Il y a de la vie intelligente sur Terre depuis des centaines de milliers d’années, sinon des millions. L’homme moderne est extrêmement prétentieux lorsqu’il pense que c’est LUI qui a inventé la civilisation. L’être humain n’est pas le créateur de la civilisation, il en est le porteur et le transmetteur. C’est pourquoi notre génération a le devoir de transmettre à son tour les valeurs, le savoir et les technologies de la civilisation à ceux qui vont nous succéder. Cette pyramide ou structure sous-marine dans le secteur de l’Île d’Okinawa au Japon témoigne que plusieurs sociétés et cultures ont vécu avant nous et qu’elles ne nous ont pas été nécessairement inférieures. Ce bloc de pierre découvert par le plongeur sous-marin Kiharchiro Aratake en 1987 est d’une proportion gigantesque. Il rappelle d’autres structures de pierre que l’on peut retrouver ailleurs sur le globe, comme par exemple celles de l’Île de Pâques, le Temple du Soleil au Pérou, les pierres de Stonehenge, etc. Aussi, il donne crédit aux récits d’une île ou continent disparu comme l’Atlantide ou le Continent de Mu, quoique dans le cas qui nous préoccupe, comme il s’agit de l’Océan Pacifique, le Continent de Mu serait une meilleure piste. Le professeur japonais Masaaki Kimura a étudié le site avec attention, ainsi que l’auteur de science non-conventionnelle Graham Hancock. Ils nous font part ici de leurs réflexions dans ces documents. Le temps de parole du professeur Masaaki Kimura est plus important dans le second vidéo cependant, même s’il est plus court.
Archives de catégorie : Archéologie
Une Vallée des Rois en Chine
Le trésor archéologique de Gobekli Tepe en Turquie
Ce documentaire présente une découverte archéologique étonnante faite dans le sud-est de la Turquie en 1995 par un berger. C’est un site gigantesque, constitué par une série de monticules. Sous ces monticules se trouvent des genres de temples ou enceintes dont les piliers en forme de « T » sont placés sur le pourtour. Des figures animales y sont gravés. Ces monolithes pèsent plusieurs tonnes chacun, surtout pour les constructions plus anciennes. En effet, cette civilisation avait semble-t-il l’habitude de recouvrir de sable ses édifices, et de reconstruire de nouvelles par-dessus. La dimension des blocs de pierre diminue à mesure que l’on se rapproche des sommets actuels des monticules. L’explication fournie dans le documentaire sur la nature et/ou la fonction de ces enceintes est décevante, comme c’est souvent les cas des explications données par les représentants de l’archéologie moderne. On essaie de faire le lien usuel entre la sédentarisation et l’agriculture, d’une part, et la naissance de la religion, de l’autre. Ce n’est pas vraiment convaincant car cela n’explique pas la prouesse technique de tailler des blocs de pierre d’un seul trait de plusieurs tonnes, de les transporter sur ces monticules et de les y assembler, et de recommencer le même manège de centaines de fois.
Dans un autre ordre d’idées, je trouve fascinant que ce lieu archéologique inédit pourrait se retrouver en territoire kurde, donc à l’intérieur du nouvel état du Kurdistan en voie de formation. Les Kurdes habitent un territoire couvrant un bonne partie de l’Iran, de l’Irak, de la Syrie et de la Turquie. Cette découverte ressemble à un signe divin presque, accréditant ainsi la légitimité du projet de l’état du Kurdistan, puisque Gobekli Tepe se trouve en plein coeur de la région alléguée où se serait déroulés certains événements relatés dans la bible, comme le déluge et le jardin d’Eden. Les Kurdes ne sont ni arabes ni perses ni turques. Ils ont leur propre langue et leur propre culture. Le document vidéo présenté ici contient des images provenant d’un autre documentaire justement sur le Kurdistan irakien. Un développement économique et immobilier significatif a eu lieu dans les dernières années, positif, allant dans le sens de la modernité et de la liberté. Sait-on jamais, peut-être le Kurdistan pourrait-il devenir le deuxième pays du Moyen-Orient, après Israël, à fonctionner réellement? Un bel avenir se dessine pour ce peuple, qui demeure d’ailleurs le groupe ethnique le plus nombreux qui n’ait pas encore d’état à lui.
