Un petit rappel concernant qui est vraiment Maria Mourani

La députée Maria Mourani du Bloc Québécois a fait une sortie dans les derniers jours concernant les liens étroits qui existeraient supposément entre le Grand Prix de Formule 1 de Montréal et la prostitution. En dernier ressort, je me dis que chaque femme doit d’abord s’occuper de son derrière et laisser les autres femmes adultes s’occuper du leur. C’est une question de bon sens et de respect. Au-delà de ça, j’ai pensé que la meilleure façon de lui répondre serait de rappeler aux internautes qui est vraiment Maria Mourani. Marc Lebuis du site Pointdebascule.ca a fait un excellent travail à ce sujet. Je vous laisse donc lire cet excellent article pour que vous ayez une meilleure idée de quel genre de personne elle est pour se permettre de donner des grandes leçons de morale à la société québécoise. Les femmes sont belles au Grand Prix de Montréal? Et alors? On est pas dans un pays musulman à ce que je sache…

Leadership du Bloc : la candidate Maria Mourani entre l’incompétence et la complaisance à l’égard des islamistes

Bacha Bazee: Lorsque certaines traditions de l’Afghanistan donnent le goût de vomir

Ce reportage sur cette « tradition » pachtoune donne la nausée. Filmé dans des conditions dangereuses, comme le souligne le présentateur, il nous montre un visage de l’Afghanistan que nos bons médias occidentaux, gauchistes pour la plupart, ne connaissent ni ne veulent connaître. La tradition du « Bacha Bazee », c’est ni plus ni moins que l’organisation de la prostitution de jeunes garçons destinée à des hommes d’âge mûr. On les habille, prépare, coiffe comme s’ils étaient des femmes, afin qu’ils aient une apparence féminine, pour des soirées durant lesquelles ils danseront pour séduire les hommes. Il n’est pas rare qu’ils soient abusés sexuellement par la suite, de façon répétée, et dans certains cas même ils se font carrément assassiner par leurs maîtres et/ou amants pour une raison ou une autre.

Or, ce phénomène se produit dans une société où les femmes sont exclues du regard des hommes, cachées derrière des burqas, bien sagement à la maison, en raison de l’islam rétrograde qui se trouve en Afghanistan, comme dans d’autres pays d’ailleurs. Et je vous l’avoue d’emblée, c’est ça qui me fait le plus suer là-dedans. J’ai remarqué trop souvent dans ma vie que le mépris des femmes et de la sexualité féminine mène presque toujours à ce genre de pratiques et de comportements. Là où les femmes ne sont pas désirées, ne sont pas considérées comme des objets de désir, les femmes dépérissent comme des fleurs sans eau ni lumière, et la sexualité masculine, elle, inévitablement, se pervertit pour prendre des formes déviantes. En effet, lorsque l’on est plus capable de bander sur une femme parce que l’on a le crâne rempli d’idioties religieuses ou réactionnaires, eh bien il est possible effectivement que l’on se mette à préférer les jeunes garçons. En visionnant ce document, on ne peut faire autrement que de mépriser la culture afghane qui a permis une telle pratique. Et l’on se dit, dans le fond, que les Américains et les Canadiens ont bien fait de s’y rendre avec leurs soldats. Si l’on était contre la mission en Afghanistan avant de voir ce reportage, on change d’avis rapidement. Cette tradition démontre avec une clarté étonnante l’incompatibilité de notre civilisation avec celle du monde arabo-musulman. Alors que la nôtre contient et encourage les idées de progrès, du respect des droits humains, des valeurs des Lumières, de la réflexion, de l’exercice du sens critique, la civilisation arabo-musulmane finit toujours, on dirait, par mener aux pires abus et à la barbarie. Franchement, je préfère de beaucoup nos danseuses nues en Occident à ces « Bacha Bazee ». Nous, quand on bande, on bande sur une vraie femme qui est libre de ses allées et venues et de mener sa vie comme bon lui semble. Continuer la lecture

1928: The year fascist bigots prepared the sinking of the Enlightenment

This show by Dave Emory is dedicated to exposing the Opus Dei secret society, a reactionary Catholic organization founded by Father Josemaria Escriva de Bal­a­guer. After having quietly gained momentum behind the scenes for a couple of decades, Opus Dei came to the forefront of the Church’s public life by playing an important role in the ascension of both Jean-Paul II and Benedict XVI. In this broadcast, Dave Emory explores several connections that seem to indicate that Opus Dei is in fact part of the Fascist International, i.e. the network of all fascist and extreme-right organizations in the world. Among many elements, the radio host explores the P2 lodge, the murder of Roberto Calvi, P2 lodge Grand Master Licio Gelli, Pope Benedict’s personal assistant Georg Ganswein, the Arnold Schwarzenegger and Maria Shriver couple, the beatification of Aloy­sius Stepinac, the role played by Sam Brownback in U.S. politics, etc. The written description for this show is excellent, like it is often the case with For The Record. Check it out and listen to the show, of course.

