Le documentaire « La bombe à retardement » sur l’histoire nucléaire d’Israel

Ce documentaire étonnant raconte l’histoire nucléaire d’Israel. Entre autres éléments à retenir, c’est la révolution en Algérie qui a poussé Israel à faire quelque chose pour augmenter son niveau de sécurité. Quoique la protection extérieure d’un autre état ait été considérée pendant quelque temps, le gouvernement israélien a rapidement choisi l’option de l’arme ultime. C’est finalement la France qui donnera, par son aide et ses ressources, la bombe à Israel, au grand dam du Général de Gaulle qui fera cesser l’aide nucléaire française. Contre vents et marées, Israel termine quand même la construction de son réacteur. Dès lors, l’attitude des Américains change complètement. Eux qui s’étaient montrés réticents voire même sévères, deviennent alors plutôt polis et courtois. L’U.R.S.S. entre dans le jeu elle aussi en concluant une alliance stratégique avec l’Égypte. Israel se verra en état d’alerte nucléaire à trois reprises: en 1967 lors de la Guerre des Six Jours, en 1973 lors de la Guerre de Yom Kippur et en 1991 lors de la Guerre du Golfe.

Le plus marrant là-dedans, c’est de réaliser combien les fascistes et anti-sémites en France aujourd’hui doivent être frustrés de cela. En effet, si l’Union Européenne avait existé à cette époque, JAMAIS une telle chose se serait produite. C’est parce que la France était un pays SOUVERAIN que cela fut possible. Dès lors que la France, ainsi que tous les autres pays d’Europe de l’Ouest, sont devenus les lèche-bottes de l’Allemagne dans cette farce monumentale que constitue l’UE, eh bien ces pays ont perdu la possibilité de prendre des décisions de pays souverains, comme l’a fait la France lors de cet épisode. Et aujourd’hui, les petits fascistes français, ceux-là même qui financent et organisent des campagnes de boycott et des Flotilles de la Liberté contre Israel, doivent bien s’en mordre les doigts! Car avec l’arme nucléaire, Israel peut se défendre contre tous ses ennemis, INCLUANT la France, si jamais celle-ci se révélait incapable de résister aux sirènes du Troisième Reich et de faire plaisir à ses amis islamistes.


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L’histoire de Jérusalem présentée par Jean-Marie Gélinas

© Emirsimsek | Dreamstime.com

Le Président du mouvement Amitiés Québec-Israel nous offre ici l’histoire de Jérusalem. Encore une fois, nous devons nous rééduquer afin de résister et de lutter contre l’antisémitisme ambiant et médiatique qui est en train de corrompre nos sociétés. Ce texte est un outil de plus pour ce faire. Bonne lecture.

Durant plus de 2500 ans, la nostalgie de Sion et de Jérusalem devait accompagner le peuple juif dans ses diverses diasporas, depuis l’exil babylonien ordonné par Nabuchodonosor en 598-537 avant J.-C. et la conquête de Jérusalem précédant sa destruction par les soldats romains de Titus en 70 de l’ère chrétienne, date qui allait marquer le début de la grande dispersion. Cette nostalgie, attestée plus d’un millier de fois dans la Bible comme dans le Talmud, marque les prières quotidiennes et festives pour culminer en une acmé d’espoir à la fin de la Haggadah de la Pâque par cette formule consacrée: “L’an prochain à Jérusalem.” Certaines des plus poignantes expressions de ce sentiment furent composées par l’auteur des Psaumes:

Sur les rives des fleuves de Babylone, là nous nous assîmes et nous pleurâmes au souvenir de Sion. Aux saules qui les bordent nous suspendîmes nos harpes. (137, 1-2)

Si je t’oublie jamais, Jérusalem, que ma droite m’oublie ! Que ma langue s’attache à mon palais, si je ne me souviens de toi, si je ne place Jérusalem au sommet de toutes mes joies. (137, 5-7).

Célèbre, ô Jérusalem, l’Eternel, glorifie ton Dieu, ô Sion! (147, 12).

En 1948 plus de 2 000 Juifs avaient été évacués de leurs pauvres demeures, plusieurs fois centenaires, construites dans le quartier juif au sein de la Vieille Ville, là où précisément habitaient, dans de somptueuses villas, l’aristocratie, l’élite juive et la caste sacerdotale à l’époque du deuxième Temple. La plus grande partie des vingt-sept synagogues et yeshivot (écoles talmudiques) du quartier avaient été détruites pendant les combats. Les autres lieux de culte servirent de latrines ou d’écuries… Cet exode ne fut pas une fin en lui-même car aujourd’hui dans ce quartier rénové de nouveaux habitants arpentent les ruelles, côtoyant les visiteurs israéliens et les nombreux touristes étrangers venus admirer ce chef-d’œuvre de reconstruction et d’aménagement des vestiges exhumés qui font revivre le passé juif de la capitale d’Israël à jamais. Comme l’avait prophétisé le prophète Jérémie, la ville sera reconstruite sur ses ruines : « Ainsi parle l’Éternel : Voici, je ramène les captifs des tentes de Jacob, j’ai compassion de ses demeures ; la ville sera rebâtie sur ses ruines […]. » (Jé. 30. 18). Le texte biblique hébreu précise que Jérusalem sera reconstruite sur son tell (ses ruines).

Dès la réunification de la ville, le gouvernement entreprit un vaste chantier de restauration du quartier juif en prenant soin tout d’abord d’effectuer des fouilles archéologiques afin d’exhumer les ruines du passé, enfouies sous plusieurs mètres de gravats. Ceci ne correspond-t-il pas au cri du psalmiste : « […]Mais toi Éternel tu régneras à perpétuité, et ta mémoire dure de génération en génération. Tu te lèveras, tu auras pitié de Sion ; car le temps d’avoir pitié d’elle, le temps fixé est à son terme ; car tes serviteurs en aiment les pierres, ils en chérissent la poussière […]. » (Ps. 102. 13-23). La municipalité de Jérusalem, en collaboration avec la Direction israélienne des Antiquités, la Société de la réhabilitation et du développement du quartier juif, et le Ministère israélien des Affaires religieuses, fit revivre ce quartier en préservant son passé. Continuer la lecture