Le Covid-19 est un spectacle son et lumière, un jeu de miroirs et de fumée par lequel l’économie mondiale vit une remise à zéro. L’accumulation de la dette publique des états, additionnée à celles des entreprises et des ménages, nous amène à ce cul-de-sac que nos élites appellent le «Covid-19». Les dettes cumulées sont absolument insurmontables. Ni les états, ni la plupart des entreprises vont réussir à rembourser leurs dettes. Les ménages, avec la croissance continuelle des coûts des nécessités quotidiennes, n’y arriveront pas non plus pour la majorité. Avec un peu de chance, peut-être arriveront-ils à rembourser leur prêt engagé sur une automobile ou sur une maison, au bout de plusieurs années. Mais pour ce qui est des cartes de crédit, oubliez ça. Les cartes de crédit compensent le manque à gagner causé par la stagnation des salaires que nous expérimentons depuis que la Chine a pris son essor sur le plan économique. Les entreprises, séduites par la main-d’oeuvre à bon marché disponible à l’infini à l’étranger, se sont laissé tenter soit par la délocalisation de leurs installations, soit par l’importation de la main-d’oeuvre à travers le processus d’immigration et du statut de réfugié.
Malheureusement, ces mesures palliatives prises pour contrecarrer et reprendre de la compétitivité face à la Chine n’ont fait que creuser davantage la tombe économique occidentale. Les états occidentaux, ayant moins de recettes fiscales et globalement moins d’activité économique suite à la délocalisation de leurs entreprises, s’enfoncent encore plus. La solution qui leur vient alors à l’esprit, pour se sortir du pétrin, est la même que d’habitude: emprunter. Cette nouvelle dette s’additionnant à l’ancienne ouvre la porte à la faillite technique de l’état, puisque celui-ci devient incapable de rembourser. Ce phénomène a aussi été exacerbé au cours des ans par la dislocation des monnaies de l’étalon-or, ce qui a favorisé l’utilisation de la planche-à-billets à tous les prétextes et ce qui a rendu les politiciens irresponsables au niveau budgétaire.
C’est ici que nous en sommes avec la «Covid-19». L’accumulation des dettes est telle qu’une remise à zéro est nécessaire. Cette nouvelle maladie sert donc de prétexte maintenant pour se livrer à cet exercice. Évidemment, on serait naïf de croire ici que tous vont y gagner. C’est plutôt le contraire. La plupart vont y perdre, sauf ceux qui sont en haut de la pyramide. C’est pour cette raison que vous avez vu que dans beaucoup de pays les PME (petites et moyennes entreprises) ont dû fermer leurs portes sur décret du gouvernement, alors que les grandes surfaces ont continué à opérer. Subtilement, cela a permis à ces grandes surfaces, souvent américaines, de s’accaparer les parts de marché des PME, que celles-ci ne retrouveront jamais probablement. C’est du vol pur et simple mais en veston et cravates. Ceux qui se trouvent en haut de la pyramide ont décidé que les multinationales dans lesquelles ils avaient des intérêts continueraient à opérer durant la pandémie. Que voulez-vous, le Coronavirus ne se répand pas chez Walmart, Costco, Home Hardware, Best Buy ou McDonalds. Mais il se répand très très vite dans une petite entreprise qui a un local de 100 pieds carrés. Que voulez-vous, c’est comme ça.
Pour ce qui est des «mesures sanitaires» maintenant, elles servent à deux niveaux. D’abord, elles servent à faire de la prestidigitation, i.e. à attirer l’attention du public sur certaines choses sans importance alors que l’action véritable se passe ailleurs. C’est comme un numéro de magicien au théâtre ou au cirque. Il demande à la la foule de regarder sa main droite alors qu’il fait quelque chose avec sa main gauche… Se laver les mains, mettre un masque, garder deux mètres de distance, cela garde l’esprit occupé et empêche la majorité de réfléchir et de réaliser ce qui se passe. L’autre aspect, c’est évidemment l’humiliation des populations, leur soumission et leur entraînement à obéir qui sont visés par ces mesures. Mise à part le lavage des mains, les mesures sanitaires sont complètement inutiles pour empêcher la propagation de quelque virus que ce soit. Nos dirigeants le savent très bien mais ils doivent les mettre en oeuvre quand même. Ces consignes leur sont probablement dictées depuis les bureaux de l’OMS, du Parti Communiste Chinois ou de ceux de Bill Gates et de ses acolytes. Les leaders politiques des pays du globe semblent avoir les mains liées présentement.