On the other hand, I must say that the thing that striked me the most in this broadcast, about Opus Dei, is the fact that it was founded the same year that the Muslim Brotherhood was, in 1928. It can’t be a coincidence. There is no such thing in this world as « coincidences ». Most of the times, things are made to happen. And because they are not overtly advertised in the press or in governmental brochures, it doesn’t mean that they are not happening. To me, it looks as if there was a plan put into execution by the forces of the Fascist International to literally seize control of all institutions to have a maximum global effect. If Hitler and Mussolini took control of the world of politics in their own countries and tried to expand it then beyond their borders, it seems that others tried the same coup for the two most important religions, in terms of world power, geo-political and geo-strategical interests, Catholicism and Islam. By founding the Muslim Brotherhood, Hasan al-Banna may very well have sabotaged and sinked all chances that the Arab/Muslim world had to achieve modernity and to realize the ideals of the Enlightenment. And by founding Opus Dei, it seems that Father Josemaria Escriva de Bal­a­guer tried to do the move in the opposite direction. The western world was on its way to realize fully the potential of modernity and the ideals of the Enlightenment, and that was accomplished in the ’60s and ’70s, or so it seems. Father Balaguer cooked up something in the shadows to try to overturn the stream of evolution, and it looks like his movement gained credibility and influence over time, to the point where one could argue today that it now controls the Vatican. Continuer la lecture

Le procès de Tanya Pontbriand: Lorsqu’une tribu de Pygmées se sent investi de grandeur morale

Il y a des jours où j’ai honte parfois d’appartenir à la race humaine. En voici un. Notre société est en train de crucifier sur la place publique une femme adulte qui a tout simplement eu du plaisir sexuel avec un des ses étudiants. On ne parle pas ici d’une femme qui aurait fermé les yeux sur l’abus sexuel de ses propres enfants, d’une femme qui aurait tué son mari ou ses enfants, d’une femme qui aurait fraudé le fisc pour des millions de dollars ou encore envoyé des milliers de gens aux fours crématoires. On parle ici d’une femme qui a tout simplement couché avec un des ses étudiants, comme s’il s’agissait d’un crime grave. Je dois vous dire que durant mon adolescence, dans mon petit patelin du Saguenay-Lac-St-Jean, si jamais l’un d’entre-nous aurait eu l’occasion de « sauter » la prof d’éducation physique, non seulement il en aurait profité sans hésiter mais en fait il en rêvait. Pour ceux qui l’ignore peut-être, et pour les femmes qui liront ces lignes, vous devez savoir qu’à l’âge de douze ans les érections sont tellement fortes que l’on se demande si nos pantalons vont résister. Les garçons, lorsqu’ils sont adolescents, courent après de jeunes filles qui se font tirer l’oreille pour avoir des relations sexuelles et qui, lorsque finalement elles finissent par y consentir, le font souvent pour « faire plaisir » aux garçons. Alors l’éventualité d’avoir une partenaire sexuelle qui va au-devant du désir masculin est quelque chose d’inespéré pour tous les ados.

C’est pourquoi je ne comprends pas où le « plaignant » veut en venir exactement avec sa plainte. Selon les informations dont on dispose, ils auraient eu pas moins de deux cents relations sexuelles consenties à une époque où il avait quinze ans et il en a quelque chose comme vingt-cinq aujourd’hui. Pour quelqu’un qui a subi un préjudice, cela lui a pris du temps pour se rendre compte qu’il était traumatisé… S’il n’a pas cherché à mettre un terme à ces relations sexuelles après quelques occasions, je suis obligé de conclure qu’il y prenait plaisir et que cela faisait son affaire. Cette histoire ne tient pas debout. Pour ce qui est de la professeure, Tanya Pontbriand, je dois rappeler à tous qu’il s’agit d’une femme adulte qui a le droit d’avoir des relations sexuelles avec qui elle veut, en autant qu’il s’agisse d’individus qui ont atteint la puberté. C’est déjà assez pénible comme cela d’avoir à endurer que la sexualité des hommes adultes soit passée au peigne fin, que chacun de nos gestes soient analysés au microscope pour voir si, par hasard, il n’y aurait pas une quelconque forme d’abus, de harcèlement, d’attouchement, etc, s’il faut en plus que notre société se mette à écoeurer les femmes qui assument leur liberté sexuelle, on en finira jamais avec la bigoterie, le puritanisme et la répression sexuelle. Continuer la lecture

