Le Président de l’Union Populaire Républicaine, François Asselineau, dénonce le double discours des élites politiques européennes et du Président Macron en ce qui concerne la Chine. Les élites politiques européennes critiquent vertement la Chine lors de leurs allocutions publiques mais s’empressent de resserrer leur collaboration avec le régime communiste aussitôt qu’ils en ont la chance. Par exemple, la politique européenne de libre circulation des capitaux facilite la prise de contrôle étrangère de certains secteurs de l’économie et des services publics, ce qui permet à la Chine de mettre la main sur plusieurs pans de la société française. Asselineau ne le dit pas ici, mais je crois avec deviné ce qui se passe. Le discours des élites politiques européennes est en fait tout simplement une opération de rhétorique pour rassurer les Américains, pour leur faire croire que l’Union Européenne prend ses distances avec la Chine, alors qu’en fait c’est tout le contraire qui se passe, dans le contexte où la Chine est perçue comme étant la prochaine première puissance mondiale. Lorsqu’on regarde aller le Président Macron, on a l’impression qu’il prend plaisir à s’allier à des gens qui sont très hostiles à la démocratie et aux droits de l’homme, alors qu’il se montre arrogant et belliqueux envers les défenseurs de la liberté et de la patrie. Pour donner un exemple, beaucoup de Gilets Jaunes qui ont manifesté à travers la France ont remarqué que les forces de l’ordre de la République Française visaient les yeux des manifestants avec leur arme. Comme dit le proverbe bien connu, «qui s’assemblent se ressemblent»…
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Conférence de François Asselineau: L’Europe c’est la paie…
Cette autre excellente conférence de François Asselineau, président de l’Union Populaire Républicaine, vaut le détour. Il y expose le gaspillage éhonté voire le vol pur et simple des Européens pratiqué par l’élite politique et financière dirigeant l’Europe. Asselineau passe en revue les différentes commissions, comités, structures administratives, bureaucraties qui pompent l’argent des contribuables sans rien produire en retour. Il y dénonce aussi les différentes manœuvres politiques qui ont eu lieu de façon à mettre les peuples en esclavage, à saper leur liberté. Entre autres, il évoque les manœuvres récentes qui avaient comme objectif de retirer aux peuples le droit de voter leurs impôts, ce qui est la pierre d’assise de la souveraineté d’un état. Il parle même d’un système de nature mafieuse. Les élites financière de l’Europe ont pris le contrôle des états et des peuples par le biais de ce que l’on appelle la « gouvernance économique ». Parmi les quelques exemples qu’il donne, il y a celui de la Confédération Européenne des Syndicats, un organisme de l’Union Européenne, qui finance de façon importante les syndicats français. En d’autres termes, les syndicats français sont contrôlés par les instances de l’Union Européenne, donc par le grand patronat. En ce qui concerne la dette publique des états, Asselineau note qu’une des seules façons pour les pays de sortir de l’endettement, du moins tel que présenté par l’oligarchie financière et économique, est de privatiser leurs services publics. On assiste alors à une vente de feu lors de laquelle on liquide les sociétés d’états et les fleurons de l’économie locale. Or, l’expérience française a démontré que loin de faire baisser les tarifs, la privatisation des services publics amenait au contraire une augmentation des prix. En effet, ce sont souvent des fonds d’investissement et de pension étrangers qui achètent les sociétés d’état, dans le but évident de faire du profit. Ainsi, les gestionnaires n’ont aucun intérêt à maintenir la tarification à un niveau permettant de servir la population locale. Les pays qui vendent leurs sociétés d’état se font donc avoir à double niveaux. À la toute fin de la conférence, le président l’UPR présente huit remèdes pour sortir de l’impasse actuelle, comme par exemple mettre fin à l’hémorragie de l’exode des emplois industriels, la sauvegarde et/ou la renationalisation des services publics, se réapproprier notre politique étrangère, contrôler les mouvements de capitaux, etc. Et, bien évidemment, afin de réellement retrouver sa souveraineté, la France n’aura d’autre choix que de faire valoir l’article 50 du Traité de l’Union Européenne, qui prévoit les modalités de sortie de l’Union.