pacifique du bouddhisme et de l’hindouisme sur son territoire en fait un modèle d’entraide et de solidarité entre citoyens possédant des conceptions politico-religieuses compatibles. Fait intéressant à noter, le contrôle de l’eau dont ils ont fait preuve fait penser à ce que les Québécois ont dû accomplir pour maîtriser l’énergie hydroélectrique, grâce aux immenses barrages et bassins que nous avons construits. De toute évidence, nous avons beaucoup plus de choses en commun avec ces populations que nous le croyons à prime abord. Si seulement nos leaders politiques en Occident pouvaient délaisser leur stupide infatuation pour le monde arabo-musulman, nous pourrions alors faire de nouvelles alliances qui iraient davantage dans le sens de nos valeurs. Non seulement ces peuples sont-ils nos alliés dans la guerre faisant rage entre le Roi des Eaux et le Roi des Sables mais ils sont aussi des éléments-clés du déploiement de l’axe christo-bouddhique. Le temps est venu d’en prendre toute la mesure.
Le Dalai Lama et le nazisme
© Alain Lacroix | Dreamstime.com
Dans un article précédent, j’ai essayé d’alerter l’opinion publique sur le personnage du Dalaï Lama. Présenté comme un sage par l’ensemble des médias, les universités et la société bien-pensante, c’est en fait un individu qui a un passé plus que questionnable. En effet, il s’est entouré au cours de sa « lamaïcité » de gens ayant été des membres du Parti Nazi ou des SS, comme par exemple le célèbre Heinrich Harrer qui fut son tuteur au Tibet. L’information que j’avais alors recensée était en anglais. Voici maintenant une page web en français reprenant la même information. Les renseignements sont tirés du site www.info-secte.org. En plus du texte écrit, les photos sont éloquentes. Une d’entre elles montrent le Dalaï Lama actuel en compagnie de Heinrich Harrar, alpiniste et SS, Bruno Beger l’ethnologue d’Auschwitz et Miguel Serrano, diplomate chilien et ésotériste hitlérien.
Dire que dans certains milieux on se pâme pour le Dalaï Lama, alors que dans la tradition orientale on retrouve le personnage du Bouddha lui-même… Vous savez, celui qui a fondé le bouddhisme. Oui, lui. Siddhartha Gautama, appelé le Bouddha, était bien davantage qu’un simple saint ou un sage. C’était un illuminé, quelqu’un qui a atteint la connaissance parfaite. C’est une figure christique comparable à celle de Jésus en Occident. Que l’on ne tarisse pas d’éloges envers le Dalaï Lama est complètement insensé, alors que l’on ne parle JAMAIS du Bouddha lui-même qui a fondé le bouddhisme cinq cents ans avant Jésus-Christ. Je vous le dis, le Dalaï Lama ne pourrait même pas nettoyer les écuries du Bouddha en termes d’élévation spirituelle. Enfin. J’imagine que c’est cohérent avec l’air du temps et la culture de notre époque. Prenez le temps de lire cette page…et réveillez-vous.