Encore une autre fatigante…

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Bon, encore une autre! C’est immanquable, à chaque année il y en une qui sort de nulle part pour nous faire la morale, à nous les hommes, pour nous dire que la prostitution, ou la pornographie, ou la mode sexy ou que sais-je encore, n’est pas « correct », que c’est sale, que c’est de l’exploitation, de l’esclavage, etc. Mais sont-elles donc fatigantes à la fin? Mesdames, au lieu de faire la morale aux autres et de prétendre savoir être capables de définir les paramètres de la « vraie » sexualité, de la sexualité « normale », cela ne vous tenterait-il pas plutôt de vous occuper de votre cul, comme il le faut, de vous occuper d’atteindre l’orgasme, de jouir, de protéger vos enfants de l’abus sexuel, de favoriser l’épanouissement sexuel de vos proches, etc? Coup donc, c’est quoi le problème avec vous? Je suis écoeuré de vous entendre vous lamenter à n’en plus finir sur l’industrie du sexe. Occupez-vous donc de votre cul et laissez les autres s’occuper du leur! Est-ce que c’est clair?

Benoit Dutrizac a interviewé dernièrement Ève Lamont, réalisatrice du documentaire « L’Imposture » sur la prostitution. C’est encore une fois les mêmes patterns de victimisation, de démonisation de l’industrie du sexe, de dénigrement des travailleuses du sexe et le reste, que l’on y entend. Je n’ai pas vu le documentaire mais à l’écoute de l’entrevue, je n’en ai vraiment pas le goût. Madame Lamont donne l’exemple du témoignage d’un prostituée qui prétend s’être sentie violée à répétition durant le temps qu’elle a pratiqué le métier. Mais…excusez-moi j’ai une question: Pourquoi cette gentille dame qui se prostituait n’a-t-elle pas tout simplement arrêté si elle ne se sentait pas bien là-dedans? Quand on a une tête sur les épaules, on prend les meilleures décisions pour soi. Quelqu’un qui a un mode de vie dans lequel il ne s’épanouit pas et qui continue de le pratiquer tout de même n’est pas autre chose qu’un imbécile. Nul n’est tenu au malheur. Évidemment, je gagerais que ce témoignage est un des moments forts du documentaire pour nous faire avaler la couleuvre de la sempiternelle victimisation de la femme incapable de se prendre en main. Je suis désolé, je n’achète pas. J’essaie dans ce blogue de créer un espace dans lequel on peut être libre, fort, énergisé, en contrôle de sa destinée. Je n’ai pas besoin des victimes, ce n’est pas à elles à qui je m’adresse. Alors s.v.p. mesdames, laissez-nous tranquilles avec vos jérémiades, compris?

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Rio de Janeiro’s carnival costumes blaze: sexual terrorism?

Is that too sexy for fascism? A blaze in Rio de Janeiro on February 7th destroyed thousands of costumes specially made for the carnival, just a month prior to the event. How the hell are the craftsmen and women are supposed to be able to replace these costumes with such a short amount of time? They just can’t.  But think here for a moment…How convenient that this fire happens just a few weeks prior to the carnival, giving thus no time to find or fabricate adequate replacing outfits? I suspect that fascism being on the rise and triumphant, these bloody reactionnary impotents put the place on fire deliberately to ‘chastise’ these too lusty Brezilians. Sexual repression has always been part of the reactionnary milieu of every society and it is just too practical that this blaze hits at this time. Wilhelm Reich would call it an expression of the muscular armor. Armored people can’t stand manifestation of sexual pleasure and liberty. Do a google image search for the Carnival and you’ll see how fantastic and beautiful these women are…Christian women…You see how the Gospel make humans beautiful and fully blown? Islam can’t do that.

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