Nos populations sont ainsi donc soumises à un entraînement pavlovien. Nos dirigeants disent: «Vous voulez sortir de vos maisons? Portez le masque et lavez-vous les mains. Vous voulez entrer dans un magasin? Faites la file à l’extérieur et gardez deux mètres de distance», etc. Un chantage constant est exercé sur les populations pour qu’elles se soumettent à des demandes triviales, pour briser leur volonté. On brandit la menace de privation de ceci ou cela ou encore de contraventions ou même de peines de prison si des individus ou des commerçants ne se soumettent pas à toutes les consignes.
Un autre aspect fondamental déployé dans le cirque et le grand théâtre de la Covid-19, est le caractère absolument sectaire de son discours narratif. La science n’est utilisée que comme écran de fumée pour dissimuler la propagande qui s’y déroule. Il est évident qu’il y a une secte qui est à l’oeuvre ici dans le déploiement de l’hystérie du Coronavirus. C’était probablement cette même secte qui était déjà à l’oeuvre lors des attaques du 11 septembre et dans le déploiement de la propagande environnementale par laquelle on cherche à nous faire croire que le monde va s’auto-détruire dans quelques années. Les «faits» scientifiques qui nous sont présentés sont choisis pour leur caractère émotif et non pas pour leur véracité scientifique. Pour amener l’adhésion des populations à ces supposées «vérités» scientifiques, on exerce un chantage émotionnel où la culpabilité et la honte sociale jouent un rôle primordial. Pour donner quelques exemples, une province comme le Québec traite de «covidiots» des individus qui ne respectent pas la consigne visant à restreindre le nombre de personnes attroupées en même temps. Ou encore, on traite d«égoistes» ou d«irresponsables» ceux qui refusent le port du masque sanitaire. Or, les études démontrant que le Covid-19 se transmet par contact n’ont jamais été produites par les autorités et celles démontrant que le masque sanitaire est efficace pour stopper la transmission des infections non plus. Sans démonstration scientifique, on demande aux populations d’adhérer aux mesures sanitaires comme s’il s’agissait d’articles de foi et d’obéir aveuglément. Et lorsque des professionnels de la santé ou des citoyens formulent des objections par rapport au fondement scientifique de ces mesures, on les traite de conspirationnistes, de complotistes, on les réduit au silence, on leur faire perdre leur emploi, etc. Les comportements et les attitudes des autorités face aux objections de la population démontrent le caractère autoritaire, démagogique et sectaire de leur démarche.
Il ne faut pas être un grand devin pour comprendre également qu’il y a une forte présence criminelle oeuvrant au sein de l’opération de la Covid-19. Il y a trop d’argent à faire là pour penser que les groupes criminels ne sont pas à l’oeuvre. Ainsi donc, les populations sont mises sous pression à la fois par le haut et par le bas, en d’autres termes, par les autorités politiques et sanitaires de leur pays mais aussi par les commerçants et gérants d’édifice publics. Peu importe où un individu se trouve donc, il y a toujours un représentant direct ou indirect de cette cabale. Mais ce qui est intéressant de noter ici, c’est que les autorités ont pleinement conscience que ce qu’ils demandent aux citoyens de faire est illégal. C’est pourquoi ils ont besoin que les commerçants, les employés et la gérance des édifices fassent le sale travail à leur place. Comme c’est illégal, ils le font faire par les autres. C’est classique. Vous savez, quand quelqu’un de haut placé dans une société veut commettre un crime, il engage un petit délinquant (un intermédiaire) pour le faire à sa place et c’est ce petit délinquant qui fait face à la justice s’il se fait pogner. Ici, c’est la même méthode. Si des commerçants sont poursuivis en justice parce qu’ils n’ont pas respecté les droits des citoyens, ce seront eux qui paieront la note, pas le gouvernement. On voit donc ici toute l’hypocrisie de la démarche gouvernementale. Ils sont en train de commettre un crime contre l’humanité à travers leurs mesures sanitaires mais ils s’assurent que ce crime soit commis par un tiers pour se protéger des poursuites judiciaires.
