Un petit rappel concernant qui est vraiment Maria Mourani

La députée Maria Mourani du Bloc Québécois a fait une sortie dans les derniers jours concernant les liens étroits qui existeraient supposément entre le Grand Prix de Formule 1 de Montréal et la prostitution. En dernier ressort, je me dis que chaque femme doit d’abord s’occuper de son derrière et laisser les autres femmes adultes s’occuper du leur. C’est une question de bon sens et de respect. Au-delà de ça, j’ai pensé que la meilleure façon de lui répondre serait de rappeler aux internautes qui est vraiment Maria Mourani. Marc Lebuis du site Pointdebascule.ca a fait un excellent travail à ce sujet. Je vous laisse donc lire cet excellent article pour que vous ayez une meilleure idée de quel genre de personne elle est pour se permettre de donner des grandes leçons de morale à la société québécoise. Les femmes sont belles au Grand Prix de Montréal? Et alors? On est pas dans un pays musulman à ce que je sache…

Leadership du Bloc : la candidate Maria Mourani entre l’incompétence et la complaisance à l’égard des islamistes

Des subventions fédérales accordées au magazine Summum? Le féminisme, un mouvement réactionnaire et raciste

Cet extrait audio avec Christiane Gagnon de la Maison de Marthe est très révélateur. Dans cette entrevue accordée à Benoît Dutrizac, et comme il fallait s’y attendre de la part de quelqu’un travaillant dans une centre pour femmes (leur approche est généralement très féministe et marxiste-léniniste) Christiane Gagnon y va de tous les clichés et rationalisations de caniveaux pour essayer de nous faire croire que le gouvernement fédéral canadien ne devrait pas accorder de subventions au magazine Summum, sous prétexte qu’on y montre des femmes en petite tenue. Or, et Dutrizac le fait remarquer à juste titre dans ses questions, d’autres publications plus ou moins sérieuses reçoivent également des subventions, parfois même plus élevées que dans le cas de Summum.

Mais, voyez-vous, ça, Christiane Gagnon s’en fout, tout comme un grand nombre de ses acolytes d’ailleurs. Non. Car ce qui intéresse vraiment les féministes, ce n’est pas de défendre les droits des femmes. Ce qu’elles veulent en fait, c’est anéantir celui qu’elles considèrent comme étant leur seul véritable ennemi: l’homme blanc capable d’avoir du désir sexuel pour la femme. Le reste, elles s’en balancent. Les hommes de couleur du monde entier peuvent bien battre leur femmes, leur couper le clitoris, les abuser de toutes les manières, nos bonnes féministes occidentales dorment sur leur deux oreilles. Question: À quand remonte la dernière fois où vous avez entendu une féministe dénoncer des pratiques islamiques dégradantes envers les femmes, par exemple? Probablement il y a fort longtemps, parce ce qu’elles s’en foutent complètement. Pourquoi? Parce que premièrement, ces pratiques visent à rendre la femme non sexuellement désirable pour l’homme, ce qui fait leur affaire, et que deuxièmement, elles sont le fruit d’hommes de couleur. Car il faut bien comprendre une chose ici. Le mandat que se sont donné les féministes n’est pas de défendre les droits des femmes et de dénoncer les comportements qui leur sont nuisibles. Non. Le mandat qu’elles se sont donné, c’est d’éradiquer le désir sexuel des hommes blancs envers la femme, avec toutes les expressions qu’il entraîne, comme la prostitution, les bars de danseuses nues et la pornographie. La mythologie féministe repose de toute évidence sur la conscience de traumatismes sexuels infligés par des hommes habités de désir sexuels. Le féminisme cherche donc à créer un monde utopique où les femmes seraient totalement à l’abri du désir sexuel des hommes, ce qui n’est évidemment pas possible ni souhaitable. Continuer la lecture

Bacha Bazee: Lorsque certaines traditions de l’Afghanistan donnent le goût de vomir

