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Entrevue avec Simon Roche sur la situation en Afrique du Sud

Simon Roche est un Afrikaner, un citoyen d’Afrique du Sud de race blanche descendant des premiers colons néerlandais. Il nous livre ici sur Red Ice TV un témoignage effroyable sur la situation de la société sud-africaine suite à la fin de l’apartheid. Loin d’être devenue la société égalitaire, paisible et épanouie qui nous avait été promise par les Nelson Mandela et autres propagandistes de la révolution marxiste, l’Afrique du Sud est maintenant un pays très dangereux pour les citoyens de race blanche. De nombreux fermiers de race blanche sont régulièrement assassinés dans le silence complet de la «communauté internationale», vous savez cette «communauté» qui est toujours en train de se plaindre de ce qui se passe en Israël, en Amérique ou en Europe lorsque les «minorités» vivent des injustices. Simon Roche en vient à la conclusion que le peuple afrikaner est littéralement en train d’être préparé pour l’extermination. Vous savez, la fin de l’apartheid, c’est un peu comme la chute du Mur de Berlin: c’était un grand moment de joie mais qui préparait en fait des lendemains très sombres. De toute évidence, le fait de ne pas avoir de pays est toujours extrêmement périlleux pour un peuple. C’est vrai pour les Québécois, ce l’est aussi pour les Afrikaners, les Basques et tous les peuples qui ne possèdent pas de territoire indépendant. Les Pays-Bas ont une responsabilité historique dans ce qui est en train de se produire en Afrique du Sud et le silence de ses élites politiques est non seulement déprimant mais également scandaleux et totalement inacceptable. Je joins le commentaire de la blogueuse Blonde in the Belly of the Beast sur le sujet.

La vérité sur Nelson Mandela…

Je vous propose ici trois vidéos et trois articles. Le traitement médiatique auquel nous avons été livré suite à la mort de Nelson Mandela a été tellement outrancier et hystérique, que je me dois ici de remettre les pendules à l’heure. Loin d’être le « saint » que l’on voudrait nous faire croire, Mandela a été en fait un homme de gauche comme beaucoup d’autres, aucunement exceptionnel. Gagné à l’idéologie marxiste et communiste, il a fondé en association avec le Parti Communiste d’Afrique du Sud l’Umkonto We Sizwe, « le fer de lance de la nation », aile militaire de l’ANC, à partir de laquelle il a planifié et coordonné plus de 200 attaques terroristes ou actes de sabotage. Il n’a pas passé 27 ans en prison simplement parce qu’il différait d’opinion avec le gouvernement en place. Aussi, il est bon de rappeler la parabole de l’Évangile qui dit que l’on « juge un arbre à ses fruits ». En ce domaine, les nouvelles ne sont pas très bonnes. Selon les informations que j’ai colligées ici, les inégalités sont plus fortes maintenant que lors des années du régime blanc. Il y a plus de chômage, plus de tensions raciales, le racisme anti-blancs est devenu la norme, la criminalité est galopante, plus de meurtres, etc. L’économie s’est effondrée de manière dramatique, loin de la prospérité que la fin du régime blanc était supposée apporter. Le nombre de fermiers blancs qui ont été assassinés dans les dernières années est effarant, qualifiable de génocide. Le deuxième vidéo ici-bas témoigne de cette réalité, images à l’appui. Le troisième vidéo est un court extrait de ce que Mandela pensait d’Israël et du conflit en Palestine. On le voit embrasser Yasser Arafat, un autre terroriste, avec une passion qui donne froid dans le dos. Lorsqu’il marche avec lui, il lui tient la main comme s’il s’agissait de sa fiancée.

Dans l’ensemble, je retiens que l’unanimité envers quelqu’un cache souvent de grands mensonges. Lorsque des réactions dithyrambiques accompagnent les moindres faits et gestes d’un individu, on a souvent affaire à de la poudre aux yeux. Souvenez-vous des gens qui perdaient connaissance lors des concerts de Beatles, d’Elvis Presley, des discours d’Adolf Hitler, lors de l’inauguration de Barack Obama, etc. L’expérience de la civilisation n’a rien à voir avec une séance de spiritisme ou de possession vaudou. On ne joue pas à celui qui sera le plus étourdi. La civilisation s’apprécie comme on savoure un bon vin, admire un coucher de soleil, se repose sur le bord d’un lac. Les crises d’hystérie sont l’expression de l’enfumage et des sortilèges. Le monde moderne est parvenu à un niveau de mensonge tel que c’est à se demander si la situation est encore réversible. Les médias, de quatrième pouvoir, se sont transformés en cinquième colonne. De par le traitement qu’ils ont réservé à ce « saint », ils ont prouvé une fois de plus qu’ils font parti des troupes d’occupation mentales. Prenez le temps de fouiller les informations qui sont disponibles ici. Cela est toujours bon d’avoir une deuxième opinion…

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