Le dernier point que je voudrais aborder ici est évidemment celui des ondes électromagnétiques. Le docteur Andrew Kaufman a émis l’hypothèse selon laquelle le Coronavirus pourrait tout simplement être le résultat de stress infligés sur le corps humain. Ce qu’on appelle les «exosomes» sont des corps biologiques sécrétés par les cellules en réaction à un agent extérieur. Comme les ondes électromagnétiques induisent un stress permanent sur le corps humain, il est tout à fait normal que nos cellules puissent sécréter des exosomes pour tenter de les combattre. Or, il faut comprendre que la charge de radiation dans l’environnement terrestre n’a cessé d’augmenter au cours des années depuis l’invention de la radio jusqu’au téléphone cellulaire en passant par le radar, les satellites, la télévision et le Wi-Fi. En plus, aujourd’hui, nous assistons au déploiement de satellites de petite taille par la compagnie Space-X à travers le projet Starlink. En Mai 2019, Space-X a lancé 60 satellites et aurait procédé au lancement d’une deuxième vague de satellites en novembre 2019 et d’une troisième en janvier 2020. Au total, c’est jusqu’à 42 000 satellites qui pourront être déployés à 550 km de distance de la Terre. Ces 42 000 satellites vont inonder de radiations électromagnétiques notre planète qui est déjà saturée. Pour ce qui est des satellites traditionnels, en plus des satellites américains et russes, certains pays comme l’Inde, le Royaume-Uni et le Japon ont lancé leurs propres satellites de télécommunication. Denièrement, la Chine a fait de même avec son système Beidou, destiné pour servir des fonctions de GPS. Il ne faut pas être un grand devin pour prévoir que la Chine va intensifier ses lancements de satellites pour concurrencer les Américains, ce qui résulter, encore une fois, dans une plus grande quantité encore de radiations électromagnétiques.
On comprend ici que le degré de saturation de l’atmosphère terrestre en radiations électromagnétiques est rendu à un point tel que l’être humain n’est plus capable de le tolérer sans ressentir des symptômes, d’où l’intérêt pour l’hypothèse de travail du Docteur Kaufman. Les symptômes que l’on dit être le produit de l’infection au Coronavirus peuvent très bien être plutôt le résultat d’une trop grande exposition aux radio-fréquences, ce qui aurait comme résultat de produire des exosomes. Ces exosomes peuvent très bien donner un résultat positif au test PCR administré pour diagnostiquer le Coronavirus. D’ailleurs, à cet effet, le National Institute of Health américain a publié une étude internationale dans les derniers jours en pré-publication démontrant justement le lien entre l’exposition aux radiations du 5G et l’induction du Coronavirus dans les cellules. L’étude en question semble avoir été retirée du site web du NIH pour quelque raison mais elle est toujours diponible sur la librairie virtuelle Scribd dans le lien ci-dessus.
Pour toutes les raisons que j’ai présentées ici, il est évident que nous avons affaire avec le Coronavirus à une opération à grand déploiement qui n’a rien à voir avec la santé. La santé y est probablement le dernier des éléments pertinents. On nous ment pour mieux nous passer un sapin. Serons-nous capables de résister aux Ayatollahs sanitaires qui essaient de nous réduire à l’esclavage en se servant du prétexte d’une maladie peut-être imaginaire? C’est ce que nous verrons.
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