Ce reportage sur cette « tradition » pachtoune donne la nausée. Filmé dans des conditions dangereuses, comme le souligne le présentateur, il nous montre un visage de l’Afghanistan que nos bons médias occidentaux, gauchistes pour la plupart, ne connaissent ni ne veulent connaître. La tradition du « Bacha Bazee », c’est ni plus ni moins que l’organisation de la prostitution de jeunes garçons destinée à des hommes d’âge mûr. On les habille, prépare, coiffe comme s’ils étaient des femmes, afin qu’ils aient une apparence féminine, pour des soirées durant lesquelles ils danseront pour séduire les hommes. Il n’est pas rare qu’ils soient abusés sexuellement par la suite, de façon répétée, et dans certains cas même ils se font carrément assassiner par leurs maîtres et/ou amants pour une raison ou une autre.

Or, ce phénomène se produit dans une société où les femmes sont exclues du regard des hommes, cachées derrière des burqas, bien sagement à la maison, en raison de l’islam rétrograde qui se trouve en Afghanistan, comme dans d’autres pays d’ailleurs. Et je vous l’avoue d’emblée, c’est ça qui me fait le plus suer là-dedans. J’ai remarqué trop souvent dans ma vie que le mépris des femmes et de la sexualité féminine mène presque toujours à ce genre de pratiques et de comportements. Là où les femmes ne sont pas désirées, ne sont pas considérées comme des objets de désir, les femmes dépérissent comme des fleurs sans eau ni lumière, et la sexualité masculine, elle, inévitablement, se pervertit pour prendre des formes déviantes. En effet, lorsque l’on est plus capable de bander sur une femme parce que l’on a le crâne rempli d’idioties religieuses ou réactionnaires, eh bien il est possible effectivement que l’on se mette à préférer les jeunes garçons. En visionnant ce document, on ne peut faire autrement que de mépriser la culture afghane qui a permis une telle pratique. Et l’on se dit, dans le fond, que les Américains et les Canadiens ont bien fait de s’y rendre avec leurs soldats. Si l’on était contre la mission en Afghanistan avant de voir ce reportage, on change d’avis rapidement. Cette tradition démontre avec une clarté étonnante l’incompatibilité de notre civilisation avec celle du monde arabo-musulman. Alors que la nôtre contient et encourage les idées de progrès, du respect des droits humains, des valeurs des Lumières, de la réflexion, de l’exercice du sens critique, la civilisation arabo-musulmane finit toujours, on dirait, par mener aux pires abus et à la barbarie. Franchement, je préfère de beaucoup nos danseuses nues en Occident à ces « Bacha Bazee ». Nous, quand on bande, on bande sur une vraie femme qui est libre de ses allées et venues et de mener sa vie comme bon lui semble. Continuer la lecture

Christie Blatchford is back at her Post: Her first task, nailing down anti-prostitution bigots

© Fabrizio Zanier | Dreamstime.com

It is good news for the National Post to have been able to recruit back somebody « behind enemy lines » (for those who don’t know, The Globe and Mail…) Personally, I think she made the right decision, you already know my call on that. She began last tuesday her new but somewhat previous and authentic job on a difficult task: trying to convince the Canadian public that prostitution is not a crime against humanity. Knowing that readers of the National Post may be a little more conservative or conventional possibly than the average one, it was not a small thing. Her article titled « Frank talk from the front lines » about prostitution, of tuesday June 14th, was more in fact a talk from the front lines of journalism itself.

How often do you hear, on the topic of prostitution, the usual following bullshit: prostitutes are all hooked on drugs, they are all beaten by their pimps, they were sexually abused when they were young, they are forced to do it, they don’t have any diploma, they all have STDs, etc? You must hear that on a regular basis. In fact, this is the official rhetoric on prostitution of our phony liberal-trudeauist-relativist ideology that came to prevail in the last decades. With this illusion put forward by the same people who brought confusion in the country using multiculturalism (and that alienated Quebec at the same time) of course, victimization and whining are key elements. It is not conceivable, for these people, that prostitutes could have a normal life, not use drugs, be able to pay their bills, even raise children, etc. They absolutely want to victimize prostitutes, and that says a lot about their psyche… Some of the reader commentaries on her article, published on thursday June 16th, were good illustrations of the incapacity for a large chunk of the public to really understand what prostitution is…because they have never been there. They don’t know what they are talking about.

