JOIGNEZ LA RÉSISTANCE ET LE COMBAT CONTRE LA TYRANNIE MONDIALISTE AFIN DE DÉFENDRE LA CIVILISATION, LA TRADITION, LA LIBERTÉ ET LA MÉDECINE…AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD!
Durant cet entretien, Levenda revient brièvement sur les manœuvres de Max von Oppenheim, du renseignement allemand, afin de créer le mouvement djihadiste à l’époque de la Première Guerre Mondiale. Son but était d’utiliser les djihadistes pour contrecarrer les pouvoirs coloniaux de la France et de la Grande-Bretagne. L’auteur présente plusieurs éléments de compréhension mettant en scène le Moyen-Orient de l’entre-deux-guerres. Il attire notre attention sur le fait que plusieurs membres du Parti Nazi, certains de haut rang, ont trouvé des emplois dans des pays du Moyen-Orient et que certains se sont même convertis à l’islam et ont changé leur nom. Johann von Leers, Otto Skorzeny et plusieurs autres sont donnés en exemple. Vers 33:30 de l’entrevue, Levenda raconte une histoire personnelle fort révélatrice. Vers 1969-1970 lors d’un déplacement à New York dans le cadre de ses recherches sur le nazisme, il s’est rendu visiter les bureaux de l’Organisation pour la Libération de la Palestine. Or, rendu sur place, il a été accueilli par une réceptionniste allemande et il a pu constater que beaucoup des gens qui circulaient et entraient dans ces bureaux étaient Allemands… Il affirme aussi que le OLP à l’époque entretenait de bonnes relations avec des pays comme la Syrie et l’Égypte notamment. Pour écouter les trois premières entrevues, veuillez consulter les liens qui suivent.
Cette série d’entrevues avec Peter Levenda réalisée par Dave Emory est l’occasion pour lui de présenter son dernier livre, The Hitler Legacy. Cet ouvrage de recherche présente un monde complexe, dont l’histoire ne se résume pas aux versions simplistes que l’on nous présente souvent. Pour l’auteur, les problèmes que nous rencontrons aujourd’hui ne sont que la continuité de ceux qui se posaient durant et après la Première Guerre Mondiale. À l’époque, les pouvoirs coloniaux qu’étaient la Grande Bretagne et la France, ainsi que la Russie, étaient en conflit avec l’Allemagne pour le contrôle du monde. L’Allemagne a rapidement compris qu’elle pouvait utiliser les frustrations et revendications des populations ayant vécu la colonisation, et en particulier les populations arabo-musulmanes, afin de les fanatiser contre la Grande-Bretagne, la France, la Russie, ainsi que contre les États-Unis et les sionistes, partisans de la création de l’état d’Israël. Des personnages importants de la finance et de l’industrie américaine et allemande, tels Henry Ford, la famille Thyssen et plusieurs autres, conservateurs et anti-communistes, ont prêté main-forte à l’Allemagne dans un effort justement pour freiner l’essor du communisme dans le monde. L’archéologue Max von Oppenheim (probablement du renseignement allemand) aurait joué un rôle important à cet égard en convaincant le Sultan Mehmet V de l’Empire Ottoman, allié de l’Allemagne, de déclarer un djihad mondial contre ces pays, dont nous vivons toute l’ampleur aujourd’hui. T.E. Lawrence (probablement du renseignement britannique) aurait essayé d’utiliser les populations arabo-musulmanes de façon à contrer les efforts de Oppenheim et du Sultan. À la fin de la guerre, Français et Anglais se sont divisés le Moyen-Orient en fonction de leurs intérêts lors du Traité Sykes-Picot, violant ainsi les promesses faites aux populations arabo-musulmanes et juives aussi. La Deuxième Guerre Mondiale n’a rien réglé de façon concrète. Plusieurs criminels de guerre nazis se sont vus offrir l’occasion de s’enfuir en sûreté à l’étranger, par le biais de ce qu’on appelle communément les « ratlines ». Certains se sont convertis à l’islam. Beaucoup ont trouvé de nouveaux emplois dans des gouvernements ou des agences de renseignement de par le monde. Ainsi, la nébuleuse fasciste et/ou nazie a pu continuer d’exister, dans l’underground jusqu’à tout récemment, et c’est cette nébuleuse que l’on voit refaire surface aujourd’hui sous la forme des islamistes/djihadistes. Beaucoup d’éléments sont apportés durant ces entrevues de haute qualité qu’il serait trop long d’énumérer. Il est indéniable que le livre de Peter Levenda est de fort calibre. Dave Emory lui attribue la note de cinq étoiles, ce qui est sûrement pleinement mérité. En compagnie du merveilleux livre de John Loftus The Secret War Against the Jews, ces deux ouvrages de recherche constituent sans doute les sources de renseignement les plus fiables, véridiques et pertinents pour comprendre l’histoire du vingtième siècle et notre situation actuelle. Le silence médiatique entourant ces deux livres, j’imagine, en est la preuve irréfutable. Je vous invite donc à prendre le temps d’écouter les entrevues et de lire les textes associés. Beaucoup d’éléments doivent être compris à la fois. Deux autres entrevues sont planifiées pour bientôt avec l’auteur, qu’il me fera plaisir de vous proposer quand elles seront disponibles. Bonne écoute.
Dans un article précédent, j’ai essayé d’alerter l’opinion publique sur le personnage du Dalaï Lama. Présenté comme un sage par l’ensemble des médias, les universités et la société bien-pensante, c’est en fait un individu qui a un passé plus que questionnable. En effet, il s’est entouré au cours de sa « lamaïcité » de gens ayant été des membres du Parti Nazi ou des SS, comme par exemple le célèbre Heinrich Harrer qui fut son tuteur au Tibet. L’information que j’avais alors recensée était en anglais. Voici maintenant une page web en français reprenant la même information. Les renseignements sont tirés du site www.info-secte.org. En plus du texte écrit, les photos sont éloquentes. Une d’entre elles montrent le Dalaï Lama actuel en compagnie de Heinrich Harrar, alpiniste et SS, Bruno Beger l’ethnologue d’Auschwitz et Miguel Serrano, diplomate chilien et ésotériste hitlérien.
Dire que dans certains milieux on se pâme pour le Dalaï Lama, alors que dans la tradition orientale on retrouve le personnage du Bouddha lui-même… Vous savez, celui qui a fondé le bouddhisme. Oui, lui. Siddhartha Gautama, appelé le Bouddha, était bien davantage qu’un simple saint ou un sage. C’était un illuminé, quelqu’un qui a atteint la connaissance parfaite. C’est une figure christique comparable à celle de Jésus en Occident. Que l’on ne tarisse pas d’éloges envers le Dalaï Lama est complètement insensé, alors que l’on ne parle JAMAIS du Bouddha lui-même qui a fondé le bouddhisme cinq cents ans avant Jésus-Christ. Je vous le dis, le Dalaï Lama ne pourrait même pas nettoyer les écuries du Bouddha en termes d’élévation spirituelle. Enfin. J’imagine que c’est cohérent avec l’air du temps et la culture de notre époque. Prenez le temps de lire cette page…et réveillez-vous.