Reportage sur la Tombe du Visiteur, retrouvée sur le site de Gizeh
Ce reportage fait état de la découverte d’un sarcophage sur le site de Gizeh en Égypte. Selon les sources présentées ici, il s’agirait des restes d’un voyageur extra-terrestre qui aurait visité notre monde voilà dix mille ans environ et qui aurait enseigné son savoir à l’humanité. Les thèses avancées ici confirment celles développées par Georges Vermard et Mathieu Laveau dans cet article précédent sur la qualité exceptionnelle des pyramides de Gizeh, qui les rendent incompatibles avec les théories officielles des égyptologues patentés. Vous pourrez reconnaître en voix « off » le chroniqueur et journaliste Christian Page.
Document vidéo présentant d’étranges artefacts
Ce montage vidéo présente des découvertes archéologiques faites on ne trop où exactement. L’auteur du vidéo n’est pas clair dans sa description. On ne sait pas si le commentaire surimposé en anglais décrit dans l’ordre les images qui apparaissent l’une après l’autre. Néanmoins, les figures, statuettes et statues qui nous sont montrées ici possèdent des caractéristiques qui peuvent laisser croire à la thèse extraterrestre. Beaucoup des figures ont des yeux en forme d’amande et on voit parfois des véhicules qui peuvent faire penser à des soucoupes volantes. L’autre thèse suggérée par l’auteur du vidéo est que ces vestiges seraient l’expression d’une civilisation globale ayant existé voilà au moins dix mille ans. Dans l’un ou l’autre cas, ce sont des découvertes extrêmement intéressantes et qui jettent un regard totalement neuf sur notre histoire. Elles ne font que confirmer que l’on ne comprendra réellement le sens de la vie humaine que lorsque nous, modernes, aurons accepté que nous n’avons pas tout inventé. D’autres nous ont précédé et nous leur devons notre existence même.
Angkor Wat, capitale de l’Empire khmer
Le peuple khmer a fait preuve d’ingéniosité en développant un système de bassins et de réservoirs d’eau. Cela lui a permis de mettre beaucoup de terres en culture et d’être ainsi approvisionné en eau courante en abondance. La civilisation khmère, de par ses réussites techniques mais aussi architecturales et religieuses, est un exemple de la beauté et de la grandeur des cultures traditionnelles. L’Empire khmer à son apogée recouvrait une bonne partie de l’Asie du Sud-Est, dont les descendants peuplent maintenant les territoires du Vietnam, du Cambodge, de la Thaïlande, du Laos, de la Birmanie et de la Malaisie. La cohabitation pacifique du bouddhisme et de l’hindouisme sur son territoire en fait un modèle d’entraide et de solidarité entre citoyens possédant des conceptions politico-religieuses compatibles. Fait intéressant à noter, le contrôle de l’eau dont ils ont fait preuve fait penser à ce que les Québécois ont dû accomplir pour maîtriser l’énergie hydroélectrique, grâce aux immenses barrages et bassins que nous avons construits. De toute évidence, nous avons beaucoup plus de choses en commun avec ces populations que nous le croyons à prime abord. Si seulement nos leaders politiques en Occident pouvaient délaisser leur stupide infatuation pour le monde arabo-musulman, nous pourrions alors faire de nouvelles alliances qui iraient davantage dans le sens de nos valeurs. Non seulement ces peuples sont-ils nos alliés dans la guerre faisant rage entre le Roi des Eaux et le Roi des Sables mais ils sont aussi des éléments-clés du déploiement de l’axe christo-bouddhique. Le temps est venu d’en prendre toute la mesure.