What is going on between a client and a prostitute is, to begin with, a human relationship. That, the activists of « human rights » and glass knights of « human dignity » and all the other parasites that pollute our democratic life don’t care about. Knowing that they can draw attention by victimizing various groups and whining in their name on whatever issue, they continue to instill this cheap propaganda ad nauseam. I have a proposition for them: why don’t you take the boots, the whip and the lubricant and do it for a while. Then you could talk. I am tired of these bigots who have an opinion on everything but clearly don’t have a clue. There is a saying in the french language: « Ils ont des idées sur tout mais surtout des idées » . Literally translated, it gives « they have opinions on everything but mostly opinions » . That’s what we are dealing with here, anti-prostitution bigots who have an opinion. Blatchford didn’t condemn without knowing. She met with a prostitute in flesh and blood, like a true journalist does, she talked with her, put aside the widely spread propaganda and made her own opinion. That’s honest reporting. I just thought it was important to point that out for you, my followers, and I take the opportunity to welcome her back where she belongs…on this side of the front lines.

Christie Blatchford on Prostitution

Encore une autre fatigante…

© Skumar2008 | Dreamstime.com

Bon, encore une autre! C’est immanquable, à chaque année il y en une qui sort de nulle part pour nous faire la morale, à nous les hommes, pour nous dire que la prostitution, ou la pornographie, ou la mode sexy ou que sais-je encore, n’est pas « correct », que c’est sale, que c’est de l’exploitation, de l’esclavage, etc. Mais sont-elles donc fatigantes à la fin? Mesdames, au lieu de faire la morale aux autres et de prétendre savoir être capables de définir les paramètres de la « vraie » sexualité, de la sexualité « normale », cela ne vous tenterait-il pas plutôt de vous occuper de votre cul, comme il le faut, de vous occuper d’atteindre l’orgasme, de jouir, de protéger vos enfants de l’abus sexuel, de favoriser l’épanouissement sexuel de vos proches, etc? Coup donc, c’est quoi le problème avec vous? Je suis écoeuré de vous entendre vous lamenter à n’en plus finir sur l’industrie du sexe. Occupez-vous donc de votre cul et laissez les autres s’occuper du leur! Est-ce que c’est clair?

Benoit Dutrizac a interviewé dernièrement Ève Lamont, réalisatrice du documentaire « L’Imposture » sur la prostitution. C’est encore une fois les mêmes patterns de victimisation, de démonisation de l’industrie du sexe, de dénigrement des travailleuses du sexe et le reste, que l’on y entend. Je n’ai pas vu le documentaire mais à l’écoute de l’entrevue, je n’en ai vraiment pas le goût. Madame Lamont donne l’exemple du témoignage d’un prostituée qui prétend s’être sentie violée à répétition durant le temps qu’elle a pratiqué le métier. Mais…excusez-moi j’ai une question: Pourquoi cette gentille dame qui se prostituait n’a-t-elle pas tout simplement arrêté si elle ne se sentait pas bien là-dedans? Quand on a une tête sur les épaules, on prend les meilleures décisions pour soi. Quelqu’un qui a un mode de vie dans lequel il ne s’épanouit pas et qui continue de le pratiquer tout de même n’est pas autre chose qu’un imbécile. Nul n’est tenu au malheur. Évidemment, je gagerais que ce témoignage est un des moments forts du documentaire pour nous faire avaler la couleuvre de la sempiternelle victimisation de la femme incapable de se prendre en main. Je suis désolé, je n’achète pas. J’essaie dans ce blogue de créer un espace dans lequel on peut être libre, fort, énergisé, en contrôle de sa destinée. Je n’ai pas besoin des victimes, ce n’est pas à elles à qui je m’adresse. Alors s.v.p. mesdames, laissez-nous tranquilles avec vos jérémiades, compris?

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